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la Franc Maçonnerie au Coeur

la Franc Maçonnerie au Coeur

Un blog d'information, de conversations sur le thème de la Franc Maçonnerie, des textes en rapport avec la Franc Maçonnerie, comptes rendus et conseils de lectures.

Publié le par Jean-François Guerry
Chers toutes et tous... Je serais absent du 20 au 26 joies de grand-père !!! Je vous propose en attendant quelques citations pour méditer....À bientôt

Jean-François Guerry

L'ABSENCE....
QUEL PLUS GRAND MANQUE QUE L'ABSENCE DE LUMIÈRE ?

QUEL PLUS GRAND MANQUE QUE L'ABSENCE DE LUMIÈRE ?

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Publié le par Jean-François Guerry
sculpture de l'homme autodidacte constructeur de lui-même

sculpture de l'homme autodidacte constructeur de lui-même

PARADOXES OU PAS ?

 

Être semblable ou différent, être le même en étant autre ? Avoir le même regard, ou regarder dans la même direction ? Convertir son regard sur soi, sur le monde, sur les autres ? Révélation, ou dévoilement ? Vous n’avez pas deux heures pour répondre, mais toute votre vie et cela ne suffira sans doute pas.

        

Cela peut nous faire faire de grand pas en humanité, nous faire humain, plus humain. Le meilleur moyen d’atténuer ou d’éviter les oppositions, c’est de voir qu’elles sont le plus souvent dérisoires, en regard de ce qui nous rapproche quand nous acceptons de nous regarder en face dans un miroir.

        

La méthode pour être plus humain, ne consiste pas en des pratiques magiques, ou des offrandes et même des sacrifices. Mais dans le travail pour atteindre le plus possible toujours avec humilité une maîtrise spirituelle, intellectuelle, mais aussi une éthique affective c’est-à-dire un sommet de justice qui éclaire le cœur et l’âme. C’est le chemin vers l’harmonie, la libération de nos plaisirs possessifs, pour les remplacer par des désirs de partage, d’entraide, de don, de fraternité. C’est le seul moyen de bâtir des relations apaisées avec nous-même, avec la nature et les autres. C’est ce que l’on peut appeler la construction d’un universalisme spirituel, d’un empire spirituel. Cet empire le lieu du tissage d’un tartan multicolore ou des fibres différentes se mêlent pour faire un vêtement d’amour à porter en toutes circonstances, un vêtement qui permet de se couvrir pendant les orages de la vie, un prêt à porter en toutes circonstances.

 

Ne chercher pas ce vêtement de l’Amour fraternel dans une boutique quelconque, sur une plate-forme quelconque, vous l’avez déjà au fond de votre cœur, il brille d’un éclat éternel. C’est une pierre bien plus précieuse que n’importe quel diamant. De cette pierre de lumière de l’Amour fraternel, quand elle sculptée, avec constance, persévérance. Quand la poussière tombe du ciseau et du maillet alors émerge l’être humain.

 

                                    Jean-François Guerry.

CONFÉRENCE À RENNES
PARADOXES OU PAS ?
PARADOXES OU PAS ?
PARADOXES OU PAS ?
PARADOXES OU PAS ?

vec cet ouvrage, Christophe RICHARD nous offre une comparaison, claire et précise, entre initiations tantriques et initiations maçonniques.

Après avoir rappelé ce qu’est un rite initiatique et quels en sont les composants majeurs, l’auteur nous plonge au cœur des rites tantriques d’initiation qu’il met en parallèle avec ceux de la franc-maçonnerie.

C’est donc à un véritable voyage auquel nous convie ce spécialiste du bouddhisme, un voyage d’autant plus exceptionnel que c’est la première fois que les cérémonies d’initiation des deux voies concernées sont rapprochées.

PARADOXES OU PAS ?

Exercices spirituels antiques et Franc-maçonnerie de Jean-François GUERRY

Les hommes cherchent à découvrir leur être intérieur. Ils recherchent la connaissance par un 

retour à l'essence de leur soi. Construire leur temple intérieur pour pouvoir participer à la 

construction du monde qui les entoure, trouver leur juste place. 

Comment y parvenir ? La philosophie antique était theoria et praxis, elle était un art de vivre. 

La Franc-maçonnerie est aussi un art parfois qualifié de royal, un art qui impose de Savoir, 

Comprendre et Agir. L'observation de la pratique maçonnique démontre que les travaux 

maçonniques sont de véritables Exercices Spirituels. 

On peut vivre sans la philosophie, comme l'on peut vivre sans la Franc-maçonnerie, mais moins 

bien. 

PARADOXES OU PAS ?

Description

On parlait peu de la Fraternité, l’actualité a fait revenir sur le devant de la scène politique et médiatique cette belle oubliée de notre devise républicaine. Paul Eluard a chanté la Liberté, accessible grâce l’égalité. Il est temps de mettre au premier rang de notre devise cette Fraternité qui seule peut faire tenir debout les hommes ensemble au-delà de leurs différences, de la densité de leurs différences en faire des humains.


Cette Fraternité qui n’est pas corporatiste, mais universelle. Cette Fraternité qui est une épreuve, qui éprouve les hommes dans leur désir de faire le bien, le bon et le vrai pour atteindre le beau de l’harmonie. La Franc-maçonnerie née il y a plus de trois siècles à pour fondement la Fraternité. Elle ambitionne d’améliorer le monde en améliorant ses membres. Elle veut faire entrer l’esprit dans la matière, la lumière de l’esprit qui illumine l’individu le rend plus fraternel. La spiritualité maçonnique est sans adjectif elle est fraternelle au-delà des dogmes, elle reconnait tous les hommes libres.

LA LUMIÈRE DE LA FRATERNITÉ
PARADOXES OU PAS ?

