HUMEUR, HUMOUR ? LA LETTRE D’AMOUR.
Chère Anestésia,
J’écris et pourtant tu m’as dit souvent, n’écris pas je suis là, ne lis pas non plus je suis là ! Écoute-moi, regarde- moi, tous les matins, tous les après-midis, tous les soirs, de midi à minuit et de minuit à midi. C’est vrai, tu es là miraculeuse, radieuse, lumineuse avec tes multiples voix. Tes visions sur tout, tes avis sur tout Anestésia tu me submerge, mieux tu me berces, tu m’endors, tu m’anesthésie, je ne peux plus vivre sans toi. Je ne sais plus où donner de la tête, qu’importe tu es là. Avec toi, tout se confond, tout se mélange, je prends tout avec toi tout se vaut et tu le vaux bien ! (Pas mal !). Tu hantes, tu habites, mes jours et mes nuits, avec toi pas de mélancolie. Tu es formidable, tu as réponse à tout, tu es un bonheur permanent. La preuve, tu mets le monde à tes pieds et tout le monde se presse près de toi, au moindre murmure, au moindre tremblement tu es là, partout à la fois. Tu es là pour le chien qui traverse, le chat qui miaule, la neige qui tombe en hiver par surprise, le soleil impudent qui brille en été, tu nous redis ces miracles toute la sainte journée. Le plus merveilleux avec toi Anestésia, c’est que je n’ai plus à penser, tu penses pour moi que du bonheur en boîte de 500g ou 1kg au choix, à profiter tout de suite ! Avec toi encore quel bonheur, tout le monde est malheureux tout le temps, Tam ti dela da ti, dela da di delé dilam comme le chante le poète Gilles de la Belle province. Pour toi, Anestésia miracle encore, tous les malheurs sont bons pour ton audience. Tu comprends pourquoi je t’aime Anestésia tous les malheurs sont bons pour le moral, après les ténèbres vient la lumière alors chouette vive les ténèbres ! Tu remplis ma vie, avec toi, je m’agite, je tremble en permanence dans tous les sens pour tout et rien quelle joie. 24 sur 24 tu me sollicites, je ne suis plus qu’une toupie entre tes mains, plus rien n’a de sens et tout a un sens. Anestésia tu m’anesthésies, mais je t’en conjure laissez-moi, un instant, juste un instant être seul, beau et c… à la fois, laisse-moi me perdre et penser par moi-même. Anestésia tu deviens trop envahissante, toutes les histoires d’amour ont une fin. C’est pas tout ça, mais le temps passe, j’ai perdu trop de temps à écrire et réfléchir, maintenant jusqu’à ce soir je vais regarder BFM ou CNEWS ou peut-être LCI, mes nouvelles compagnes….
Jean-François Guerry.

N’écris pas. Je suis triste, et je voudrais m’éteindre.
Les beaux étés sans toi, c’est la nuit sans flambeau.
J’ai refermé mes bras qui ne peuvent t’atteindre,
Et frapper à mon cœur, c’est frapper au tombeau.
N’écris pas !
N’écris pas. N’apprenons qu’à mourir à nous-mêmes,
Ne demande qu’à Dieu... qu’à toi, si je t’aimais !
Au fond de ton absence écouter que tu m’aimes,
C’est entendre le ciel sans y monter jamais.
N’écris pas !
N’écris pas. Je te crains ; j’ai peur de ma mémoire ;
Elle a gardé ta voix qui m’appelle souvent.
Ne montre pas l’eau vive à qui ne peut la boire.
Une chère écriture est un portrait vivant.
N’écris pas !
N’écris pas ces deux mots que je n’ose plus lire :
Il semble que ta voix les répand sur mon cœur ;
Que je les vois brûler à travers ton sourire ;
Il semble qu’un baiser les empreint sur mon cœur.
N’écris pas !
Les Séparés Julien Clerc
ABONNEZ-VOUS EN DÉPOSANT UNE ADRESSE MAIL DANS LA FENÈTRE S’INSCRIRE A LA NEWSLETTER. (Gratuit)
Pour les Abonnés : Il est possible de recevoir gratuitement les textes des articles au format Word en écrivant à l’adresse suivante :
Info : le blog respecte la loi RGPD
www.lafrancmaconnerieaucoeur.com
DÉSABONNEMENT SUR SIMPLE DEMANDE SUR LE SITE OU À L’ADRESSE MAIL : courrierlafmaucoeur@gmail.com
Astuce : cliquez sur les images pour les aggrandir.
FAITES CONNAÎTRE LE BLOG À VOS AMIS.