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la Franc Maçonnerie au Coeur

la Franc Maçonnerie au Coeur

Un blog d'information, de conversations sur le thème de la Franc Maçonnerie, des textes en rapport avec la Franc Maçonnerie, comptes rendus et conseils de lectures.

Publié le par Jean-François Guerry
STATIQUE OU INITIATIQUE
Photo de mbacloud sur Unsplash

STATIQUE OU INITIATIQUE

 

Le véritable initié n’est pas statique, l’initiation est commencement et mouvement, pensée et action, theoria et praxis. Elle se distingue de la religion, en ce quelle est voie vers la transcendance et non acceptation de dogmes, elle va au-delà de la simple acceptation d’un mystère céleste, elle part à sa découverte en ayant conscience que le chemin prime sur le but accepté comme inatteignable, elle n’est pas déterminisme teinté de divin. Ce serait nier toute possibilité pour l’homme de progression, de perfectionnement le cantonnant dans une révélation passive, empêchant toute découverte de lui-même, du monde, des autres. Ce qui ne veut pas dire que les religions ne sont pas porteuses de vertus, dont l’initié sera amené à tirer profit. La méthode initiatique maçonnique est exercice spirituel c’est-à-dire theoria et praxis, formation et application. L’initiation est responsabilité morale vis-à-vis de nous-mêmes, des autres, du monde.

Le fait que l’homme possède en lui une parcelle de divin, ne veut pas dire qu’il est parfait et qu’il ne doit pas tendre vers la perfection. La parcelle de divin, ne reste qu’une parcelle, ou un grain en phase de germination pourvu qu’il soit mis en terre et amender.

Il ne suffit pas en effet d’être touché par une forme de grâce divine pour s’accomplir, il faut maturer, faire mûrir le grain. L’image de l’homme ne peut être infundibuliforme, ou alors celle d’un entonnoir positionné le bas en haut. La graine, l’eau divine, la parcelle de lumière doivent prendre de l’expansion, pour se rapprocher de la Grande Lumière incompréhensible, inconnaissable, inatteignable. L’initiation quand elle franchit certains degrés, certaines portes, permet parfois une forme d’illumination le plus souvent éphémère, extatique ce que l’on traduit par égrégore, harmonie, ou simplement joie dans nos cœurs. Le maçon sans cesse avance grâce à cette maxime : Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer…

Le maçon vit dans l’espérance de voir un jour, peut être un peu de Lumière sortir des ténèbres, cela donne du sens et un sens à sa vie, il sent bien que peu à peu l’esprit prend le pas sur la matière, pourvu qu’il soit un membre actif, fidèle et persévérant dans l’amour du bien, du juste et du beau.

 

                                            Jean-François Guerry.

C'est la rentrée pour vos décors ....
STATIQUE OU INITIATIQUE
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Aller vers la Lumière

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Publié le par Thierry Didier
NIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART V-  et FIN Thierry Didier
NIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART V-  et FIN Thierry Didier
NIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART V-  et FIN Thierry Didier

Il s’agit là d’un autre niveau d’analyse, plus catégoriel, et d’une certaine façon holistique, dans laquelle les fermions constituent la détermination d’une certaine « granularité » fondamentale de la réalité, d’une forme de matérialité. En effet, ces particules quantiques subissent comme les autres une forme d’incertitude sur leur position, mais bénéficient de ce qu’on appelle le principe d’exclusion, grâce auquel chaque électron ne peut pas occuper la place d’un autre, sans quoi ladite matière s’effondrerait sur elle-même. Pour filer la métaphore, le principe d’exclusion peut être expliqué par le jeu des chaises musicales : 6 chaises, 7 candidats, puis 5 chaises et 6 candidats, etc…. Á chaque tour, un candidat sera exclu afin que la « trame » de chaises, c’est-à-dire l’aspect solide de la matière demeure prépondérant sur le balai « labile » des candidats.  

Ce principe permet une alternative à la non-localisation, créant la représentation mentale d’un solide, illustrant la répartition ontologique de ces éléments, qu’on peut symboliser, s’agissant de l’Arbre séphirotique, par l’image « arrêtée » des séphiroth, où chacune subit l’influence des autres, mais sans possibilité de s’y substituer. L’autre grande catégorie sera celle des bosons, particules ne bénéficiant pas du principe d’exclusion précédemment cité, et donc se constituant en « flux », en faisceau transmetteur de forces. Il est assez contre-intuitif d’imaginer ces « grains d’énergie » comme des forces, mais cela est rendu effectif par les collisions rendues possibles (car non exclues) entre lesdits bosons, ces derniers libérant à ce moment une partie de leur énergie en forces propagatrices, à l’image d’un liquide, dont les molécules « glissent » les unes sur les autres. Nous y verrons aussi les 22 sentiers de l’Arbre Séphirotique, de même substance que les 10 séphiroth, mais possiblement fluctuantes.  En fait, plus que d’un gradient ou d’une échelle il s’agira, avec l’Arbre Séphirotique, d’une matrice, telle celles mises en avant par la pensée chinoise, où l’on puise çà et là des « causes » diverses, qui donneront alors des effets proprement « imprévisibles », car non linéaires. L’Arbre Séphirotique est en fait une image captée, et même « capturée » de ces quantifications appelées séphiroth, qui sont, selon l’explication commune, des « versants possibles » de la manifestation divine. Arithmosophiquement, il s’agit là d’une redondance, car le nombre « 10 » signifie l’unité réalisée, et donc les aspects divins qui en découlent, ce qui valide la situation des séphiroth.

Il en est de même pour les 22 sentiers, le nombre « 22 » symbolisant le nombre de lettres de l’alphabet hébraïque, mais aussi phénicien, éthiopien, hiératique égyptien, c’est-à-dire l’occurrence de lire, et donc de lier, en associant l’antagonisme des forces cosmiques (le « 20 »), à l’antagonisme des tendances individuelles (le « 2 »). Dit en termes moins fumeux, il s’agit de « rassembler tout ce qui est susceptible d’être épars ». Ces sentiers assurent non seulement leur liaison, mais également la possibilité de nuancer une valeur primitivement « entière » : c’est pourquoi chaque Séphirah est « nommée », ce qui permet de la qualifier, sur divers plans, moraux, philosophique, initiatique, épistémologique, mais aussi de la quantifier, c’est-à-dire d’en faire une « substance momentanément finie ».

Dans le domaine ésotérique, rien n’est négligeable, ni indépendant de ce qui l’entoure. Á cet égard, le milieu dans lequel « baignent » les séphiroth, qui leur permet donc d’exister et de se situer, connait son équivalent en physique quantique par le champ dit « de Higgs », qu’on peut définir comme une sorte de « viscosité de fond », qui va conférer aux particules quantiques, définies au départ comme une fonction d’ondes, une certaine masse (sauf chez le photon qui n’a pas de masse). Cette masse sera objectivée au niveau des séphiroth par une figure que certains qualifient trop vite de sphère ou de « boule ». Il s’agit plutôt ici de configurer ces limites selon des traits curvilignes fermés, en lien rotond avec le Divin.