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Publié le par YANN
BLOG DE YANN - DÉMOCRATIE

Serions-nous dans un vaudeville à la Feydeau ? Depuis la dissolution de l’Assemblée nationale, la scène politique française s’apparente à L’Hôtel du Libre-Échange : les noms d’oiseaux fusent, les mensonges font florès. On gesticule dans tous les sens et on crie à la trahison. Les projecteurs s’affolent : chacun veut être sous les feux de la rampe. Les poings se lèvent, c’est à celui ou celle qui fera le plus de dégâts et le plus de bruit. Du grand-guignol ! 

Il faut être économe de son mépris tant sont nombreux les nécessiteux (Chateaubriand) 

Allez, allez, en prison ! En prison pour médiocrité." (Montherlant – La reine morte) 

Oui, mais le choix d'un homme juge moins cet homme que ceux qui l'ont choisi. Ce sont les responsables du choix qui se découvrent et donnent sur eux-mêmes une vue plongeante. 

Oui, mais le suffrage universel procède d'une logique individualiste. Il retient les individus comme unités de compte en les plaçant sur un pied de stricte égalité. Aussi le suffrage universel donne-t-il plus de poids à la masse des citoyens passifs qu'à l'élite des citoyens actifs, à la majorité silencieuse qu'à la minorité agissante.  Allons plus loin : ce qu'il y a de manipulatoire dans la notion d'opinion publique ne se trouve-t-il pas tout entier dans la notion de volonté générale ? Si l'on ne veut pas traiter le problème au niveau des principes, l'histoire de l'extension du suffrage universel apporte une réponse fort éclairante. À force de considérer l'adoption du suffrage universel comme une étape fondamentale dans le processus de démocratisation, on en vient à oublier le rôle qu'elle a pu jouer, au même titre que l'alphabétisation ou la conscription, dans le contrôle de la population par le pouvoir central. Contrôle conscient et volontaire et pas seulement implicite : c'est pour noyer la "poignée d'agitateurs" républicains dans la masse rurale conservatrice que Napoléon Ill a rétabli le suffrage universel ; c'est dans le même esprit que Disraeli et Bismarck ont, à peu près simultanément, étendu considérablement le suffrage en Grande-Bretagne et en Prusse en misant délibérément sur les vertus conservatrices des classes laborieuses. De même, ce n'est certes pas un hasard si la gauche républicaine a tout fait pour freiner l'accession des femmes au suffrage sous la 3ème République alors que le général de Gaulle, évidemment conscient du soutien qu'il pouvait en retirer, devait l'accorder en 1944. Dans tous ces cas, la "volonté générale" recherchée par le pouvoir n'est certainement pas moins le fruit d'une manipulation. 

La logique individualiste des procédures électorales conduit à considérer les électeurs (ou les "opinants") comme des citoyens abstraits et non comme des hommes situés. Car l'élection ne distingue pas entre les hommes suivant les différents milieux sociaux dans lesquels ils sont insérés. La règle "one man, one vote" s'y applique dans toute sa rigueur : les voix se comptent, elles ne se pèsent pas.  

Lorsqu'ils sont convoqués à une élection, les électeurs ne sont jamais maîtres du choix de la question qui leur est posée ni de la formulation de cette question. L'enjeu est dessiné par des forces qui leur échappent, les options qui leur sont proposées tiennent plus ou moins de la carte forcée. Ils ne peuvent choisir généralement qu'entre des candidats imposés représentant des partis également imposés. Combien auraient préféré d'autres personnalités, d'autres partis ? Nous ne le savons pas. Somme toute, la situation de l'électeur est tout à fait comparable à celle de la personne interrogée dans un sondage et qui regrette que les questions qu'on lui pose soient à ce point fermées. Sommés de choisir entre un petit nombre de réponses préfabriquées, les électeurs qui se comptent sur une réponse le font généralement pour des motivations très diverses : tel électeur vote rouge pour ce que le parti rouge lui propose, tel autre par hostilité au parti blanc, tel autre par pure protestation sinon par dérision, etc. 

Compte tenu des contraintes que le jeu des candidatures et la hiérarchisation des problèmes durant la campagne imposent en fait aux électeurs, cette façon de raisonner est passablement vicieuse. Elle revient à faire de la politique d'étiquette sans chercher à savoir ce que cette étiquette recouvre. ou, si l'on préfère une autre image, à inférer les goûts culinaires des consommateurs de ce qu'ils mangent dans un restaurant où le menu est fixe. 

Notre propos n'est certes pas d'abaisser le suffrage universel dont on connaît tous les défauts mais qui reste sans doute la moins mauvaise des procédures. Encore faut-il contribuer à son approfondissement. 

Il n'existe pas d'essence de la démocratie. La démocratie providentielle se donne pour légitimité d'assurer l'égalité réelle des individus-citoyens. Elle privilégie tout ce qui est "réel", l'économique, l'historique et l'ethnique, aux dépens de la transcendance civique ; les libertés réelles tendent à prendre le pas sur les libertés formelles. Entraînée par sa dynamique interne et son ambition prométhéenne - assurer l'égalité de tous -, elle privilégie toujours plus la recherche du bien-être des individus et la reconnaissance de leurs droits historiques.  

La modernité politique a été soumise à deux grandes critiques. Les uns dénonçaient les contradictions entre la liberté et l'égalité proclamées des sujets politiques, ou égalité formelle, et les inégalités de leurs conditions économiques, ou inégalités réelles ; les autres, le caractère formel des droits politiques accordés à tous les citoyens et les inégalités réelles de la reconnaissance publique de leurs identités historiques et religieuses. Ces critiques révèlent sinon des contradictions, du moins des tensions propres à la société des citoyens que les plus lucides des révolutionnaires perçurent dès 1789. La démocratie providentielle répond à ces critiques en donnant une prééminence toujours accrue à l'égalité réelle.  

