Pic de la Mirandole, philosophe italien de la re-naissance, humaniste, synthétiseur des philosophies de l’antiquité en particulier de celles du miracle Grec, considéré comme le fondateur de la Kabbale chrétienne, conciliateur des arts libéraux avec la philosophie.
Il fut un réunificateur, à l’image d’une éponge magique qui n’efface pas tout, mais absorbe et restitue après avoir uni.
Pic de la Mirandole s’efforce d’unir les contraires en diminuant l’importance des dogmes en oubliant les certitudes, pour faire re-naître en lui une connaissance pure originelle, celle de la parole perdue.
Homme ouvert et influencé son syncrétisme n’est pas un chaos de sa pensée, mais plutôt une fusion des lumières en une seule lumière, une lumière multiple et une, reçue par un esprit ouvert comparable à celle que veulent atteindre les francs-maçons en ouvrant largement leur compas, vers l’intelligence du cœur.
Pic de la Mirandole assume ce syncrétisme critiqué souvent comme un trouble de l’esprit par la maîtres de chapelle, il n’est pas le tenant rigide d’une école de pensée, mais de la philosophie pure, entière, universelle. Il se faisait appelé Comte de la Concorde, d’où son intérêt pour l’hermétisme et les textes d’Hermès Trismégiste.
Il fut incompris par Pascal et Voltaire, parce qu’il était sans doute trop éloigné de la pensée chrétienne pour l’un et pas assez pour l’autre.
Pour ma part je considère cet homme comme un alchimiste de l’esprit, il a mis dans le vase, le plomb et tous les éléments contraires, et, avec le feu de l’esprit porté le tout à ébullition, il a filtré, purifié, le mélange pour que la vapeur monte sorte du vase par le col étroit, se répande dans l’espace, et retombe comme la rosée céleste en pluie d’or fin sur les roses, qui sont écloses de notre cœur. A l’instar des francs-maçons qui aspirent à faire cette transmutation dans l’œuf cosmique de leur loge, cet espace sacralisé, s’efforcent après avoir tout oublié de leurs erreurs, de leurs certitudes, s’efforcent de recréer l’unité en eux et avec leurs frères, réunissant ce qui est épars. Après avoir les connaissances nécessaire passage, prennent conscience de leur incomplétude, font à nouveau le vide en eux, ce vide propice à l’accueil de la Connaissance.
JF.
De la difficulté de rire de soi-même, de dire un secret, de dire ce que l'on est, de la facilité de la dérision. De l'ignorance feinte, ou du regret de l'humoriste !
Au secours à moi les enfants de la veuve !
JF.
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