On pourrait aussi comparer cet arbre à un tableau de loge, qui sera, au-delà des significations et des relations symboliques multiples qui s’établissent entre ces composants, un lieu d’équilibre entre lesdites entités, et d’autre part avec le « bain métaphysique » duquel elles émergent et dans lequel elles évoluent. Le tableau de loge est, dirions-nous aujourd’hui, un écosystème qui se suffit à lui-même, mais qui est constitué à la fois de symboles émergents, propres au grade : ce sont les images illustrant ledit tableau, et d’un « fonds diffus », d’un tissu nourricier invisible, d’un environnement ineffable constitué de tout ce qui n’est pas visuellement présent et qui constitue l’arrière-plan dudit tableau. Cet ineffable constitue aussi, nous l’avons déjà signalé, l’Ein Sof des kabbalistes, assimilable au vide quantique. Mais l’Arbre Séphirotique n’est pas seulement une interface, ou un juste milieu entre monde divin et monde tangible : il se suffit à lui-même, apparaissant comme un appareil auto-géré, auto-régi, le protégeant en fait de toute velléité excessive du dévot ou de l’impie.

Pour cela, sa fonction suprême, celle de la Connaissance, se devra d’être objectivée au sein même de son appareil. Da’ath, la 11ème Séphirah, dite « invisible », nichée dans le cœur battant de l’arbre kabbalistique des Séphiroth signifie en effet « Connaissance » : ce statut fait qu’elle n’est pas qualifiable en tant que telle, puisqu’elle est, déjà par elle-même, la qualification suprême, et la garantie à elle seule de toute la légitimité d’exister de l’Arbre Séphirotique. Da’ath est une forme de mise en abyme de cette Connaissance qui imprègne chaque Séphirah dans ses liaisons avec les autres Séphiroth. Nous pourrions dire que Da’ath est un « passeur » providentiel, dans son étymologie subsidiaire, c’est-à-dire qu’elle pourvoie au lien entre 2 mondes. Par sa transcendance discrète, Da’ath renvoie les autres séphiroth à leur qualité d’avatar, elle permet d’ajouter à la compréhension du divin par l’articulation entre ces Séphiroth, une finitude qui fait qu’elle se suffit à elle-même.

Si cette séphiroth est « cachée », c’est d’abord parce qu’elle apparait en filigrane du plan d’expression de l’Arbre, qu’elle est un pont invisible entre ce que j’ai appelé plus tôt, s’agissant de la physique quantique, le « Champ de Higgs », fonds diffus et nourricier, profond, et les autres séphiroth, plus ostensibles et de ce fait plus limitées dans leur valeur significative. Da’ath n’est donc pas proprement dissimulée, elle opère simplement sur un plan intermédiaire, entre les autres séphiroth et l’Ein Sof. L’élusivité de Da’ath connait un équivalent en physique quantique, le boson de Higgs, très furtif, d’ailleurs découvert en dernier parmi les particules quantiques, et qui, comme elle, possède des caractéristiques qui le distingue des autres quanta, cedifférentiel constitutif permettant d’agir derechef sur ces derniers.

Le boson de Higgs pourrait, à l’instar de Da’ath, être dit « invisible ou caché », car ce qui caractérise les autres quanta est chez lui absent : sa présence donne de la « viscosité » aux autres quanta, c’est-à-dire une masse à ce qui n’était qu’une fonction d’ondes ; conséquence : la théorie ne lui prévoit pas de masse, puisqu’il ne peut pas être à la fois, à l’instar de Da’ath, une référence et un « référé ».   De plus, le boson de Higgs n’a pas cette signature qu’on appelle le spin, qui est une sorte de « rotation intrinsèque » caractéristique des quanta, il interagit uniquement avec lui-même, et son existence est trop brève (de l'ordre de 10 puissance moins 22 secondes) pour qu'on le détecte directement.

Bref, ce qu’il faut retenir de Da’ath et du Boson de Higgs, c’est qu’ils échappent quelque part à la « ligne éditoriale » de leurs domaines respectifs, tout en y appartenant quand même : cette asymétrie est fondamentale, car elle permet de créer un point d’ancrage, extérieur par définition, apte à « densifier », à autonomiser peu ou prou ce système. L’Arbre Séphirotique, comme l’univers quantique, peuvent donc être qualifiés, excusez le caractère « désincarné » de cette approche, de « conurbations » de concepts définis sur le papier par des valeurs mathématiques, morales ou métaphysiques qu’il conviendra, pour l’initié, de « dépasser » en faisant usage d’un syncrétisme dont la portée dépendra du caractère, de la culture, de la conscience et de l’intelligence dudit initié. Si la réflexion est cohérente, rien ne sera jamais faux.

Simplement la réflexion se situera à des niveaux variables, elle demeurera plastique, et c’est ce formalisme de la plasticité qui permettra d’avancer dans « les voies de la Connaissance ». L’Arbre Séphirotique tout comme le modèle quantique ne sont donc pas à proprement parler, didactiques, d‘abord parce que leur fonction n’est pas celle-là , mais celle d’établir des ponts entre 2 autres milieux ; ensuite , et c’est une conséquence de la précédente, parce qu’ils offrent d’emblée toute leur structure à l’impétrant, afin que celui-ci puisse prendre la mesure de ce qui lui est soumis, et c’est là le « piège » : tout est exposé, mais rien n’est véritablement visible, chaque Séphirah, chaque quantum possédant une spécificité qui existe par la valeur qui lui est attribuée, mais aussi par sa position relative dans le schéma prescrit.

Cette aptitude est séduisante car elle décrit des phénomènes subtils, attractifs, quelquefois contre-intuitifs qui ne doivent pourtant pas « masquer » le caractère nécessairement subjectif de leur étude. Le modèle quantique, par exemple, ne se marie pas au modèle relativiste, et donc pas à ce modèle prégnant chez le franc-maçon, celui de la mesure.

Alors que le simple fait de tenter de mesurer un effet quantique se heurte à ce qu’on appelle la « décohérence », dans laquelle toute intrusion, ne serait-ce que visuelle, si infime soit-elle, provoque ce qu’on nomme un « effondrement quantique », où les lois régissant ce monde infiniment cessent immédiatement d’exister et basculent suivant les lois de la physique classique, relativiste. Ce terme de « décohérence » est péjoratif, car nous aurions tout aussi bien pu définir le passage du quantique à la physique classique comme une « recohérence relativiste » il porte en fait, par ce qualificatif, toute l’impuissance de la communauté scientifique à observer et maintenir en l’état cet effet.