Qu'il s'agisse des droits politiques ou des droits au bien-être matériel et moral, l'utopie démocratique entretient des aspirations qui ne peuvent être pleinement satisfaites. Le corps politique doit être juridiquement défini, les conditions économiques et sociales seront toujours insuffisantes puisque les besoins des hommes se renouvellent, aucune reconnaissance publique de droits dits culturels ne satisfera pleinement l'aspiration des hommes à être reconnus selon ce qu'ils jugent être leur juste valeur. L'impatience devant les limites inévitables apportées aux droits subjectifs des individus, qu'ils soient politiques, économiques ou culturels, les aspirations légitimes à un bien-être qui par nature reste toujours inférieur aux espoirs, alimentent les revendications et les insatisfactions. Même si c'est par les conflits, la politique unit les hommes, que l'activité économique et la recherche de la protection mettent en concurrence. Le maintien inévitable des inégalités des conditions sociales et l'impossibilité de la reconnaissance de toutes les identités collectives à l'intérieur d'une même société suscitent l'indignation quand toute forme de transcendance collective s'est affaiblie.  

Le poids accru du "réel" dans la démocratie providentielle a pour effet d'épuiser les deux types de transcendance collective, religieuse et politique. L'idée de transcendance - par le religieux ou par le politique – est peu familière à l'homo démocraticus qui vit dans la positivité quotidienne de la vie économique et providentielle et dans l'immédiateté de l' hic et nunc. Les conditions décentes d'existence assurées par l'État-providence ne donnent pas par elles-mêmes un sens à l'existence des individus. Dès lors, les relations au sacré, qui ne s'expriment plus dans des formes sociales reconnues, risquent toujours de s'exprimer de manière incontrôlée ou tragique.  

La seule tolérance suffira-t-elle pour unir les individus démocratiques ? On peut se demander si une société peut maintenir le lien entre les hommes lorsque ces derniers ne partagent pas les mêmes valeurs et n'expriment pas leur conception du monde à travers les mêmes symboles. Les sociétés humaines doivent maintenir une certaine cohésion qui, dans les démocraties, s'est jusqu'à présent exprimée dans et par le patriotisme. Comment une société qui n'organise pas les formes de relations des individus avec le sacré, qui ne donne plus de réponse à l'angoisse métaphysique de l'homme ni de sens au malheur individuel et collectif, peut-elle continuer à "faire société", en d'autres termes, à assurer le lien social, à maintenir le sens des valeurs communes et à garder, éventuellement, la volonté de les défendre ? Ne risque-t-elle pas de déboucher sur la dépolitisation ? 

L'effritement des pratiques de la république représentative ne signifie ni la fin de la démocratie ni la fin de l'histoire. Mais on peut se demander si la démocratie providentielle est susceptible de donner les moyens de régler les conflits entre les hommes au nom de la justice sociale d'une manière qui ne trahisse pas trop les valeurs dont se réclament les sociétés modernes et si elle est capable d'entretenir une véritable volonté politique. Pourra-t-elle satisfaire l'aspiration légitime à l'égalité qui caractérise l'homo democraticus sans renoncer à la liberté politique et sans perdre la volonté de la défendre ? 

Yann

BLOG DE YANN - DÉMOCRATIE

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Publié le par Jean-Laurent Turbet

Cet article est reposté depuis Le Blog des Spiritualités.

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Publié le par Jean-François Guerry
TAXER LES RICHES ? UNE AUTRE VOIE ?

DE NOS CERTITUDES ?

 

Nous sommes parfois enfermés dans nos certitudes, ainsi persuadés que le Capitalisme est facteur de richesses au pluriel et même de Richesse au singulier. Ce modèle économique comme d’autres, mérite d’être critiqué, comme le communisme radical. Dans un temps où la Force se transforme en puissance dominante. Nous pouvons donc nous poser quelques questions :

1°) Est-ce que le capitalisme ne sacrifie pas la personne au profit de l’individu et de l’individualisme ?

2°) Est-ce que le capitalisme permet de créer des communautés humaines ?

3°) Est-ce qu’un système basé sur le désir, la soif du gain n’empêche-t-il pas la vie des sociétés humaines ?

4°) Est-ce qu’un système qui permet le gain d’argent sans travail est -il moral ? J’ai entendu quelque part qu’il fallait rendre gloire au travail.

5°) Est-ce qu’un système basé sur l’envie et non sur les besoins, ne rend pas l’homme au service de l’économie, flattant son désir de briller et son désir de célébrité ?

6°) Est-ce qu’un système de liberté sans contrôle n’est pas au service des forts contre les faibles ?

7°) L’argent qui pénètre la vie privée intime, l’argent auquel rien ne résiste. Signe notre appauvrissement moral et nous désapprend de l’autre.

8°) Le capitalisme ne favorise- t-il pas l’entre soi. Ne réserve -t-il pas le bon travail à une classe sociale et le travail plus dur à une autre classe ?

9°) La division du travail, sépare aussi les hommes, créé le prolétariat humain, dépersonnalise l’homme.

10°) Le capitalisme fait du travail une marchandise, le travail n’est pourtant pas une chose, mais une œuvre humaine.

11°) Le souci du profit n’expulse -t-il pas toutes les valeurs humaines ?

12°) Le système de l’argent roi, de la puissance du Dollar ne favorise -t-il pas des pogroms sociaux : les riches vivent avec les riches, ils ont leurs quartiers, leurs écoles avec leurs maîtres ?

 

Pourtant l’alternative n’est pas l’hérésie travailliste stalinienne !

Est-ce que la solution du futur ne serait pas une entreprise où le travailleur serait en même temps partie prenante au capital de celle-ci ? Un système coopératif, les agriculteurs ont montré l’exemple, les Scops fonctionnent bien, et dans la plupart des « star up » les travailleurs sont aussi actionnaires. Cela éviterait peut-être la haine du riche en donnant une vision d’avenir et une responsabilité partagée ?

Pour rappel : Le franc-maçon est l’ami du pauvre et du riche pourvu qu’ils soient vertueux.

                                    Jean-François Guerry.

TAXER LES RICHES ? UNE AUTRE VOIE ?

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Publié le par Jean-François Guerry
COURTE RÉFLEXION SUR LE TRANSPERSONNEL.

