Les Francs-Maçons et le pouvoir le dernier livre d’Emmanuel Pierrat, traite des rapports parfois ambigus entre la Franc-Maçonnerie et les plus hautes instances de l’état.
Un passage est particulièrement intéressant sous le titre : La Loge des petits appartements. Nous sommes au début du règne de Louis XV, il a cinq ans ! Le Roi est plus soucieux de ses plaisirs que de la direction de la France, il a confié la direction des affaires au Cardinal de Fleury.
Le deuxième Duc d’Antin un catholique fervent est nommé Grand Maître de la Grande Loge de France. Emmanuel Pierrat écrit à propos des mœurs politiques de l’époque, qui ne semblent pas avoir beaucoup évoluées :
« ! le renseignement à toujours été le principal enjeu de toute politique : savoir ce que font les autres, faire en sorte que les autres ignorent ce que l’on fait, soi-et les autres sont aussi bien les adversaires que les alliés. Et justement les Francs-Maçons, que sont-ils. Adversaires ? Alliés ? Neutres, si tant est qu’une chose comme la neutralité puisse exister en politique. »
Dans cette période que je qualifierais de Rock en Roll cette danse endiablée qui permet de remuer son partenaire dans toutes les positions, sur une musique bruyante. Que font les Francs-Maçons parlementaires, ceux qui prétendent vouloir rendre la société plus juste, plus fraternelle, placer au centre de leur action l’égalité. Pourquoi n’ont t’ils pas abolis les privilèges qui s’apparentes à ceux de petits marquis de l’ancien de l’ancien régime. Il existe des fraternelles parlementaires que l’on dit influentes, même si je respecte la discrétion elle ne doit pas être synonyme d’inaction.
Un peu de courage, pour éclairer notre « Lanterne » (1) mes Frères.
JF.
(1) La lanterne une résidence de la République bien obscure.