L’effondrement quantique n’est pas un acte de révélation et d’émanation, mais, au contraire, un acte de restriction, d’où son épithète péjorative. On peut ainsi le rapprocher de la Chute adamique, depuis l’Eden, monde indifférencié vanté par la religion, où tout est potentialité, vers le monde discursif tel que nous le connaissons qui est, d’après la Bible, endroit de douleur et siège du Mal, en tant que pendant à l’inévitable Bien.  Ce retrait existe aussi dans La Kabbale, sous le nom de Tsimtsoum. Cet acte de « retrait ontologique » qualifie au mieux le passage de l’Ein Sof à sa manifestation en séphiroth.  Le retrait d’un milieu par rapport à un autre a cet avantage de ne laisser à aucun moment un « espace » neutre entre les 2 : ce qui est laissé est instantanément occupé par le milieu récepteur, en l’occurrence ici celui de l’Arbre Séphirotique, du monde tangible, et de l’espace-temps qui se crée.

 

Le Soleil-principe ne peut être, à l’origine, que principiel, puisqu’il se trouve en amont des anges, et non le simple luminaire placé au-dessus de l’Orateur, en loge symbolique. Il n’est perceptible, à l’instar des 3 modulations de l’Ein Sof, qu’au travers de 3 substrats successifs, aptes à moduler sa vigueur. Le 1er filtre sera celui du cercle pointé, le 2ème un triangle apposé sur le disque principiel : ce triangle va donner au Soleil-principe de l’étendue nuançant par essence une perception trop violente qui affecterait notre esprit. Le Soleil-principe ici ne signifierait rien s’il n’était lu par le prisme de ce triangle, qui lui confère la capacité à être un tant soit peu agissant, le triangle donnant au Soleil-principe un principe de dimension et de quantité à même d’en faciliter l’approche.

Enfin, les 3 S « postés » aux 3 sommets du triangle (Sagesse, Saint et Science) complètent ledit triangle, le renforcent, car il s’agit là de vertus proprement humaines.

La sentence LUX EX TENEBRIS, disposée entre Principe et matière, libère paradoxalement l’intelligence humaine, en tombant, par la Chute Adamique ou l’effondrement quantique, dans le manifesté. De façon presque naturelle, les Keroubim ou Chérubins, à la fois protecteurs et intercesseurs vont trouver leur place immédiatement à l’extérieur de cette sentence, pour border et rendre intelligible la liaison entre Principe et Nature. Ensuite le monde tangible va pouvoir se décliner en de nombreux archétypes tels que les 4 éléments alchimiques, les 3 états du feu, symbolisés par des bougies ; le Temple de Salomon flanqué des 2 colonnes ; l’Agneau ; le Caducée ; les 3 états de l’Être et la symbolique des nombres. Le caractère didactique, car fragmenté, compartimenté, des tableaux de loge précédents ne demande plus ici à être apprécié selon un ordre sérié, mais dans une mouvance qui n’en est une que pour les non-initiés…

Thierry Didier.

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NIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART V-  et FIN Thierry Didier
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Publié le par Jean-François Guerry
L’IMPORTANT C’EST DE PARTICIPER.

L’IMPORTANT C’EST DE PARTICIPER.

 

 

L’important dans la vie ce n’est point le triomphe, mais le combat, ce n’est pas d’avoir vaincu, mais de s’être battu. 1[1]

 

 

En matière initiatique en effet l’important c’est de participer. De participer cela « va de soi » à sa transformation, à son changement d’état d’âme qui est un véritable vécu de l’être. Une expérience, un exercice spirituel majeur, qui commence par un exercice physique. La participation de l’initié est incontournable, puisque l’initiation est une communication directe avec le sacré de notre vivant hic et nunc.

L’initié n’a pas besoin d’un intermédiaire pour entrer en correspondance avec le divin. En ce sens qu’il n’assiste pas à un rite mais qu’il y participe. Les officiants, les initiants et le rite ne sont que des bâtons de pèlerin ou des échelles, des béquilles pour l’aider, le mettre sur le chemin, mais lui seul avance pas à pas, mot à mot.

Dans un monde intérieur chaotique, l’initié remet de l’ordre en lui en recherchant l’essence de ce qu’il est. Il prolonge cette expérience « en tire profit », pour essayer de remettre de l’ordre dans le monde. C’est le sens de la réception de la Lumière qui va mettre de l’ordre dans le chaos. La succession initiatique de « lux ex tenebris et Ordo ab Chao ». Chacun, à sa place, à son office participe au rayonnement et à l’Ordre. Le rite apparaît comme une réitération de la Genèse, c’est-à-dire la mise en ordre du chaos initial. Celui qui assiste, sans vivre et participer n’a pas sa place parmi les initiés.

La responsabilité de l’homme initié est de participer, par ses vertus, son art, son œuvre personnelle, au plan cosmique à la cohérence harmonieuse universelle. Cette transformation, initiation est celle de l’alchimie, elle est aussi un choc unique mais réitéré plusieurs fois afin de se renforcer sans cesse, elle agit comme la force d’un mantra. Ainsi nous reconstruisons à chaque réunion des initiés l’espace sacré de la Loge, la préparation à la communication, au partage en initiés et à l’Alliance avec le principe et la nature qui se confondent. Cette mutation, cette transformation est lente et progressive, elle se distingue de la foi et des confessions religieuses qui imposent le tout ou rien. Il ne s’agit donc pas de vaincre à tout prix, ce serait vanité, mais de participer, d’avancer, d’apporter sa part. Je n’emploierais pas cette valise fourre-tout éculée, vulgarisée : « apporter sa pierre à l’édifice ! ». L’orare doit s’accompagner du laborare. Il faut d’abord retrouver dans sa caverne la pierre magique, fabuleuse bien dissimulée. Les chercheurs de l’Or spirituel, ne sont pas ceux de l’or matériel. Proclamer de manière ostentatoire apporter sa pierre à l’édifice, c’est nier l’humilité consubstantielle aux grands initiés. C’est la différence en le plus grand des sophistes Protagoras vendant son savoir de cité de cité et Socrate le fils d’une sage-femme et d’un sculpteur qui proclamait dans les rues d’Athènes : je sais que je ne sais rien. Socrate était à la recherche de la Connaissance et non des savoirs. Cependant on ne peut pas et à quel titre jeter la pierre à Protagoras qui est mort près de 20 ans avant Socrate. Et après tout, il n’est pas incompatible d’être et de savoir, le savoir participe à la recherche de la Connaissance qui est Amour. L’important c’est de participer…

 

                                            Jean-François Guerry.

 

[1] Pierre de Coubertin. L’historien, auteur, membre du Comité Pierre de Coubertin, Jean Dury nous rapporte cette phrase prononcée par Pierre de Coubertin le 24/07/1908 lors d’un dîner offert par le gouvernement Britannique. Phrase transformée et vulgarisée par : « L’important c’est de participer ».

L’IMPORTANT C’EST DE PARTICIPER.