COURTE RÉFLEXION SUR LE TRANSPERSONNEL.

 

 

L

e concept de « Transpersonnel » peut-il être un horizon d’attente ou d’action pour notre temps et notre avenir ? À ma sortie d’un séminaire d’étude sur le Personnalisme d’Emmanuel Mounier. Je veux vous faire part de l’idée émise par Jacques Le Goff professeur émérite des Universités de Quimper et Brest, écrivain, éditorialiste, conférencier, sociologue, adepte de la philosophie morale d’Emmanuel Mounier : le Personnalisme.

Emmanuel Mounier Créateur de la Revue Esprit

Il rappelle la rencontre brève mais intense de Mounier avec Georges Gurvitch sociologue russe, qui ce n’est pas un hasard revient s’imposer dans notre actualité. Ce concept de « Transpersonnel » que Gurvitch tient en partie de Gottlieb Fichte un des fondateurs de l’idéalisme allemand. Cette filiation étant posée, Emmanuel Mounier le chrétien inspiré sans doute par le mystère de la Trinité ; s’associe aussi à la pensée et la lutte de Pierre-Joseph Proudhon précurseur de l’anarchisme dans sa lutte contre le communisme qui écrase l’individu dans la masse et au capitalisme et sa doctrine du profit pour le profit.

         Cette thématique donc de la trinité : de la partie et du tout, permet la recherche d’un équilibre, de la ligne de crête entre l’individu et le collectif. Je dirais de la mosaïque des individus, capables de se retrouver dans un ensemble cohérent qui tient par l’addition des « Je » pour passer au « Nous ». L’acte, l’agir fondamental n’est pas de se séparer, mais d’être capable de communier ensemble. Il est factuel, ontologique que personne et communauté sont indissociable, Mounier ne cessait en fait d’affirmer sa préférence pour le « tu » et le « nous » au « Je » combattant l’individualisme pour passer au personnalisme. Il ira jusqu’à dire qu’il préférait que l’on parle de personnalisation de l’individu, plutôt que de personnalisme dénonçant ainsi les « ismes » de toutes sortes.

Jacques Le Goff - Parle de Fraternité

         La recherche d’une philosophie du « nous » ne doit pas pour autant être fusionnelle, nous devons pouvoir conserver notre part d’intime, et rechercher cependant l’unité. En Franc-maçonnerie nous pourrions dire construire un ou des centres d’union fraternel, des lieux de transactions ou les uns et les autres, peuvent se comprendre, s’écouter, communier autour de valeurs et de vertus qu’ils considèrent comme essentielles. Cela n’est possible que dans une dynamique du don et de la générosité, de l’arrachement parfois douloureux à son moi pour aller vers autrui. C’est arrachement étant libérateur de l’esprit, élévateur de la conscience et de l’âme. C’est une relation à autrui, de visage à visage pour se rapprocher du vocabulaire de Levinas le philosophe de l’altérité. La communauté est donc à penser avec le « Il » et le « Nous », l’impersonnalisme devient alors un élan indispensable, nécessaire à la communauté de la pensée. La personne en tant que masque médiateur (suivant sa définition grecque et latine) est aussi indispensable entre l’individu et la communauté.

         La question du jour, est comment penser le masque médiateur personne dans une société individualiste ?   

         Jacques Le Goff propose deux métaphores : celle du peloton des cyclistes qui est capable d’être un centre de concurrence entre l’individu et les autres tout en restant dans un collectif uni. Ou encore l’orchestre où l’on trouve des artistes avec leurs différences et un tout un ensemble harmonieux. Je rajouterais la loge maçonnique, où chacun à sa place, son rôle et où l’harmonie règne en Force, Sagesse et Beauté. La Personne est libre, libérée et donne sa Force au collectif. C’est le lieu où l’on libère le potentiel de chacun, où ce potentiel peut s’exprimer et donne un élan et un essor au collectif. Le « Transpersonnel » est donc cet entre-deux subtil où l’Un est le Tout, et où le Tout est Un.

         Jacques Le Goff s’interrogeait comment mettre en place ce « Transpersonnel », cette voie médiane comment la construire avec des pierres solides ? Ce ne peut être qu’avec des pierres vivantes, capables de transmettre des secrets intimes par nature, comme l’Amour de soi et l’Amour des autres pratiqués en même temps. C’est la vertu la plus haute, vers laquelle il faut tendre, celui qui est capable de cette tension verra la joie envahir son cœur. Un des outils de cette pratique est le respect de soi-même, et des autres et le respect de la communauté universelle des personnes. Aujourd’hui le principe du Colibri me semble non pas dépassé et inutile mais trop dérisoire. Le temps presse, une communauté consciente ne doit pas transiger avec ce que l’on appelle l’incivilité, les incivilités entre nous et les institutions ont atteints la limite de la tolérance et sont passées dans la complaisance même si elle n’est pas déclarée, elle est constatée par tous. Ce n’est pas l’IA, ou les techniques qui nous permettra de transformer les individus en Personnes, les hommes en Humains. C’est notre pensée libre, et notre responsabilité du plus lointain de l’humanité. Ce ne sont que quelques pistes de réflexion, il reste le principal l’action. Emmanuel Mounier avait choisi une maxime pour le moins hétérodoxe : « L’événement sera notre Maître intérieur ». C’est-dire qu’il était en marge de l’intellectualisme abstrait, ou la pensée de l’homme objet, et dans l’action, le mouvement qui voulait changer, sa vie, la vie donner du sens et le sens le meilleur possible pour changer le monde. N’est-ce pas un peu ce vers quoi nous tendons dans nos loges maçonniques ?

 

                                    Jean-François Guerry.

