Extraits d’une réflexion de Bernard un lecteur sur l’Article du Monde des religions et plus…
Note introductive : Le texte original a été un peu modifié dans sa forme pour une lecture accessible à tous, l’esprit en étant conservé.
JF Guerry.
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J'entends souvent utiliser de façon erronée sur l'évolution en général, et sur la sélection naturelle en particulier, mais également pour répondre à un questionnement qui m'est personnel sur la notion de Grand Architecte De L'Univers.
Dans mon for intérieur ces deux entités, ADN et Grand Architecte De L'Univers reviennent sans cesse pour s'opposer.
J'ai appliqué ce que nous appelons une démarche maçonnique pour concilier ce qui me paraissait être des contraires afin de sortir de ma dualité.
Parlons d'abord du Grand Architecte De L'Univers.
« La Franc-maçonnerie proclame, comme elle a toujours proclamé, l'existence d'un principe créateur, sous le nom de Grand Architecte de l'Univers »
Le contexte social, économique et politique est l'un des plus troublé et des plus riches de l'histoire européenne au moment où cette affirmation est datée.
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Les travaux des scientifiques ont pour point commun une remise en question de dogmes comme celui de l'origine des espèces avec Charles Darwin (1859) ou celui de la génération spontanée avec Louis Pasteur (1862). Une autre avancée fondamentale est celle de Claude Bernard concernant la méthode scientifique expérimentale(1865)
La géologie connaît également de grands bouleversements avec l'anglais Charles Lyell qui fait entrer la géologie dans l’ère moderne en réfutant l'âge de la terre donné par la bible.
La découverte en 1856 d'ossements proches de ceux d'humain dans la vallée de Neander près de Düsseldorf, que l'on nommera Néanderthaliens, relance le débat sur les origines de l'homme.
C'est la recherche du fameux « chaînon manquant » terme inventé justement par Charles Lyell.s
En 1866 Ernst Haeckel, un biologiste allemand définit le terme d'écologie à partir du grec oïkos (la maison, habitat) et logos (science, connaissance) pour rendre compte des relation de tout être vivant y compris l'Homme avec son milieu.
En abolissant les frontières traditionnellement installées entre le végétal et l'animal, ou encore entre l'animal et l'humain il affirme une même unité de la nature.
Ce biologiste appartient au courant « monisme », position philosophique qui affirme l'unité indivisible de l'être, s'opposant au dualisme qui distingue le monde matériel et le monde spirituel .
Dans le domaine philosophique Auguste Comte cherche au moyen de sa « philosophie positive » à lutter contre la métaphysique, trop abstraite, et contre la théologie, c'est à dire l'idée de Dieu fondée sur des croyances invérifiables.
Dans le domaine politique Karl Marx rédige de nombreux articles et entame la rédaction du « Capital ».
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L'effervescence intellectuelle de l'époque est considérable.
Toutes ces découvertes dans le domaine des sciences de l'Homme et de la nature au sens large ont pour conséquences de relancer d'un point de vue philosophique le débat sur la séparation ou non de l'esprit et de la matière mais également sur la place de l'Homme dans l'évolution et donc la place de l'Homme au sein de la création
La conséquence est que de nombreux Frères de cette époque ont remis en cause le fondement de la croyance en Dieu, inhérente à la Franc Maçonnerie.
C'est donc dans ce contexte qu'au cours du convent de Lausanne la notion de principe créateur est accolée à la notion de Grand Architecte de L'Univers.
Il est à noter, et c'est fondamental que les termes de principe et de créateur ont des minuscules après avoir pris à un moment une majuscule !
Mais qu'est-ce qu'un principe créateur ?
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Les s’étaient donné pour tâche de connaître le principe de toute chose, l’arkhè, le principe premier.
Ils entendaient par là, l’étude de ce qui était le fondement de l’existence de toutes les réalités empiriquement observables. En clair les principes sont les causes premières.
La minuscule au mot principe doit nous renvoyer à sa définition. Je cite : une loi, ou une règle définissant un phénomène dans un domaine d'études. comme dans le principe d’Archimède.