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UNIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART IV- Thierry Didier
UNIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART IV- Thierry Didier
UNIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART IV- Thierry Didier

 

Cette « coloration » et cette « saveur » seront transposées dans l’Arbre Séphirotique en valeurs qualifiant les émanations divines, que matérialise chaque séphirah, valeurs morales, métaphysiques, voire situationnelles, mais obéissant aussi à un « prosaïsme confessionnel » dont seul le judaïsme est capable : couronne, beauté, force, miséricorde, Connaissance, intelligence, gloire, etc… Il ne faut surtout pas voir cette quantification des séphiroth comme une façon de les apprivoiser, de les réduire à une simple fonction mécaniste, car quantifier n’est pas rendre « plus prosaïque », c’est même plutôt le contraire, car cette « finitude transitoire » du concept, et c’est là un euphémisme, se prêtera parfaitement à sa collusion avec l’idée d’un syncrétisme mouvant, d’une transformation perpétuelle et d’une amplification sporadique permise par l’induction créatrice des 22 sentiers reliant les 10 séphiroth. La force de l’Arbre séphirotique sera qu’il est tellement archétypal qu’on ne pourra se résoudre, à son égard à une seule interprétation possible : on pourra y voir aussi bien un « boulier métaphysique », un gradient, une arborescence, un corridor ou un organe spéculaire, c’est-à-dire un portrait où se mirent nos attitudes et notre intellect, nous permettant, excusez cette redondance, de « spéculer », c’est-à-dire de compléter sans cesse l’approche relativiste du monde qui nous entoure. La vision la plus adéquate, mais en même temps la plus abstraite consisterait peut être à voir dans l’Arbre Séphirotique un « champ des possibles », pouvant exister sous 2 états très ponctuels, celui des séphiroth, qui symboliseraient une confluence « localisée et temporaire » et celui des 22 sentiers, qui ne sont autres autre que ce même champ, mais envisagé de façon potentielle, diffuse, non localisée.

Métaphoriquement, cet arbre serait assimilable au sang, seul tissu conjonctif liquide de l’organisme, fait d’« éléments figurés », les globules, plaquettes et consorts, et de plasma, sorte de fluide nutritif fait d’eau et de minéraux, échangeant sans cesse par les lois de l’osmose avec ces éléments « solides » précités. Alors bien sûr, un globule reste toujours un globule, et les transformations du plasma ne changent qu’à la marge la forme et la constitution des éléments qui y baignent. Alors que la physique quantique opère à la limite de la métaphysique.  Ce qui veut tout simplement dire qu’une découverte dans ces domaines-limites se partagera nécessairement entre le « dit » objectif, versé au dossier du prosaïque et un « non-dit » transitoire, versé au dossier « métaphysique ».

La métaphysique est alors ce qui nourrira les espoirs de découvertes les plus controversés. Rien d’anormal là-dedans, la métaphysique sera toujours ce domaine à l’ambivalence nécessaire : on a coutume, et c’est un contre-sens, à voir le radical méta- comme une temporalité : la métaphysique serait après la physique, au-delà de celle-ci, mais cet au-delà n’a pas de valeur temporelle, il est travaillé par l’homme qui sait se montrer « dépassé » sans se perdre…Et cette boussole s’appelle la métaphysique. Dans cet esprit, la vision que requiert l’Arbre Séphirotique se devra d’être avant tout globale, sur un mode méditatif, où l’attention passera de pôle en pôle sans jamais s’« attacher » à une valeur particulière.

On retrouve là l’esprit général de la franc-maçonnerie, qui est d’émanciper les personnes qu’elle contribue à construire, dans un objectif de souveraineté intellectuelle et d’autonomie fonctionnelle. Les exemples proposés peuvent être vus comme des illustrations un peu naïves, voire simplistes ; il n’en demeure pas moins, et c’est là leur force, que tout est lié dans ce bas monde, fut-il microcosmique ou macrocosmique. La limite entre physique et métaphysique est de toute façon toujours mise à rude épreuve : si vous lisez des ouvrages de scientifiques portés sur l’aspect fondamental de leur recherche, il y a toujours un moment où ils décrochent dans leur analyse prosaïque, et où leur seule échappatoire est de digresser pour faire diversion, ou simplement pour marquer leurs limites. 

C’est tout l’intérêt de ces disciplines médianes, que sont la physique quantique et l’étude séphirotique Cette approche sera néanmoins conditionnée au fait que nous ayons préalablement étudié chaque séphirah dans son essence propre. Nonobstant une vertu précise alléguée à chaque séphirah, leur essence pure n’existe pas, en fait, de façon définitive, étant, du point de vue quantique, plus le condensat de diverses valeurs que d’une valeur unique. Cette relativité est une force, comme elle l’est en franc-maçonnerie, car elle n’impose aucun dogme définitif. Il existe en effet une grandeur qualitative pour chaque émanation divine séphirotique, témoignant de son usage dans un entre-soi à la fois séculier et régulier. Mais en même temps, ses relations inaliénables avec les autres séphiroth tendent à relativiser la « tessiture » de la valeur morale qui est attribuée à chacune. 

Ainsi, par exemple, la 5ème séphirah, nommée Gevurah, « force » ou « rigueur », interagit-elle avec la miséricorde (Chesed), la gloire (Hod) et l’intelligence (Binah) ; elle sera donc, à un instant T, un peu de toutes celles-là, en quantité variable. Nous appellerons, en physique quantique, cette capacité à épouser différentes valeurs la superposition quantique, où chaque quanta existe simultanément sous des différentes valeurs, ce qui multiplie à l’infini le nombre de localisations possibles. Á sa façon l’Arbre Séphirotique est également une superposition de 10, voire 11 séphiroth, dans la mesure où ces canaux que sont les sentiers, sont effectifs. Autre corrélation intuitive, validée par l’expérimentation scientifique : la physique quantique a classifié les particules quantiques en 2 grandes catégories, les fermions et les bosons.

Thierry Didier.

À SUIVRE...
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Publié le par Jean-François Guerry
La guerre civile abolit, efface toute morale, le fils est prêt à tuer son père et le père à tuer son fils. Le moindre "délit d'opinion" se lave avec le sang de ceux qui hier encore était des frères...

Jean-François Guerry.