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Publié le par YANN
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"Être informé de tout et condamné ainsi à ne rien comprendre, tel est le sort des imbéciles… Un monde gagné pour la Technique est perdu pour la Liberté" 

 Georges Bernanos -  La France contre les robots 

 

 

 

La translation trop rapide d'un climat à un autre produira sur les voies respiratoires un effet mortel,en même temps queles brusques changements de nourriture, le passage du beurre comme condiment à l'huile feront naître desétats dyspeptiques et dysentériques qui exigeront un prompt rapatriement. Le mouvement de trépidation suscitera des maladies nerveuses, telles que la danse de Saint-Guy, des affections hystériques et des syndromes épileptiformes, tandis que la fugace succession des images entraînera des inflammations de la rétine. La poussière et la fumée occasionneront des bronchites et des adhérences de la plèvre. Enfin l'anxiété des périls constamment courus tiendra les voyageurs dans une perpétuelle alerte et sera le prodrome d'affections cérébrales. Pour une femme enceinte, tout voyage en chemin de fer entraînera infailliblement une fausse couche avec toutes ses conséquences." 

 

Difficile de ne pas citer l'ancêtre du "principe de précaution" émis par les savants de l'Académie de Médecine deLyon en septembre 1835 lorsqu'ils furent amenés à se prononcer sur l'épineux sujet de l'époque "les dangers des voyages en chemin de fer". Tout y est, le caractère solennel qui sied à de doctes savants de la Faculté, levocabulaire suffisamment commun pour effrayer le citoyen moyen et cependant émaillé de termes ésotériques pour assurer la crédibilité scientifique. Nul doute que tout un chacun n'empruntait pas le chemin de fer sans une inquiétude proche de l'angoisse. 

 

Jugement dérisoire, aveuglement intellectuel, fruit d'une querelle d'Anciens et de Modernes, mais à la réflexion ladistance est-elle si grande entre ces propos et les déclarations de nos experts et spécialistes pontifiant sur l'utilité ou l'inutilité des masques pour juguler la pandémie du Covid19 ? On sait ce qu'il en fût … 

 

En fait de quoi s'agit-il 

 

D'un problème d'information ? De bonne ou de mauvaise foi ? On pressent que la solution n'est pas immédiate, quela réponse est complexe car elle touche au fondamental de l'homme, à ce qui taraude son esprit. À force de se prendre pour des dieux, les hommes ont eux-mêmes fini par y croire et ils acceptent mal le désordre de leur environnement … 

 

Ajoutons à cela que l'information doit circuler rapidement, que le temps est compté, que notre société nous pré mâche les informations à coups de "six minutes" ou de "flash éclair". Tous les ingrédients sont réunis pour que le jugement soit faussé, que prévalent les intérêts financiers, économiques, politiques là où place devrait être faite à tolérance, objectivité, analyse, temps de réflexion … 

 

Science et conscience, science et ignorance, sacré et profane… Les binômes se mettent en ligne, s'interpellent et se complètent. Peut-on traiter de la science, ici de l'intelligence artificielle avec la même désinvolture que du cours desvaleurs boursières qui prennent un malin plaisir, à coter le contraire des prévisions des "traders", hercules aux piedsbien fragiles ? 

 

Le philosophe l'a dit : "il n'est pas de science sans conscience" mais il n'est pas plus de science dans l'ignoranceet la science épouse fréquemment les limites du sacré dans l'imaginaire de l'homme. 

 

Il en va de l'intelligence artificielle comme de l'honnêteté, jusqu'où sommes-nous prêts à aller pour que le monde soithonnête, pour certains jusqu'àla limite de se faire prendre, pour beaucoup par nécessité d'organisation sociale, pour d'autres par conviction, par idéal religieux, par humanisme ? Quel prix sommes-nous prêts à payer ; préférons-nous tricher en acceptant pour soi ce que nous refusons aux autres ou faisons-nous la part des choses?  

 

Mais comment trancher entre le trop et le nécessaire ? 

 

Peut-être ou aussi en redevenant citoyen. Le citoyen a le droit au savoir et également le devoir du savoir. Si le "nul n'est censé ignorer la Loi" sombre dans le ridicule quand on sait que les lois se comptent par milliers, on pourrait concevoir l'obligation à s'informer avant de se prononcer, obligation qui en génère une autre, celle de donner une information impartiale, suffisante, objective et accessible. "Nul ne sera censé ignorer ce que nul n'est censé cacher", voilà les nouvelles règles d'accès à la connaissance pour le citoyen du 21ème siècle. 

 

Il n'en demeure pas moins que la tentation est forte de demander à la science les réponses qui font défaut. Dans un monde où la technique ne connaît pas de limites, pourquoi ne pas charger la science de gérer l'impossible ? Tout est ici une question de mesure et d'éthique mais comment doser la mesure, sur quels critères faire reposer l'éthique ? Je jette l'éponge au philosophe pour nous donner d'un mot : l'éthique une réponse à tant de questions inhérentes à l'inquiétude de l'homme devant son destin. 

 

En définitive, l'intelligence artificielle renvoie à une éthique de responsabilité. L'homme se doit d'être attentif aux effets négatifs éventuellement engendrés par son action sur le vivant. Il lui faut éviter ces effets, le cas échéant, en évitant l'action elle-même. Les effets négatifs peuvent être voulus, la responsabilité est alors active. Mais ils peuvent être non intentionnels ; la responsabilité, pour être passive, n'en est pas moins effective. 

 

Nous parlions auparavant de liberté humaine et l'impression tend maintenant à s'imposer que les questions abordées ne seraient qu'affaires de spécialistes … bref, des scientifiques. Si subsiste la liberté, seule semble coordonnée celle du scientifique, la liberté de celui qui sait. L'IA se réduirait ainsi au débat entre des scientifiques promouvant des innovations et d'autres scientifiques qui en suspecteraient les retombées néfastes ; les uns et les autres armés de leurs compétences et de leurs libertés de conscience respectives. La liberté n'a pas disparu, mais elle estaccaparée par le spécialiste, l'expert. Et d'une certaine manière, en écho a nos toutes premières phrases, c'est encore le pouvoir qui fonde le devoir, et plus encore, le droit. Cette tendance est dangereuse ; elle porte un nom connu : la technocratie. Cette tendance est à dépasser. 

