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la Franc Maçonnerie au Coeur

la Franc Maçonnerie au Coeur

Un blog d'information, de conversations sur le thème de la Franc Maçonnerie, des textes en rapport avec la Franc Maçonnerie, comptes rendus et conseils de lectures.

Publié le par Jean-François GUERRY
Livre de Patrick Lepetit

Livre de Patrick Lepetit

SURRÉALISME- RECONNECTER L’HOMME À SON INTÉRIORITÉ- PART -III-

 

Patrick Lepetit, dans son livre – Surréalistes et Alchimistes – Paru chez Selena Éditions, dans son premier chapitre s’intéresse aux influences qui ont permis le développement du mouvement Surréaliste d’André Breton. Ce mouvement ne pouvant se résumer, se réduire comme il est affirmé souvent : « À une simple école littéraire ou artistique de plus. » En effet, il a produit nombre de chef d’œuvres du siècle passé. Ce n’est pas seulement un « automatisme psychique pur. »

Patrick Lepetit

Libérer l’imagination enrichit l’homme et ré enchante le monde. Vous découvrirez dans l’ouvrage de Patrick Lepetit pour ceux qui l’ignore, ne la parle pas encore ou commencent seulement à l’épeler, la subtile langue des oiseaux qui élève la pensée au-delà de la raison, une langue où les Voyous sont des Voyants. Une langue pratiquée par les Fils ou les Enfants du Soleil, cela ne pouvait qu’inspirer les Enfants de la Veuve.

Ainsi, surréalistes et alchimistes ne pouvaient que se rencontrer, s’écouter et s’entendre « pour refaire l’entendement humain ».

J’ai retenu dans le livre de Patrick Lepetit la phrase de René Alleau tirée d’Aspects de l’alchimie traditionnelle : « Le vieux rêve des alchimistes », « les plus illustres rêveurs, dont l’humanité ait connaissance », « était d’abord de changer le singe humain en homme véritable ». Nous pourrions dire que le profane plongé dans les ténèbres est aussi un singe humain, qui mis en contact avec l’acronyme mystérieux V I T R I O L dans le cabinet de réflexion en ressort transformé, transmuté, métamorphosé en homme neuf véritable, purifié de ses vieilles peaux. Un homme qui tourne son regard vers la Lumière, quand le coq déchire le voile de la nuit des apparences avec son cri qui annonce l’arrivée de la grande lumière.

Alors le profane, qui postule aux mystères peut suivre dans son merveilleux voyage la huppe du roi Salomon dans les sept vallées. C’est l’évocation vous l’aviez compris du Cantique des Oiseaux du poète Farîd Od dîn ‘Attâr.

Attache donc à ta patte la lettre de l’amour

Cet amour de toujours, garde-le pour toujours

Échange la raison innée contre le cœur

Et fais se joindre ensemble les deux éternités.

Casse donc la carcasse de ta nature ! Courage !

Puis pénètre la grotte de l’Unicité pure !

                        Distiques 635-640 Cantique des Oiseaux Traduction de Leili Anvar.

Pour clôturer cette troisième réflexion sur le livre de Patrick Lepetit, je vous propose la lecture d’un document source sur René Alleau à la rencontre duquel vous pourrez vous rendre à Saint Cirq Lapopie dans le Lot.

                                   

 

                                                              Jean-Francois Guerry.

 

À LIRE : SURRÉALISTES et ALCHIMISTES Édité chez Selena éditions.