QUATREVINGT TREIZE : La guerre civile est une chose effroyable !
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LE PHARE DE LA TEIGNOUSE ÉCLAIRE LA BAIE DE QUIBERON QUI FÛT LE LIEU D'UNE BATAILLE SANGLANTE ENTRE LES BLEUS ET LES BLANCS

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Publié le par Thierry Didier
UNIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART III- Thierry Didier
UNIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART III- Thierry Didier
UNIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART III- Thierry Didier

Définir par exemple 2 univers ramènerait ceux-ci à une vision binaire, non ineffable, car détenue par l’homme en général ; en définir 4 n’apporterait rien de plus, puisque le processus d’identification symbolique s’arrête au nombre 3, et serait reproduit rel quel à la simple adjonction d’une unité supplémentaire. Même au niveau de l’Ein Sof Aur, nous restons dans une dimension archétypique, que l’on retrouve parfaitement illustrée dans le tableau du 28ème degré, où le soleil-principe, qui est plus que le simple luminaire, ensemence, irrigue toute une suite articulée et hiérarchique de symboles à même de reproduire ce délicat passage du principe à la matière. Cette approche particulière permet donc de proposer une alternative au phénomène intuitif de continuum, que l’on rencontre communément : la gravité, le sable, l’eau, la pensée, l’intelligence, le temps et l’univers semblent formés d’un tissu « conjonctif », s’écoulant sans obstacles, une sorte de « fluide métaphysique » continu.

C’est une forme d’adaptation de la chair à des principes mécanistes dont on a du mal à se départir, et qu’on ne peut alors concevoir, faute de mieux, que sous forme d’un flux. La notion de continuum semble alors intuitivement plus avancée que celle de « grain » (quanta, en latin) car elle nous emmène intuitivement vers l’image d’une affluence, d’une dynamique ou d’un essor qui évoque intuitivement l’esprit, l’intelligence ou la pensée. En fait, la notion de continuum symbolise un biais d’attrition, une carence de perception de l’individu à se servir d’un concept, n‘y voyant que son aspect corrélé, voire même, comme dans les fonctions d’ondes vibrant dans le vide quantique, que la corrélation elle-même. Ceci corrobore la théorie de la Relativité générale d’Einstein, qui décrit l’Espace-temps comme continu et lisse alors que la théorie quantique le décrit comme étant « discret (constitué d’unités discrètes) et agité », donc non-localisé.

L’ondulation, l’écoulement, la stillation plaisent à l’intellect, qui y voit une forme de spiritualisation de la pensée et de la matière. Cette vision n’est pas fausse, mais partielle : elle deviendra plus aboutie lorsqu’on y associera ce que les physiciens appelèrent donc les quanta, constituants ultimes des protons, électrons et neutrons, qui sont des condensats d’énergie discontinus et indivisibles, des sortes de « paquets » (on parle d’ailleurs de « paquets d’onde ») résistant, à très petite échelle à cette « fluidité ontologique » supposée. Pour faire un autre lien entre quanta et séphiroth, les physiciens parleront ainsi, à propos de ces particules singulières, de « couleur » et de « saveur » particulières, qualifiant de façon ambiguë lesdites particules, et trahissant quelque part la difficulté à caractériser dans le monde commun cette physique si particulière.

Thierry Didier.

À SUIVRE...
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UNIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART III- Thierry Didier
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Publié le par Jean-François Guerry
Adam et Eve - Salvador Dali

Adam et Eve - Salvador Dali

RÉFLEXION : L’ANDROGYNE

 

 

Adam et Eve, Adam et Lilith, Janus, les deux Jean, la dualité, le bien et le mal, l’initiation écossaise à la recherche de son soi, du principe d’unité.

Chercher la réponse, les réponses aux questions existentielles avec l’aide des mythes, des légendes, de leurs héros extraordinaires.

Par exemple Dionysos ne craint ni les dieux ni les hommes, parce qu’il est fils de Dieu et d’une mortelle : soit de Zeus et de Sémélé déesse terre ou selon les mystères orphiques, de Zeus et de Déméter ou de Perséphone. Il est le produit de l’alliance entre le ciel et la terre, entre le macrocosme et le microcosme qualifié de « feu divin », il est aussi le dieu du vin symbole de la connaissance. Il ne craint donc ni les dieux, ni les hommes, ce rebelle incarne l’hubris la démesure. Il serait apparenté à une famille de bancals ou de boiteux en grec nyos = boiteux.

Ce dieu nous est sympathique, car nous sommes nous-mêmes des boiteux redressés par l’initiation. Il suffit de voir nos premiers pas en loge et notre redressement après nos trois voyages. De fils de la terre, nous cherchons à devenir fils du ciel ? On plutôt fils de la terre et du ciel, une manière de concilier foi et raison. Savoir garder la mesure : rien de trop c’est l’injonction de l’oracle. Si nous devons être des architectes de notre avenir comme Dédale, nous devons nous garder de brûler nos ailes trop près du feu ardent du soleil comme Icare. ; Ou encore nous protéger de l’ardeur de ce feu comme Moïse en s’initiant progressivement en prenant soin de retirer nos sandales, de protéger notre visage avec notre main. Il nous faut éviter toute ostentation, même si petit Dionysos nous sommes sorti de la cuisse de Zeus ou Sémélé nous avait placé pour parfaire notre croissance, notre perfectionnement. Nous n’en restons pas moins grâce à notre initiation comme Dionysos deux fois né.

Dionysos

À sa naissance Dionysos dieu cornu à la tête couronnée de serpents, ce bâtard fut découpé en morceaux par les Titans sur ordre de la « femme légitime » de Zeus Héra, de son sang paraît-il jaillir les grenades, est-ce ces grenades placées sur les chapiteaux des colonnes du temple. (B et J). L’histoire de Dionysos ne s’arrête pas là, sa grand-mère Rhéa rassembla les morceaux de son corps (voir la correspondance avec le Mythe d’Osiris). Dionysos fut ensuite déguisé en fille par Hermès, puis en chevreau confié à des nymphes. Adulte il découvrit la fabrication du vin, retrouvé par Héra, elle le rendit fou. Il partit pour un long voyage, il chemina si bien, dans différentes contrées qu’il fut confondu dans certaines d’entre elles avec Noé.

On peut retenir qu’il fut à la fois masculin et féminin, maléfique et divin, en clair un héros ambigu. L’androgyne n’est t- il pas la figure aboutie, majeure de l’altérité ? Le travestissement rituel présent dans plusieurs initiations, n’a-t-il pas pour objectif la découverte du véritable soi ?