 

Quel discours sera porteur, quelle action prévaudra ? Pour répondre, il faut afficher des valeurs, " voilà justement ce qui fait que votre fille est muette " répondrait Sganarelle (Molière, Le médecin malgré lui, acte II, scène VI) 

YANN

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Publié le par Yann
L'ASSEMBLÉE NATIONALE TRANSFORMÉE  EN BUREAU DES TAXES. 
Pour la taxe à main levée !
L'Assemblée nationale en effervescence

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Vive l'impôt !

 
J'ai reçu, comme nombre d'entre vous, le solde de l'impôt sur mes revenus (le prélèvement à la source a ses limites) et il me vient, comme chaque année, des idées d'évasion vers d'autres régions. Mais, compte tenu des risques que comporte une telle décision, j'ai cherché quelques références historiques.
 
On trouve un des premiers exemples d'une telle émigration dans le "Livre de l'Exode". Le Pharaon imposa les Israélites en prestations de service : " Et les Egyptiens obligèrent les enfants d'Israël à servir avec rigueur; et ils rendirent leur vie si pénible en les asservissant durement, en les faisant travailler comme maçons, comme charpentiers et en leur faisant accomplir toute sorte de travaux agricoles...." à un point non spécifié de cette augmentation constante de l'imposition, que les Israélites estimèrent que le moment était venu d'aller ailleurs. Dans la Malaisie du 19è siècle, les Chinois des mines d'étain acceptaient de céder à un chef malais jusqu'à dix pour cent de leur salaire en échange de leur "protection". S'il exigeait davantage, ils s'en allaient vers une autre région minière où le chef demandait moins. Certains chefs avaient la même réaction que le Pharaon et avec à peu près le même résultat.  
 
En n'hésitant pas à généraliser audacieusement, on peut dire que les gens qui produisent ont découvert par expérience qu'il leur faudra toujours abandonner une part de leur revenu à quelqu'un, qu'il s'agisse d'un gangster, d'un seigneur féodal ou d'un service de Contributions directes. Dans tous les cas, cela revient à peu près au même, puisque l'on n'échappe à un type de percepteur que pour être victime du chantage exercé par un autre. Jusqu'aux environs de dix pour cent, le prélèvement est, me semble-t-il, en accord avec la loi naturelle. Quand il dépasse sensiblement ce taux, le moment est venu pour les Israélites d'étudier leur atlas. Il peut y avoir des endroits préférables à l'Egypte. En fait, il y en a : Jersey, Tanger, le Kenya, les Bermudes, Tahiti, les Seychelles… Mais ces territoires sont-ils des lieux paradisiaques? A y regarder de près, les territoires répondant à cette condition fondamentale sont rares, et sur ce petit nombre, la majorité, peut-être, présente des inconvénients tels que tremblements de terre, communistes tendance Mélenchon, scorpions, fonctionnaires coloniaux, centipèdes, fièvres, sociologues et serpents. Même l'île apparemment la plus idyllique peut devenir une base pour l'activité balistique. 

 

Contribuable bel et bien captif, j'ouvre un vieux livre du brillant économiste victorien J-R McCulloch qui écrivit : " l'oppression, a-t-on dit, ou élève les hommes au rang de héros, ou bien les rabaisse au niveau des esclaves ; et l'imposition, selon son ampleur et le mode suivant lequel elle est appliquée, rend les hommes ou bien industrieux, entreprenants et riches, ou bien indolents, découragés et appauvris". McCulloch juge ici la limite d'imposition possible d'après la réaction des contribuables, laquelle pourrait évidemment varier suivant les circonstances. Mais il ajoute: " s'il était porté à un taux élevé, de l'ordre de 10, 15 ou 20%, il pourrait engendrer la prostitution de principe la plus éhontée et lourdement contribuer à miner ce merveilleux sens de l'humanité qui est le seul fondement sûr de la probité et de la vertu nationales ".
 

Héroïsme ou prostitution ? Encore une fois, je vais accepter le prélèvement.

YANN

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UN PETIT FLORILÈGE : PATIENCE .... 
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Publié le par Thierry Didier
Thierry Didier - L’APPAREIL MAÇONNIQUE DANS TOUS SES ÉTATS Part IV et FIN

A

insi la quaternité paraîtra à même d’éclaircir des concepts, des valeurs et des postures en « débobinant » la réalité en 4 principes complémentaires. Ces 4 valeurs sont complètement arbitraires, c’est-à-dire qu’elles n’existent pour l’homme que si les 3 autres lui sont également soumises, dans une cohérence holistique. A cet égard, il s’agira de voir l’homme comme un syncrétisme à géométrie variable de ces 4 dimensions. Cet indicateur symbolique aura aussi l’avantage de détecter l’immaturité socio-affective qui peut frapper l’individu : je prendrai l’exemple de l’intuition : le novice tendra naturellement à souvent privilégier ce mode parmi les 3 autres, jugées plus rudimentaires, moins spirituelles parce que chez ce novice, l’intuition semblera répondre, à tort, plus finement que les 3 autres à une approche biaisée de la spiritualité.

A l’autre extrémité du spectre, nous verrons que l’apparatchik vouera aux gémonies cette intuition, parce que ne la comprenant pas, il s’en effraiera et tiendra à bonne distance des frères qui inconsciemment l’amèneraient à se sentir diminué. Ne nous y trompons pas, Cette angélisation des concepts pourra se produire également sur les 3 autres valeurs : un homme pétri de sensations n’en sera pas pour autant plus spontané et authentique dans son attitude ; un homme pétri de sentiments ne développera pas plus qu’un autre de l’empathie ou de la gentillesse ; un homme pétri de pensée ne sera pas assimilable à quelqu’un de nécessairement plus clairvoyant. Car la réalité est tout autre : si l’on dessine un carré borné par ces 4 caractéristiques, l’individu, suivant son avancement, son caractère et sa personnalité, se situera sous forme d’un point localisé à tel ou tel endroit à l’intérieur de ce périmètre, l’initié « parfait » se situant au centre de ce même carré, avec donc l’équidistance à ces 4 valeurs.