SURRÉALISME RECONNECTER L'HOMME À SON INTÉRIORITÉ - PART -III-
RENÉ ALLEAU

René Alleau (1917-2013) est un historien des sciences, un ancien ingénieur-conseil et un cher- cheur en études symboliques, dans la lignée de Gaston Bachelard et Gilbert Durand. Selon Ber- nard Roger, il aurait confié à André Breton que la rencontre avec le surréalisme l’avait conduit vers l’alchimie (« L’étoile scellée », préface à Surréalisme, parcours souterrain, de Patrick Lepetit). Alleau est un spécialiste universitaire dans l’étude de la dis- cipline ésotérique qu’est l’alchimie. En effet, il a envisagé de faire une thèse sur l’alchimie au XVIIe siècle, sous la direction de Gaston Bachelard, et rédigé un article sur l’alchimie dans l’Encyclopedia universalis. Il participe également à la réédition de classiques de l’alchimie aux Éditions Denoël, dans la collection « Bibliotheca Hermetica ». Comme le dit si justement Annie Le Brun dans un billet publié sur internet, il est celui qui « renouvela l’ap- proche de l’alchimie et des savoirs traditionnels, en les dégageant des brouillards occultistes, grâce à une double formation scientifique et philoso- phique ».

René Alleau participe à la Résistance sous l’oc- cupation, puis il occupe un poste d’ingénieur en Afrique. Il évoque la connaissance qu’il a acquise des sociétés secrètes africaines, notamment les sociétés de forgerons, dans Aspects de l’alchimie traditionnelleLes sociétés secrètes, leurs origines et leur destin et à l’occasion du colloque sur René Guénon et l’actualité de la pensée traditionnelle 1. En 1946, la signature du tract « Les brûlots de la peur », écrit en riposte à une enquête lancée par l’hebdomadaire communiste Action (« Faut-il brûler Kafka? »), est l’occasion pour Alleau d’un premier rapprochement avec André Breton. Outre René Alleau et André Breton, les signataires sont Antonin Artaud2, Georges Ribemont-Dessaignes, Henri Thomas, Michel Fardoulis-Lagrange, Jean Maquet, Arthur Adamov, Marthe Robert, Georges Lambrichs et Edouard Loeb. Les surréalistes pa- risiens prennent contact avec Alleau en 1952, à l’occasion d’une série de vingt-cinq conférences sur l’alchimie, auxquelles assistent régulièrement plusieurs d’entre eux. Breton en rend compte dans le quatrième numéro de la feuille surréaliste Mé- dium : « Prenons sur nous de rappeler que, chaque dimanche à 17 heures, salle de géographie, M. Alleau poursuit la série de ses conférences sur « Les textes classiques de l’alchimie », qui prennent ac- tuellement pour sujet Le triomphe hermétique, de Limojon de Saint-Didier. »

Alleau, dans le Cahier de l’Herne consacré à Breton, a publié la liste des thèmes de chacune de ces confé-

rences, mais, conformément aux vœux d’Elisa Breton, il s’est engagé à ne pas en publier les textes (il ex- plique cela dans une entrevue avec Fabrice Flahutez in La sœur de l’ange N°8, 2010.).

En 1953, Alleau publie Aspects de l’alchimie tradi- tionnelle. Étrangement, dans sa préface, Canseliet le présente comme alchimiste, « disciple de Ful- canelli », alors que lui-même a toujours affirmé dans ses écrits et entrevues qu’il était l’unique dis- ciple du mystérieux Adepte 4... Dans cet ouvrage essentiel, Alleau développe les aspects psycho- logiques de l’alchimie, en se référant brièvement aux conceptions théâtrales d’Antonin Artaud : « Le théâtre alchimique ne compte qu’un nombre restreint d’acteurs somptueusement parés et les milles broderies des costumes ne doivent pas faire oublier que la chaîne de l’intrigue demeure une et immuable (p.117) ». La définition qu’il donne de l’alchimie, une « connaissance esthétique de la ma- tière (p.28) », rejoint l’approche expérimentale de l’activité artistique, telle que défendue et pratiquée par les surréalistes. Plus précisément, Alleau dé- crit cette doctrine initiatique comme un ensemble d’opérations métallurgiques, pratiquées conjointe- ment à des exercices spirituels de méditation sym- bolique.