Janus - Vatican

Dans nos rituels maçonniques, il y a souvent une dualité des rôles, confère le 3ème degré et le 30èmedegré. On peut penser aussi à la notion d’ange gardien, ou notre double, de notre « daïmon ». Le vin prisé par Dionysos est à la foi divin et diabolique en excès. On peut faire ici encore le rapprochement avec le patriarche Noé. Faut-il descendre aux enfers et se confronter à son double maléfique pour s’initier et remonter de la caverne à la recherche de la Lumière ? Il est constant d’observé que si le grain n’est pas mis profondément dans la terre il meurt, se dessèche. Il faut ouvrir et fermer les portes. Celui qui n’a pas connu l’initiation terrestre dans la caverne, peut-il prétendre à l’élévation céleste ? Paul Diel le psychanalyste qui distingue le bien et le mal, écrit aussi : il est cependant clair que la frénésie dionysiaque est exclusivement accessible à des hommes d’envergure, dont l’aspiration originellement élevée se trouve déviée de son but évolutif [1]

Moïse et le buisson ardent

Le parcours initiatique nous enseigne, que nous pouvons être autre en restant le même pourtant. Que notre désir de perfectionnement est à la fois infini et limité par notre condition de mortel. Dit autrement les arbres sont bien en terre et n’atteignent jamais le ciel. Quelques grands initiés paraît-il ont eu le privilège de contempler le principe, l’un, Dieu comme Moïse. Pourtant Franc-maçon nous avons retenu de ce héros bègue, ne sachant pas lire à peine qu’épeler, nous avons retenu nos premiers pas hésitants sur le pavé mosaïque, ni nu, ni vêtu, un pied nu pour ne pas profaner l’espace sacré. Plus tard, pour certains, ce signe pour se protéger de la Grande Lumière de cette flamme éternelle qui brûle dans le buisson ardent, sensée nous protéger du mal ? Il est sûr et certain que pour atteindre une forme d’unité harmonieuse, il nous faut associer les deux oracles de Delphes : le connais-toi… et rien de trop…

 

                                            Jean-François Guerry.

 

[1] Paul Diel, la Symbolique dans la mythologie grecque : étude psychanalytique. Éditions Payot 1952. Citation reprise dans Mythes et concepts de Jean-Bernard Levy. Éditions Selena.

RÉFLEXION : L'ANDROGYNE ?

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Publié le par Thierry Didier
UNIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART II - Thierry Didier
UNIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART II - Thierry Didier

Q- : « Comment êtes-vous parvenu à cet endroit ? », R- : « Par 3, 5 et 7 marches séparées par 2 repos».

Les repos constituent ici des stases nécessaires à l’assimilation d’une forme de dynamique vertueuse représentée par les marches, (identifiables aux séphiroth) qu’on ne gravit que par le mouvement, lui-même cadencé à la fois par son caractère escalatoire (des formes et des idées), et par une scansion permise par la progressivité et l’acutesse des nombres impairs (identifiables aux 22 sentiers). Il faut en effet imaginer l’Arbre Séphirotique comme une mouvance perpétuelle, où interagissent stations et mouvements. L'onde contourne les obstacles en les épousant, elle permet de garder du mouvement et donc de la liberté, tout en posant une réflexion précise et profonde sur cette intrication complexe qui se mène en permanence entre Nature et Individu, entre fonction d’onde et quanta, entre sentiers et séphiroth.

Cette intrication existe donc en physique sous le doux nom d’« intrication quantique ». Elle signifie que l’état d’un objet quantique conditionne celui d’un autre objet quantique, quel que soit la distance qui les sépare. Lorsque deux particules deviennent intriquées, elles semblent instantanément coordonner leurs états.  Cette propriété extraordinaire met sans doute en jeu le « bruit de fond ondulatoire » du vide quantique, dont les lignes de force entre 2 quanta, qui emplissent ce vide, vont se voir modifiées, cette « dissonance du milieu » servant alors d’information transmise, sous forme d’ondulations, à qui de droit.  Pour illustrer ce propos, prenons l’exemple des poissons, aptes à détecter d’infimes différences de pression barométrique dans le milieu aqueux, différences générées par le mouvement, par exemple d’un requin évoluant à 500 m de là.

Les mouvements ondulatoires du requin vont modifier la pression aquatique attenante, qui sera perçue par les détecteurs du poisson, car sa fluctuation sera transmise aux ondes de l’eau. C’est aussi le principe maçonnique d’exemplarité, dans lequel point n’est besoin de liens très proches pour voir son comportement influer sur autrui et inversement. Cette exemplarité sera d’autant plus forte que l’égrégore, ce tissu invisible, conjonctif et fraternel, sera plus épais, et que donc la transmission se fera plus intensément. De cette intrication découle une autre propriété remarquable, l’holisme quantique, dans lequel la somme des propriétés de 2 particules quantiques, même éloignées, est supérieure à celle de leur combinaison. Cela nous renvoie à la célèbre formule 1+1=3, dite de la tri-unité, ou pensée ternaire, dans laquelle le tiers inclus est représenté par l’initié lui-même.

L'onde est aussi une manifestation qui renvoie à une source, puissante mais bien souvent ineffable. Cette source ineffable est objectivée en physique quantique par ce qu’on appelle le vide quantique, vide supposé car transparent à l’intellect rudimentaire de l’être humain. Il s’agit en fait d’un endroit que l’on pourrait assimiler à un tissu nourricier, partout présent, uniquement rempli de « fonctions d’onde », c’est-à-dire d’oscillations correspondant à une probabilité de présence de ces quanta, particules fantastiquement énergétiques mais dépourvues de masse signifiante. Cette absence de masse, qui est, je l’accorde, difficile à concevoir pour un profane, signe pourtant cette apparente existence d’un vide et correspond, nous allons le voir, à l’Ein des kabbalistes. Pour les maçons, la fort célèbre devise « Ordo ab Chao » sera en fait la meilleure façon, par le chaos, d’imaginer ce vide. Par exemple, le vide quantique n’a de vide que le qualificatif ou que l’observation physique macrocosmique.

Il est en fait « vibratoire » : ce terme, ambigu, peut prêter à confusion, par son imprécision ou son caractère fumeux ; il faut concevoir le « vide » quantique non comme une forme d’absence de tout élément, mais comme le terrain de jeu de phénomènes si subtils qu’ils ne peuvent être définis qu’au travers d’un levier mi-symbolique mi- scientifique, celui de la fonction d’onde. Le chaos est foncièrement une « potentialité non ordonnancée » de laquelle sortira un agencement progressif, une « matière arrangée » ainsi apte à être conçue et reçue par l’intellect humain, et, partant, à s’infléchir sous l’action d’un principe différenciateur, qu’on appellera, c’est selon, Dieu, le GADLU ou l’Ein Sof (« sans limite ») des kabbalistes. Nous parlerons alors de vide parce que la petitesse et la célérité de l’ensemble n’apparaîtra pas à notre regard, bien trop lent et trop obtus pour détecter une présence en son sein.

Ces kabbalistes ont poussé la différenciation jusqu’à distinguer 3 « univers » dans cet ineffable : l’Ein, où la négation est un principe, et le néant une expression infiniment cyclique. L’Ein Sof, où l’absence de limites constitue malgré tout un seuil de plausibilité de l’existence (car la négation s’applique là à un substantif). L’Ein Sof Aur, enfin, qui voit apparaitre la lumière-principe (Aur) comme un signal sortant du bruit primordial. Pour établir une similarité avec l’univers quantique, il faut savoir que la 1ère révolution quantique vit la lumière physique définie comme une onde électromagnétique, portée par une dualité ondulatoire et corpusculaire. Il n’y a bien sur aucun lien structurel entre la lumière physique, et celle, métaphysique dont parlent souvent les francs-maçons, si ce n’est être un lien ontologique, caractérisé par des qualités de puissance, de fugacité et d’élusivité.