C’est comme ça qu’il faut comprendre cet adage maçonnique : « la Vérité est inaccessible à l’esprit humain » :  elle est inaccessible non pas par jugement de valeur, mais parce qu’équidistante de ces 4 qualités. Comme je le disais, ces 4 valeurs sont arbitraires : ce qui compte est la cohérence dynamique de leur ensemble : on peut choisir n’importe qu’elle acception, à condition de refléter dans leur tout une vérité indisponible à chacun des termes pris isolément. L’avantage de cette quaternité sera en particulier qu’elle sortira de champ de la morale, car la morale et l’éthique sont le produit des hommes, et obéissent, au même titre que la loi, symboliquement au nombre 3 : il y a moi, il y a lui, et il y a ce qu’on met arbitrairement entre les 2. Non pas que cet « arbitraire » ne soit pas quelquefois nécessaire à l’ordonnancement d’un groupe : je pense aux constitutions et aux Règlements Généraux, par exemple. Car le REAA est un dogme, au bon sens du terme, c’est-à-dire qu’il a cette puissance nécessaire qui ne peut être permise qu’à travers le prisme de sa singularité. Cette singularité est telle que le dogme se doit d’être, à bon escient « lapidaire, unilatéral et incontestable », au moins quant à la forme. Le dogme représente, dans une doctrine, un point précis de celle-ci, point défini comme fondamental, certain et unilatéral. L’aspect incontestable que revêt le dogme le rend a priori hautement indigeste pour un franc- maçon : le dogme peut donc être ressenti, surtout dans son acception moderne, comme quelque chose d’asséné, à l’image d’un violent coup de poing ou d’une privation inacceptable de liberté.

Pourtant, le mot « dogme » porte aussi souvent l’idée d’une valeur fondatrice ou d’une vérité première, à l’image du premier précepte de la Table d’Emeraude, qui dit, je cite : « Il est vrai, sans mensonge, certain et véritable ». En fait, le dogme disparait dès que l’initié se l’approprie, qu’il, l’adapte à sa personnalité. La doctrine s’adresse à tout le monde, et donc à personne, elle se doit, pour être acceptée et donc efficiente, de s’adapter à chacun : on l’appellera alors une méthode, qui n’aura pas à subir les affres d’une dépersonnalisation toujours préjudiciable.  Ensuite, chaque initié va décliner pour lui-même les principes transcendants de ce dogme, afin de se les approprier selon ses spécificités individuelles et personnelles : le dogme se transforme alors en une méthode, à la fois générale dans ses fondements, et particulière dans ses applications.

Ces applications se plaqueront alors sur l’initié afin d’en retirer 4 grandes perspectives possibles, validées chez chacun sous forme de qualités, de « tenures », au sens du droit féodal, c’est-à-dire des habillages, sortes d’« usufruits » symboliques d’une quaternité divine dont l’appareil serait la forme prosaïque la plus aboutie. Ces 4 qualités sont, je le répète, des idées-forces, c’est-à-dire qu’elles existent, mais ne sont jamais chimiquement pures. Tout comme pour le carré de Jung, ce carré maçonnique délimitera un champ des possibles à l’intérieur duquel va se situer l’initié. Car l’appareil est l’interface articulée entre un individu et l’objet de source et de pouvoir qui justifie l’existence dudit appareil. L’appareil est donc une sorte de matelas entre ces 2 pôles, qui ne peuvent pas cohabiter : l’appareil possède une guidance intrinsèque :  c’est quelquefois ce qui le mène à sa perte, lorsqu’aucune gouvernance n’arrive à juguler les inévitables dissensions produites en son sein.

Il convient alors de refroidir ces élans maudits en instaurant en son sein une forme de « relativisations vertueuse » de la nature et position de chacun de ces composants. Cette relativisation peut se faire avec l’appui de la symbolique des nombres, qui met en exergue l’aspect qualitatif et pas quantitatif desdits nombres. En effet, la quantification est source d’inflation des sentiments et des personnes, et ne peut donc pas contribuer à apaiser des états conflictuels préexistants. Cette parité est censée reproduire à moindre échelle la constitution binaire de chaque individu, mais elle ne le peut pas réellement, dans la mesure où l’appareil proprement dit survit par un continuum, et non par une somme infinie de dualités. Ces valeurs, comme toute construction humaine, sont susceptibles d’être dévoyées lorsqu’on en fait des principes inaliénables, ce qu’elles ne doivent jamais être, sans quoi l’apparatchik deviendra aussitôt une sorte de zélote ou de moine copiste, le créatif un doux évaporé, l’humaniste un esprit lénifiant, à la bienséance facile, et l’indifférent une sorte d’ermite revenu de tout. L’indifférence pourrait passer pour une posture pour le moins nuancée, on pourrait l’assimiler trop rapidement à ces frères très peu présents sur les colonnes, pour des raisons diverses et variées quelquefois justifiées (changement familial, professionnel, maladie) ou quelquefois moins. Il faut bien comprendre que l’indifférence n’est pas forcément liée à de mauvaises raisons, mais peut être suscitée par le doute, un égo mal cerné ou l’impression de s’être trompé d’endroit.

Cette indifférence n’est pas forcément une faiblesse, mais peut être le constat d’un besoin de répit, d’une base arrière par laquelle se reconstruire, une façon de glisser sans trop déraper, de s’absenter pour mieux revenir. Il ne faut cependant ne pas être dupe : certains, plutôt rares, pensent trouver une façon d’enrichir leur carnet d’adresse : à défaut de les repérer rapidement lors des entretiens préalables (VM, enquêtes et bandeau), ils partent généralement rapidement, mais n’appartiennent pas aux indifférents mais simplement à une erreur de casting. J’assimilerais volontiers l’indifférent à l’élément eau, celle de Pilate, ou bien comme une plasticité à s’adapter, voire à se déformer ; comme un élément nourricier également, prêt, le moment venu, à sortir (ou pas) de l’eau lustrale et cathartique de la mer d’Airain.

