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la Franc Maçonnerie au Coeur

la Franc Maçonnerie au Coeur

Un blog d'information, de conversations sur le thème de la Franc Maçonnerie, des textes en rapport avec la Franc Maçonnerie, comptes rendus et conseils de lectures.

Publié le par jean françois
NE PAS SE LASSER

NE PAS SE LASSER

 

Chaque lundi se lever, se relever pour construire un nouveau monde.

 

Chaque matin rêver, écouter le bruit des vagues, qui lissent le sable et efface nos incertitudes.

 

Chaque matin imaginer toutes les utopies, tous les bonheurs, tous les sourires.

 

Chaque matin être présent, prendre le temps de serrer dans nos bras tous ceux qu’on aime.

 

Ne pas se lasser du soleil qui illumine notre vie, qui jusqu’au couchant réchauffera notre cœur.

 

Ne pas se lasser des cris des enfants qui résonnent dans les préaux.

 

Regarder les feuilles qui tombent en tapis d’ocre sur nos sentiers, marcher pour faire craquer les branches mortes.

 

Etre bien, être beau, être vrai, une heure, un instant prêt à tout casser, pour tout reconstruire, pour que chacun ait sa place, chez lui dans ce monde, où nous ne sommes que des locataires de passage.

 

Ne pas se lasser de tendre nos mains, de donner le pain, le vin à ceux qui ont faim et soif d’amour.

 

Chaque lundi partir sur le chantier, pour construire un temple à notre âme.

JF.

 

PARTIR

 

Je pars dans le vent probablement vers le néant.

 

Mais si ce néant s ‘avérait être un trésor, je me battrais contre

Les puissances des ténèbres pour faire entendre ma voix enrichie de cette expérience nouvelle, pour vous dire la promesse que j’aurais arrachée au silence.

 

Afin que vous sachiez que mon cœur est devenu plus riche, mon âme plus universelle.

 

Que vous sachiez qu’après il y a quelque chose, autre chose.

 

Autre chose qui ne peut qu’être que Dieu, qui est en réalité Vous.

L’homme matériel que nous sommes ne peut l’imaginer, et encore moins l’appréhender.

 

Mais je me battrai. Je n’ai pas peur de mourir. C’est le destin de tout ce qui vit, et qui ne vit que parce que la mort en marque la fin.

 

Mais ce qui me navre-Ô combien !- ; c’est de m’arrêter d’aimer.

 

L’important n’est pas tant d’être aimé, d’avoir Dieu dans son cœur, mais d’être dans le cœur de Dieu.

 

Ainsi l’amour n’est plus un sentiment ponctuel, égocentrique, mais universel. Il englobe tout autour de soi et, plus que tout autre sentiment, apporte la plénitude, le calme, la joie, le bonheur, la compréhension, la tolérance, mais aussi l’enthousiasme, la rage de vivre.

 

Paul Emile Victor.

 

Bon Lundi

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