En fait, il faut considérer cette tripartition de l’Ein Sof comme une manière de générer, même au sein de cet ineffable, une dynamique (dont le 3 est le nombre symbolique), un élan ternaire propre à ensuite se « retirer » (Tsimtsoum en hébreu), afin de découvrir (dans les 2 sens du verbe) , l’expression en l’homme du divin, c’est-à-dire l’Arbre Séphirotique. Il faut considérer cette ternarisation comme une triangulation, c’est-à-dire une manière symbolique de « localiser », au moins mentalement ces 3 univers.

Thierry Didier.

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UNIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART II - Thierry Didier
ENVIE DE LIRE : EXTRAITS 
UNIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE - PART II - Thierry Didier
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Publié le par Jean-François Guerry


Samedi 25 octobre 2025
Château Saint-Antoine
Marseille
10 heures - 17 heures



XIVes Rencontres

Académie Maçonnique Provence





De l'Orient à l'Occident,

poursuivons encore

notre chemin...



 
 
Ma Très Chère Sœur,
Mon Très Cher Frère,

Les Maîtres Maçons voyagent de l'Orient à l'Occident, et de l'Occident à l'Orient dans un cheminement incessant.
Nous poursuivons ce chemin à l'occasion des XIVes Rencontres de l'Académie Maçonnique Provence qui se dérouleront le samedi 25 octobre 2025 au Château Saint-Antoine à Marseille, pour la suite des conférences sur la thématique

 
De l'Orient à l'Occident,

poursuivons encore notre chemin...

 


Nos invités et les thèmes de leur conférence seront :

 
Bertrand VERGELY
Philosophe, essayiste

Voyage en haute connaissance,
philosophie de l'enseignement du Christ



Thierry ZARCONE
GLNF
Historien, Directeur de recherches au CRNS
Vénérable Maître de la Loge de recherche
Villard de Honnecourt


Francs-Maçons et Rose-Croix,
à la découverte du confrérisme soufi
et de la chevalerie musulmane




Yves BOMATI
GLDF
Universitaire, historien des religions


Zoroastrisme, Ismaélisme
et Franc-maçonnerie

 
 

La journée est gratuite pour les abonnés 2025 de l'Académie Maçonnique Provence et des autres Académies régionales (Lille, Paris, Lyon, Dijon et Toulouse)

La participation aux frais pour la journée et de 25€ pour les non-abonnés auxquels s'ajoutent, le cas échéant, les frais de restauration (25€) comprenant le café d'accueil, le repas (entrée, plat, fromage, dessert, boissons, café) ainsi que le pot de départ.

À l’issue des conférences, nous vous enverrons les textes des conférenciers de même que l'enregistrement intégral des conférences et des échanges qui suivront.




 
Merci de diffuser cette invitation à tous
les Frères et Sœurs Maîtres de ton entourage.

 
Nous vous souhaitons un très bel été et vous prions de croire à nos sentiments les plus fraternels.
 

Alain Boccard
Président



PS: Les ouvrages coédités par les Éditions Ubik et l'Académie Maçonnique Provence
sont toujours disponibles en cliquant ICI:


Toujours disponibles :
Christophe Richard : Initiations, tantriques, initiations bouddhiques
David Taillades : Aperçus sur les origines médiévales de la Franc-maçonnerie
Alain-Noël Dubart: La Franc-maçonnerie entre passé et avenir
Marc Halévy, Après la Modernité, quelle Franc-maçonnerie ?

Marc Halévy, Kabbale et Franc Maçonnerie.
Louis Trébuchet, Le désir des collines éternelles
Louis Trébuchet, Appel aux racines spirituelles du REAA
Michel Fromaget, Corps, Âme, Esprit: Liberté, Vérité, Beauté
Solange Sudarskis, Il était une fois un mythe, Hiram

Jean-François Guerry, Exercices spirituels antiques et Franc-maçonnerie
Claire Reggio: Temple et lumière, une question d'orientation ?
 
 
 
 
 
 

Contact : academie.maconnique.provence@gmail.com
Téléphone: 06 ​42 26 75 95
COMMUNIQUÉ ACADÉMIE MAÇONNIQUE PROVENCE
Un moment de fraternité au milieu des bois "ensauvagés" par les hommes blancs ou bleus peu importe.
Une femme veuve, sans toit, sans famille, avec ses enfants orphelins ni bleus, ni blancs, simplement des enfants. Quand l'un de ces enfants rend aux combattants leur humanité en perdition.

Jean-François Guerry

Extraits cliquez sur les images 
COMMUNIQUÉ ACADÉMIE MAÇONNIQUE PROVENCE
COMMUNIQUÉ ACADÉMIE MAÇONNIQUE PROVENCE
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Publié le par Thierry Didier
COMMUNIQUÉ : THIERRY DIDIER  - UNIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE
Thierry Didier auteur et spécialiste du R E A A a effectué un travail original sur "L'Univers quantique et le Monde Sephirotique. 
 Il sera accessible à toutes les lectrices et lecteurs du Blog dans une version générale.
Et sur envoi du mot de passe du 30ème degré du Rite Écossais Ancien et Accepté, ainsi que de sa réponse par ceux possédant ce degré et son grade. Dans sa version faisant référence aux degrés supérieurs, jusqu'au 30ème.
adresse mail ci-dessous, pour envoi du Mot de Passe du 30ème degré, pour recevoir gratuitement la version faisant référence aux degrés supérieurs du R E A A. Nos remerciements fraternels à l'auteur pour son travail.

 

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les livres de Thierry Didier

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UNIVERS QUANTIQUE ET LE MONDE SEPHIROTIQUE. VERSION GÉNÉRALE - PART I- 
COMMUNIQUÉ : THIERRY DIDIER  - UNIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE
COMMUNIQUÉ : THIERRY DIDIER  - UNIVERS QUANTIQUE ET MONDE SEPHIROTIQUE

Ces 2 territoires intellectuels que sont la Kabbale hébraïque et la physique quantique semblent être à mille lieux l’un de l’autre, et ne jamais devoir se rencontrer : l’un est ésotérique, l’autre exotérique, l’un est prosaïque, l’autre métaphysique. En fait, une approche « intuitive » les rend beaucoup plus proches qu’on ne le penserait de prime abord, tout simplement parce que l’esprit humain utilise des voies qui se réfèrent toujours à un « logiciel » universel, qui est celui de la Vie. Il sera ensuite possible, grâce à l’esprit critique cultivé en franc-maçonnerie de décliner ce logiciel sur des « lignes de force » aussi différentes qu’une approche rationnelle, fatalement discursive ou qu’une approche holistique, forcément globalisatrice. L’initié, qui n’est pas contraint par les indispensables outils mathématiques que manipulent les spécialistes, pourra ainsi « comparer » ces 2 territoires, en se réclamant uniquement de spéculations personnelles, et non de faits objectivés. Il ne s’agira pas ici de définir une vérité, ou de confronter les idées d’une doxa toujours en évolution, mais de voir en quoi une forme de préscience, d’inspiration ou de conscience, éprouvée par l’exercice initiatique, pourrait rejoindre une forme de réalité, fut-elle partielle ou subjective. L’Arbre Sephirotique est un des totems de la Kabbale hébraïque, il est d’essence ésotérique et symbolique, mais c’est aussi et surtout un modèle intuitif, relié à d’autres modèles intuitifs qui habitent le cerveau de nos scientifiques, où se recoupent archétypes, postulats et équations s’approchant au mieux d’une réalité pensée.