L’indifférence peut passer pour une forme dévoyée de liberté, non pas sur un plan moral, dont n’a que faire l’art initiatique, mais par le fait que cette indifférence peut rejaillir à 2 égards sur sa communauté, 1°) en servant de contre-exemple aux autres FF, en particulier peu chevronnés, et 2°) parce que toute indifférence d’un frère délègue à tous ceux qui restent une part supplémentaire de responsabilité dans la conduite de la loge. Cette indifférence fonctionnelle est un luxe que ne se permettent généralement pas les loges à petits effectifs, qui se sentent à raison obligées de venir et a fortiori d’intervenir pour continuer à faire vivre les débats.

A cet égard, l’indifférence est encore plus préjudiciable que l’inassiduité, qui a au moins le mérite peu glorieux de trancher dans le vif. L’humaniste est celui qui met de l’huile dans les rouages ; il est celui dont l’absence à une tenue génère un manque mal définissable, mais en tout cas bien réel. Il faut distinguer l’humanisme spontané, qui est quelque fois une armure, de l’humanisme digéré, confirmé, établi, dont on perçoit sur le long terme l’importance structurelle. L’humaniste est souvent maçonniquement mur, parce qu’il s’agit d’un sentiment travaillé au cours du temps, peut-être plus long à faire émerger que les 3 autres postures.

Être humaniste réclame une tranquillité d’esprit, apporte à une loge des sentiments, une ambiance, il ne se définit pas comme tel, mais c’est l’autre, généralement, qui lui confère cette dignité. On aurait tort de voir chez l’humaniste une forme de déviance anti-intellectuelle ou d’un pis-aller facile à mettre en œuvre. Au contraire, l’humaniste est quelqu’un qui met ses atouts, ses forces et sa personnalité à disposition de l’autre : c’est sa propagation, son émission qui en fait la force. J’assimilerai l’humaniste à l’élément feu, de ce qu’en dit le rituel du 1er degré : « l’humaniste est subsidiaire, dans son sens de second, mais non de secondaire, il est une vision de l’homme par lui-même, il rend l’autre meilleur parce qu’il est déjà lui-même le résultat d’une forme d’aboutissement. L’apparatchik est un mal nécessaire, car sans lui, pas d’appareil. L’apparatchik est médiocre, entendu dans son sens étymologique du 15ème siècle, de « celui qui est, par la quantité ou la qualité, entre le grand et le petit ». C’est sa position qui conditionne sa fonction, car le principal danger qualifiant l’apparatchik, est s’il tente de s’extraire lui-même du mécanisme dont il est le rouage : il perd alors sa crédibilité et peut alors s’égarer, en s’attribuant le rôle d’un censeur ou d’un donneur de leçons.

L’apparatchik ne peut, à travers lui, ne représenter que l’appareil, qui le désigne comme bras armé, et c’est là le danger : l’apparatchik peut outrepasser ses prérogatives lorsqu’il tente de tordre la loi à ce qu’il pense utile. Or, l’appareil est trop important pour être confié aux seuls apparatchiks, comme d’ailleurs aux seuls humanistes, créatifs et indifférents.  L’appareil étant un subtil équilibre, J’ajouterais, avec un brin d’ironie, et pour en connaître quelques-uns qu’il faut être intelligent, mais pas trop, sans quoi risque-t-il d’effrayer ses semblables.

Le créatif, enfin, doit en premier lieu confiner à l’humilité, non pas sur le plan moral, mais parce qu’un frère qui se sent en adéquation avec ce qu’il produit ne ressent pas le besoin de se manifester outre mesure, car l’humilité n’est pas une qualité, simplement un constat, la prise de conscience que la fonction ne dépasse pas l’organe. Le créatif ne doit pas être, en tout cas dans l’initiatique, quelqu’un de brillant, cette brillance illustrant une perte de lumière, car une trop forte lumière aveugle, non seulement lui-même, mais surtout ses congénères.

En fait, le créatif se doit de remiser au garage l’ostensibilité de l’humaniste ; la condescendance de l’apparatchik, et l’abandonisme de l’indifférent. Le créatif effraie l’apparatchik, qui y voie une forme dangereuse de domination naturelle. J’assimilerais le créatif à l’élément air qui, comme nous l’illustre le premier voyage de l’apprenti, peut facilement déstabiliser son auteur. Car, autant les 3 autres qualités sont facilement délimitables à celui qui les porte, autant la création peut échapper au créatif si elle se voit trop belle.

Tout ceci explique en quoi l’initié est différent du profane, non pas qu’il possèderait des qualités particulières, mais plus simplement qu’il se doit de les nuancer, afin de se les approprier pour le bien commun.

Thierry Didier.

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Thierry Didier - L’APPAREIL MAÇONNIQUE DANS TOUS SES ÉTATS Part IV et FIN
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Vous êtes passionnés par les textes de Thierry Didier pour aller plus loin avec lui sur les chemins de la Connaissance à la recherche de la Lumière et de la vérité. Ses livres sont passionnants, ce sont des portes d'accès sur la richesse du Rite Écossais Ancien et Accepté.

Ils sont disponibles chez les libraires et aux Éditions Symbolon.

Jean-François GUERRY.

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Publié le par Jean-François Guerry
Francis Lermenier Conférencier

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Le Tarot et ses images a traversé le temps, c'est un langage universel, langue des oiseaux ? Il intrigue, passionne, dévoile... C'est un jeu, un jeu de rôle, mais pas que... Les spécialistes sont rares, Francis Lermenier en fait partie vous êtes à Quimper le 15 novembre prochain une occasion de le rencontrer pour vous inscrire à sa conférence utiliser le lien 

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CONFÉRENCE SUR LE TAROT À QUIMPER LE 15 NOVEMBRE
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