Les s’étaient donné pour tâche de connaître le principe de toute chose, l’arkhè, le principe premier.Ils entendaient par là, l’étude de ce qui était le fondement de l’existence de toutes les réalités empiriquement observables. En clair les principes sont les causes premières. Le mot "arkhè" nomme à la fois le commencement et le commandement, comme dans la racine du mot Arkhètekton, qui veut dire architecte.
Le Grand Architecte de L'Univers est principe créateur, mais créateur de quoi ?
Créateur de la terre et de l'Univers, créateur de la vie et donc de l'Homme ou s'agit il d'un autre type de création ?
(D'un point de vue sémantique, le Larousse donne comme exemples de citations la création de l'univers mais cite l'apparition de l'homme et non sa création. Pierre Larousse lui même FM est mort en Janvier 1875.
Pour certains, il y a analogie entre le Big Bang et le premier jour de la Genèse, moment où Dieu sépare la lumière des ténèbres, le fameux fiat lux.
C'est ce parallèle que fit le pape Pie XII dans un discours en 1951.
Georges Lemaître, l'un des pères de l'astrophysique, dont les travaux sont en partie à l'origine du Big Bang et chanoine de son état, fit connaître son désaccord au pape . Pour Georges Lemaître le Big bang est le commencement de l'Univers et non sa création ! Le pape par la suite modifia son discours.
De même, j'entends également dire que l'Homme est au sommet de la création et qu'il est le résultat d'un plan pré-établi.
Cette réflexion est en tout point identique aux propos des créationnistes.
Pour les créationnistes toutes les espèces sont apparues ex nihilo dans leur état actuel à des moments différents de l'histoire de la vie et nient ainsi toute évolution.
Aux États-Unis à la fin des années 1980 le créationnisme a été « repeint » en intelligent design ou dessein intelligent.
Plus subtile, cette pseudo-science prétend que « certaines observations de l'Univers et du monde du vivant sont mieux expliquées par une cause intelligente que par des processus non dirigés tels que la sélection naturelle »
Certains mouvements intégristes religieux, juifs, chrétiens, Musulmans ou les Témoins de Jéhovah, soutiennent également cette idée.
Le tribunal fédéral de Harrisburg en Pennsylvanie a conclu le 20 Décembre 2005 dans son verdict que le « dessein intelligent » n'était pas de la science, mais une forme modifiée de créationnisme sous un nouveau label, et qu'il possède une nature religieuse évidente.
Mais qu'est-ce que cette sélection naturelle qui fait tant peur aux créationnistes et à ces intégristes de tout poil ?
Le principe, et non la théorie, de la sélection naturelle a été formulé dans le même temps par Charles Darwin et par Alfred Russell Wallace en 1859 pour expliquer l'adaptation des êtres vivants à leurs conditions d'existence, mécanismes que l'on appliquera ensuite à toute l'évolution du vivant et à partir duquel les scientifiques allaient élaborer la théorie synthétique de l'évolution après que la nature chimique de l'hérédité, l'ADN, soit connu.
Dans une population, qu'elle soit animale, végétale ou même bactérienne, aucun individu n'est identique à un autre.
Cette diversité provient du matériel génétique, les gènes, qui sont constitués d'ADN.
Des accidents aléatoires, les mutations, modifient la molécule d'ADN donc les gènes. Ces mutations peuvent être neutres, bénéfiques ou au contraire entraîner une déficience.
On parle bien de mutations, donc de mutants et non de « variant » comme le fait le politiquement correct actuel, ce qui permet de ne pas affoler le quidam...ex « variant delta » ou « omicron »
Lorsque l'environnement d'une population change seuls les individus qui possèdent des allèles (version d'un gène) leur donnant un avantage adaptatif subsistent.
Ces individus dont la fréquence augmentent vont se reproduire entre eux.
Le caractère adaptatif ainsi sélectionné se propage modifiant l'ensemble de la population, on parle alors de sélection naturelle.
