« La Révolte est amour et fécondité, ou elle n’est rien. » (A Camus). La révolte c’est aussi dire oui avant de dire Non, ce n’est pas un compromis, mais la recherche de la mesure. (Raphaël Enthoven).
Ces paroles semblent êtres d’or, ou celles d’un inconscient et pourtant au-delà de la crispation, de la violence, de la vengeance, toutes choses stériles. Il faut choisir la voie du milieu, non pas celle du compromis qui ménage des intérêts et laisse comme un parfum d’amertume. Mais celle de la mesure qui est la voie de la justice. Bien sûr cela concerne l’homme cet animal social.
Animal social, animal en meute ! Plus animal que social je vous laisse à votre réflexion et avec votre opinion.
La révolte liberté, liberté de dire non face aux oppressions, réponse des désespérés ou défense de corporatismes d’un autre temps ?
Ambiance de fin de régime perte de confiance ou de crédibilité, mais attention au remplacement d’une tyrannie, par une autre.
La révolte pour réussir doit être mue par l’amour c’est l’affirmation d’Albert Camus dans « l’homme révolté », l’amour Philia à défaut d’Agapée, et elle doit aussi porter en elle la mesure. Avoir le courage de se servir quelque soit le moment et les circonstances de son propre entendement, c’est la Lumière de la Liberté telle que définie par Kant.
JFG