René Alleau a trouvé le nom de la petite galerie d’art surréaliste À l’Étoile Scellée (ouverte de décembre 1952 à avril 1956), dont Breton assure la direction artistique et que Duchamp traduit par le calem- bour « Les toiles, c’est laid ». Sans avoir jamais fait partie du groupe surréaliste parisien, René Alleau publie des textes dans quelques revues, dont l’ad- mirable « Psychanalyse et alchimie », parue dans la revue Médium en réponse, principalement, aux interprétations jungiennes de l’alchimie formulées par Serge Hutin : « Si, de toute évidence, l’expé- rience héréditaire existe ; si, entre les êtres appar- tenant à une même espèce, des communications sont fondées sur des formes et des structures phy- siques et mentales communes, cette vie de relation ne représente qu’autant de limites de notre horizon et de notre condition, bornes dont la conscience véritable, essentiellement libre, peut et sait tota- lement s’affranchir quand elle a pu atteindre, dès ici-bas, “le Saint Soleil et le lieu cristallin” de son épanouissement ultime. » Il publie dans Médium, entre 1953 et 1955, Le Surréalisme, même, en 1956 et La Brèche, en 1962. Son premier article publié dans un périodique surréalisteintitulé « En pleine santé », est le compte-rendu d’un ouvrage délirant de martingales, rédigé en prison par le tueur en

RENÉ ALLEAU Par David Nadeau

RENÉ ALLEAU Par David Nadeau

série Marcel Petiot. Dans « Un étrange courrier du cœur », Alleau proteste contre la publicité, in- jurieuse à son égard, d’un livre de Louis Pauwels consacré au mage Georges Gurdjieff. La Rédaction de la revue où elle est publiée (Médium) « s’asso- cie toute entière » à cette protestation publiée à l’intérieur d’un dossier sur « l’Affaire Gurdjieff », lequel contient également une entrevue avec Louis Pauwels et une autre avec Jacques Bergier. Dans le même numéro, le livre Monsieur Gurdjieff, de Pauwels, est l’objet de « L’affaire Gurdjieff, force et faiblesse de la volonté de puissance », un article de Jean-Louis Bédouin. Notons que, quelques années après cette polémique, Alleau participera à Planète, la revue fondée par Bergier et Pauwels, et à la mai- son d’édition du même nom.

Dans l’article « Des fictions et des jeux », Alleau dé- truit le mythe des « machines célibataires » élabo- ré par Michel Carrouges, écrivain catholique avec lequel Breton avait rompu en 1952 et qui avait cessé dès lors d’entretenir des relations avec les sur- réalistes. Il corrige l’analyse freudienne du roman Gradiva, de Wilhelm Jensen, dans l’article « Gra- diva Rediviva », faisant écho à l’intérêt d’André Breton, Salvador Dali et André Masson pour cette figure de la littératureEnfin, la réponse de René Alleau à l’enquête « LE MONDE à l’envers? », sur les implications philosophiques de « la possibilité croissante d’un voyage interplanétaire », marque la fin de sa période de participation régulière aux activités du mouvement surréaliste. Son ami l’al- chimiste Eugène Canseliet répond également aux questions posées par la Rédaction de la revue La Brèche. En 1976, Alleau rédige une préface pour l’exposition La Danse de la mort, du peintre sur- réaliste et alchimique Jorge Camacho. La même année, il publie « La sortie d’Égypte », dans l’ou- vrage collectif La Civilisation surréaliste, présentée par l’écrivain Vincent Bounoure.

Après cette période de participation aux activités surréalistes (1953-1976), les publications de René Alleau se font plus rares. En 1986, il participe à la quarante-septième Exposition internationale d’art de Venise, organisée par le poète surréaliste et critique d’art Arturo Schwarz sur le thème Art et science/Art et alchimie. Il répond à l’enquête publiée dans le catalogue, dans lequel sont repro- duites quatre de ces œuvres : Les racines de l’œuvreL’oraison philosophaleLa forêt de l’ermite et Danaé. La dernière, une aquarelle de 1984, représente le viol d’une jeune femme par Jupiter transformé en pluie d’or, mythe classique dans lequel Fulcanelli voit un symbole alchimique de l’imprégnation de l’Esprit Universel par la matière première minérale. Les deux autres œuvres de René Alleau connues sont un paysage au « sanctuaire minéral » qui ap- partenait à André Breton à la fin de sa vie, et un

autoportrait en poisson joint à une lettre adressée à Élisa Breton en 1987. En 1991, dans le catalogue de l’exposition André Breton, la beauté convulsive, du Musée d’Art Moderne, Alleau publie « Le mys- térieux livre d’heures du rêve d’Elisa », au sujet du manuscrit d’Arcane 17. Son texte « Au périscope du temps » fait partie de l’ouvrage collectif André Breton en perspective cavalière.

