Lettre de notre Frère Cincinnatus
Notre frère JFG nous honore pratiquement chaque jour d'un article qui devrait susciter notre intérêt, ce qu'il fait, puisque le blog a des milliers de visiteurs!
La conséquence logique de cette situation serait que des commentaires nombreux aillent "enrichir" les articles en question, ce qui rappellerait la riche époque des Myosotis dont chacun se souvient.
Pour avoir contribué largement à l'expression du "Myosotis breton", j'ai pris l'habitude, néfaste peut être, de répondre assez régulièrement à JFG, parfois pour l'approuver, parfois pour exprimer une différence sinon un désaccord, ce dont il ne s'est jamais offusqué!
Hélas, en dehors de Claudius, du frère Tuck et de quelques autres, qui parfois se manifestent, personne ne fait l'effort de donner un quelconque avis, tant et si bien que notre rédacteur ne récolte guère le fruit de ses efforts, il semblerait qu'il sème sur une terre stérile alors que cette dernière pourrait sans doute produire une riche moisson!
Certes les thèmes abordés, à la limite de l'espace maçonnique parfois, ne justifient ils pas toujours une critique, fraternelle s'entend, mais il en est sur lesquels les frères, à mon sens tout au moins, auraient dû se ruer littéralement, et j'en veux pour exemple la question du GADLU qui a été soulevée récemment.
Aucun commentaire sur le sujet, c'est AHURISSANT, comment expliquer, que dis je, justifier un tel silence?
Les frères seraient ils à l'image des célèbres "trois petits singes" qui voient, entendent et se taisent, cela pour des raisons liées à la prudence et au désir de tranquillité?
Ce serait bien décevant!
Cincinnatus
Ma réponse :
Je ne demande rien, j’accueille toutes les pensées, comme des fleurs, quand elles me sont offertes, où à l’ensemble des lecteurs du Blog.
Je reçois amplement mon salaire quand je rencontre des sœurs et des frères déclarent lire le Blog.
Heureux des merveilleuses rencontres que je peux faire grâce à ce blog, j’ai largement mon salaire, et j’espère que les lecteurs ont le leur. Chacun fait son chemin comme il le souhaite.
Jean-François.
Si vous souhaitez écrire au Blog : courrierlafmaucoeur@gmail.com
La connaissance de soi s’acquiert dans la nudité, attentive à refuser toute pensée susceptible d’accueillir l’égoïsme et toutes ses manifestations. Indifférent à la louange comme aux injures, le connaissant marche seul dans un désert aride. Heureux des rencontres, il ne les sollicite point ; il n’a pas à être rassuré sur l’importance de sa démarche, aucun encouragement ne lui est nécessaire. La lumière dont il entend l’appel lui suffit : le reste est bourdonnement.