C’est ce lien intuitif qui permettra à des initiés de pouvoir entendre cet arbre comme ce que Kant appelait un schème, c’est-à-dire une représentation intermédiaire entre les phénomènes perçus par les sens et les catégories de l'entendement. Cela permettra aussi, le cas échéant, de prolonger philosophiquement des trajectoires scientifiques inachevées : c’est par exemple la « théorie du tout », dont la coloration semble métaphysique, mais qui est aussi une tentative d’unifier les 4 forces définies par la physique, à savoir la gravité, l’électromagnétisme, l’interaction dite faible, et celle dite forte.

Par quel biais pourrait-on percevoir une similarité entre le monde quantique et le monde initiatique porté par l’ésotérisme de la Kabbale hébraïque, dont l’émergence respective dans la culture humaine est séparée de 17 siècles ?  Eh bien, par l’exercice de la franc-maçonnerie, déterminée comme « une discipline discrète mais non secrète ». Cette discipline n’est pas en lien direct avec les domaines considérés, elle se contente d’établir des cheminements de pensée, cultivant une souplesse intellectuelle permettant d’établir des ponts entre des objets a priori inconciliables. En effet, la recherche initiatique se doit, dans un souci d’efficience, de toujours s’en tenir à un « quant-à-soi méthodologique » bien précis, et à un usage « parcimonieux » des symboles afin de se « perdre » le moins possible dans les méandres d’une pensée ostensible certes indispensable, mais qui nous masque souvent une partie de la réalité.

Cette parcimonie n’a rien de morale : elle s’établit selon sa signification leibnizienne, qui veut que le principe de parcimonie soit celui d’une forme d’optimisation que d’aucuns qualifient à tort d’optimisme.  Dans ce cas de figure, la discrétion, qui est une parcimonie d’attitude ou de position, deviendra incontournable, cette « mise en situation » favorisant l’introspection et toute la finesse analytique qui en découlera. Mais ce terme de « discret » signifiera aussi autre chose, collant tout autant à la réalité du phénomène quantique. Nous devons en effet définir le terme de discret selon son étymologie première, fondamentale. Vers 1165, cet adjectif, emprunté au latin discretus, lui-même participe passé de discernere, signifiait « divisé, séparé, interrompu », puis, à basse époque, « apte à juger, prudent, juste ». Discret s’est aussi constitué au début du XIVème siècle sur la notion mathématique de discontinuité, et donc de « rupture » dans un environnement apparemment homogène. L’objet de cette discontinuité sera ce qu’on appelle en physique quantique des « grains » d’énergie, ou quanta.Cette discontinuité va provoquer une inévitable coexistence entre les parties qui la constituent. En franc-maçonnerie, l’usage mimétique de cette coexistence et de ses tenants s’appelle le symbolisme. Le symbolisme est véritablement le viatique de la franc-maçonnerie moderne, il n’existe que dans le cadre de la complémentarité des parties, de l’assemblage de constituants, du mimétisme des composants, ces parties étant, suivant le moment, ou bien jointes (symbolé) ou bien disjointes (symbolum). Cette incertitude d’état du symbole recoupe celle, nous le verrons, des quanta dont la localisation n’est jamais précisément définie, car ils évoluent dans un univers si petit qu’ils échappent à l’espace-temps relativiste : c’est pourquoi on parle, plutôt, à leur propos, d’une onde censée illustrer, par son tracé, la plausibilité de présence à tel ou tel endroit, tel ou tel moment, sans plus.

En physique quantique, les particules sont si peu localisables qu’on obère leur matérialité, et donc leur localisation en y substituant, je le répète, une « fonction d’onde » qui est une « zone de probabilité » censée représenter leur hypothétique positionnement : c’est ce qu’on appelle la superposition quantique : une particule existe simultanément dans une infinité de positionnements possibles. C’est un peu la même chose avec l’Arbre Séphirotique : plus qu’un réseau est-il une superposition d’états que sont en fait les déclinaisons possibles du principe divin, les fonctions d’onde étant représentées par les 22 liaisons possibles, appelées sentiers, entre lesdites Séphiroth. Chaque Séphirah sera alors quantifiable par ce qui la délimite et comparable à un quantum.

Pour filer la métaphore, nous pourrions voir une voiture comme un agrégat, un corpuscule, et sa trajectoire GPS comme un parcours prédéterminé, comme l’onde probabiliste de sa présence à tel ou tel moment du parcours, l’ensemble voiture-trajectoire constituant, dans son entièreté, une seule et unique entité bien trop élusive pour être formalisée par nos sens. Pour être tout à fait précis, il conviendrait de faire ces mesures à partir d’un endroit éloigné, l’espace géostationnaire, par exemple, où la vision rendrait insécable le véhicule de ses trajets Cette mesure probabiliste rejoindrait en cela l’incertitude qui gouverne les quanta quant à leur « consistance », définie à la fois comme ondulatoire et corpusculaire. Cette dualité constitutive trouvera écho dans l’Arbre Séphirotique, composé de l’« ondoiement » de 22 chemins, appelés « sentiers », reliant les 10 séphiroth, concrétions mentales qualifiables alors de « corpusculaires ». Cette approche à l’avantage de pouvoir être sommairement imaginable par un point, pour le corpuscule, le granulaire et simultanément par une oscillation pour l’onde décrite.

L’onde, issue du latin unda, désigne à l’origine l'eau mobile, courante, constitutive de l'humain mais également sujette à un mouvement permanent, qui donc la transforme par l'intérieur, de manière sporadique et sinueuse. Cette onde est unificatrice, c’est pourquoi l’Arbre Séphirotique est composé en fait de 32 chemins, 22 continuels, les sentiers, et 10 concrescents, les séphiroth. Enfin, au XIVème siècle, l’onde acquerra le sens abstrait de « ce qui affecte de manière intermittente », et qui donc laisse la place, à tout moment, au quantum en tant que « principe pesant ».  Une phrase du 3ème degré du REAA ne dit pas autre chose : Q- : « Comment êtes-vous parvenu à cet endroit ? », R- : « Par 3, 5 et 7 marches séparées par 2 repos ».

Thierry Didier 

 

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