En 2006, le peintre et écrivain Guy Ducornet in- vite les surréalistes et leurs camarades à signer de nouveau un tract du groupe parisien, « À la niche, les glapisseurs de Dieu », originellement paru en 1948. Parmi les signatures recueillies, outre celle d’Alleau, notons celles de Sarane Alexandrian, Fer- nando Arrabal, Jacques Abeille et Aube Breton-El- léouët.

*

Pour René Alleau, l’alchimie, comme toutes les sciences traditionnelles, est basée sur un système de pensée métaphysique :

« Quoique positive, expérimentale et concrète, l’al- chimie emprunte ses principes à la métaphysique traditionnelle dont elle représente l’une des appli- cations au domaine formel ainsi qu’aux rapports de la forme et de la lumière. »

Il pose l’hypothèse de l’influence des mystères de forgerons sur le développement de l’alchimie, qu’il se propose d’étudier, à la lumière du système mé- taphysique sur lequel reposait l’initiation aux mys- tères des Cabires de Samothrace.

En 1957, soit quatre ans après la publication d’As- pects de l’alchimie traditionnelle, André Breton risque un rapprochement étonnant dans son volu- mineux essai sur L’Art magique, rédigé en collabo- ration avec Gérard Legrand :

« Les moyens mis par le surréalisme “à la dispo- sition” de l’activité imaginaire exigent en contre- partie un engagement moral exemplaire. C’est dire assez que le surréalisme n’en est pas le maître, et qu’il s’agit là d’un véritable pacte avec l’inconnu et le non mesuré, pacte dont les modalités peuvent varier d’un esprit à l’autre, mais qui n’en est pas moins largement comparable au serment des initiés de Samothrace de ne point révéler les mystères des Cabires, et mieux encore au fameux “pacte avec le diable” des sorciers médiévaux – sauf qu’ici, c’est de ne jamais “vendre son âme” à Dieu ou aux hommes qu’il s’agit. (André Breton, L’Art magique, p.251) » Par ailleurs, René Alleau répond longuement au questionnaire qui termine le livre de Breton. Déjà, quelque vingt ans avant la publication du livre

d’Alleau, Antonin Artaud évoquait les dieux de Sa- mothrace, lors d’une conférence au Mexique, où il partageait son expérience du surréalisme :
« Pour rejoindre le secret des choses le Surréa- lisme avait ouvert un chemin. Comme pour le dieu inconnu des Mystères des Cabires, comme pour l’Ain-Souph, le trou animé des abîmes dans la Kabbale, comme pour le Rien, le Vide, le Non- Être des anciens Brahmas et des Védas, on peut dire du surréalisme ce qu’il n’est pas, mais pour dire ce qu’il est, il faut employer des approximations et des images, et le Surréalisme est un mouvement vêtu d’images. Il ressuscite, par une sorte d’incantation dans le vide, l’esprit des antiques allégories. (« Sur- réalisme et révolution », dans 
Messages révolution- naires) »

Bibliographie

Aspects de l’Alchimie traditionnelle.
Éditions de Minuit, Paris, 1953.

