BABEL LE SYMBOLE DU DIMANCHE

BABEL.

PAROLE ! Paroles ! Paroles ! Paroles ; passer de l’un au multiple. Au commencement, Béréchit, était l’un, le verbe, la connaissance, la lumière et la vérité. ,

Si pour les hébreux Babel est la confusion, pour d’autres c’est la porte du ciel, la porte d’en haut, la porte de Dieu. L’ouvrir sans préparation peut s’avérer dangereux, le père Adam en a fait l’expérience, les Compagnons d’Hiram avaient la Force, mais pas les clés de la Sagesse ils sont tombés du haut de la Tour, Maison Dieu du Tarot, l’ouvrage à été détruit, mais ils sont restés debout, pour reconstruire un nouveau temple grâce à la Foi et l’Espérance.

Jacob lui a compris que ce qui est en bas doit être comme ce qui est en haut pour maintenir l’équilibre. Il y a toujours un risque à vouloir être plus que ce que l’on est. Pour transgresser il faut être prêt, avoir retrouver une parcelle de sa juvénilité, pour entreprendre à nouveau.

Selon le Zohar à l’origine, il n’y avait qu’une seule langue en quelque sorte un code du travail unique, une harmonie entre les droits et les devoirs. Une Parole Primordiale Sacrée. Eh oui ! Le travail c’est sacré, l’humoriste en conclu qu’il ne faut pas y toucher. En d’autres lieux il y a des enfants de la Lumière qui travaillent de midi à minuit ils célèbrent la gloire au travail. Il existe même des endroits paraît il ou le travail ne s’arrête jamais, il est suspendu, un véritable sacerdoce voué au travail.

Parler la même langue est une voie pour réunir ce qui est épars, peut être qu’en remettant un peu de sacré et de devoir dans le travail comme les compagnons du même nom, nous pourrions reconstruire une Fraternité humaine autour de cette Valeur ?

Bon Dimanche.

JFG