De la nature des symboles. Flammarion, Paris, 1958.
Les Sociétés secrètes, leurs origines et leur destin. Éditions Retz, Paris, 1963.
Guide de la France mystérieuse (collectif). Tchou, Paris, 1964.
Encyclopédie de la divination, avec Hubert Larcher et Gwen Le ScouézecTchou, Paris, 1964.
Histoire des sciences occultes. Éditions Rencontre, Lausanne, 1965.
Guide de Versailles mystérieux. Tchou, Paris, 1966.
Histoire des grandes constructions. Cercle du bibliophile, Le- vallois-Perret, 1966.
Guide de Fontainebleau mystérieux. Tchou, Paris, 1967. Hitler et les sociétés secrètes, enquête sur les sources occultes du nazisme. Cercle du nouveau livre d’histoire, Paris, 1969. Énigmes et symboles du Mont-Saint-Michel, suivi d’une étude historique de Charles de Cossé-Brissac sur l’Ordre de Saint-Mi- chel. Julliard, Paris, 1970.
La Science des symboles. Contribution à l’étude des prin- cipes et des méthodes de la symbolique. Payot, Paris, 1976. René Guénon et l’actualité de la pensée traditionnelle, (dir.) avec Marina Scriabine, Actes du colloque inter- national de Cerisy-la-Salle, 13-20 juillet 1973. Archè, Milan, 1980.
Alchimie, préface de Michel Bounan. Allia, Paris, 2008.

ARTICLES SCIENTIFIQUES
Divers articles dans l’
Encyclopedia Universalis : « Alchi- mie », « Histoire des cartes à jouer », « Divination », « Dé- monologie », « Forgeron », « Magie », « Occultisme », « Sociétés secrètes », « Tradition » et « Théorie des Élé- ments ».
« Jeux surréalistes ». 
Dictionnaire des jeux (éd. René Alleau). Tchou, Paris, 1964.

PARTICIPATIONS À DES PUBLICATIONS SUR- RÉALISTES
De la Splendeur dans Médium, numéro 3, mai 1954, p. 29.

Des fictions et des jeux dans Médium, numéro 4, mai

Gradiva Rediviva dans Surréalisme, même, premier nu- méro, 1956, p. 13-21.
Jorge Camacho, 
La danse de la mort (catalogue d’expo- sition), introduction de René Alleau, partition musicale de Julian Orbon, poème de Reinaldo Arenas. Paris, Ga- lerie de Seine, 1976.

SUR RENÉ ALLEAU
André Breton, 
De la graisse de la rosée dans Médium, Informations surréalistes, numéro 4, 1953.
Fabrice Flahutez, 
Quatre questions à René Alleau. La sœur de l’Ange, pensées iniques, numéro 8, septembre 2010, Paris, p. 177-181.
Jean-Pierre Lassalle, 
Surréalisme et franc-maçonnerie dans La Franc-maçonnerie : Histoire et Dictionnaire, Jean-Luc Maxence (dir.). Robert Laffont, collection « Bouquin », Paris, 2013.
Annie Le Brun, 
René Alleau, billet publié sur le blog de Paul Jorion, www.pauljorion.com
David Nadeau, 
Le surréalisme et la loge maçonnique Thé- bah : II. René AlleauChroniques d’histoire maçonnique, numéro 78 (« Oswald Wirth, le père de la littérature maçonnique moderne »), Institut d’Études et de Re- cherches maçonniques, Paris, été 2016.
Gilles Bucherie, 
René Alleau et l’écriture philosophale, Sé- léna éditions. 2022.

Notes :
1 : Alleau a également rédigé l’article « Forgeron » de l’Ency- clopedia universalis.
2 : René Alleau connaissait Antonin Artaud et, selon Bernard Roger, il aurait même « assisté à ses derniers instants »
(« L’étoile scellée », préface à Surréalisme, parcours souterrain, de Patrick Lepetit).
3 : « Par la graine de la rosée », Médium numéro 4, Février 1953; repris dans André Breton, O.C., tome III, La Pléiade, Alentours II, page 1085.
4 : En 1978, Robert Amadou rapporte ces propos d’Eugène Canseliet dans 
Le Feu du soleil : « René Alleau est un alchi- miste d’autant plus véritable qu’il possède la solide base d’un universitaire. Son attachement à la pratique positive du feu est indéniable, qui fait de lui l’artiste physico-chimique le plus sûr. » 5 : Guy Ducornet a publié ce manifeste dans dans son livre Surréalisme et athéisme, « à la niche les glapisseurs de Dieu! » (Ginkgo Éditeurs, 2007).

SURRÉALISME RECONNECTER L'HOMME À SON INTÉRIORITÉ - PART -III-

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