Un exemple concret de cette sélection naturelle est la résistance aux antibiotiques de certaines bactéries, ou la résistance des moustiques aux insecticides.
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Il suffit au départ que quelques individus possèdent par le fait des hasards des mutations une mutation leur permettant de survivre aux antibiotiques ou à un insecticide pour que ces individus se reproduisent entre eux donnant de plus en plus d'individus résistants.
Dans le langage courant on dira de manière erronée que les bactéries ou les insectes en question sont devenus « résistants ».
Dans le langage courant on dira de manière erronée que les bactéries ou les insectes en question sont devenus « résistants ».
Comme vous le voyez ce ne sont pas les « plus forts » qui gagnent mais les mieux adaptés qui survivent et se reproduisent.
La variabilité des individus d'une population s'explique par une succession de hasard : hasard des mutations, hasard de la formation des gamètes (la méiose ) hasard de la reproduction et hasard des modifications de l’environnement.
Cette variabilité est accrus par d'autres phénomènes comme l'incorporation de portion d'ADN par les virus ou les bactéries qui nous infectent (la transmission horizontale ) ou par l'épigénétique (c'est à dire la capacité de certains gènes de s'exprimer en fonction de l'environnement)
Ainsi vous l'avez compris, iI n'y a pas de déterminisme à partir d'un héritage génétique.
Le débat entre inné et acquis s'est estompé. La façon dont les cellules et donc les organismes utilisent leurs gènes dépend de l' histoire des organismes et de leur environnement, au sens large, qui sélectionnent les organismes les mieux adaptés.
Les gènes ne sont pas les acteurs des modifications du phénotype observé mais ils constituent un répertoire de possibilités et de contraintes.
L'hérédité telle qu'elle est comprise actuellement et donc l'évolution n'est pas un déterminisme, bien au contraire, tous les champs du possible sont ouverts à la vie.
L'ADN responsable d'un déterminisme est une vision obsolète.
Nous sommes le fruit de l'action des hasards de l'environnement au sens le plus large du terme, sur la matière appelée ADN.
Comme je l'ai dit précédemment, l'autre idée reçue concerne la place de l'Homme dans l'évolution.
L'idée d'évolution est apparue, dès 1809 avec Lamarck (suite aux travaux de Buffon) et non avec Darwin. Et l'on a admis rapidement que l'Homme faisait partie de cette évolution, sa place étant fixée naturellement au sommet de celle-ci.
Cette évolution est souvent représentée tel un arbre généalogique avec à la cime de cet arbre, l'Homme.
Le débat entre inné et acquis s'est estompé. La façon dont les cellules et donc les organismes utilisent leurs gènes dépend de l'histoire des organismes et de leur environnement, au sens large, qui sélectionnent les organismes les mieux adaptés.
Les gènes ne sont pas les acteurs des modifications du phénotype observé mais ils constituent un répertoire de possibilités et de contraintes.
L'hérédité telle qu'elle est comprise actuellement et donc l'évolution n'est pas un déterminisme, bien au contraire, tous les champs du possible sont ouverts à la vie.
L'ADN responsable d'un déterminisme est une vision obsolète.
Nous sommes le fruit de l'action des hasards de l'environnement au sens le plus large du terme, sur la matière appelée ADN.
Comme je l'ai dit précédemment, l'autre idée reçue concerne la place de l'Homme dans l'évolution.
L'idée d'évolution est apparue, dès 1809 avec Lamarck (suite aux travaux de Buffon) et non avec Darwin. Et l'on a admis rapidement que l'Homme faisait partie de cette évolution, sa place étant fixée naturellement au sommet de celle-ci.
Cette évolution est souvent représentée tel un arbre généalogique avec à la cime de cet arbre, l'Homme.
En réalité, tout être vivant qui vit dans l'actuel, c'est à dire toute espèce présente en ce moment sur terre, de la moindre bactérie à l'Homme en passant par la fourmi sont au même niveau par rapport à l’ancêtre commun à toutes les espèces que l'on appelle LUCA pour Last Universal Common Ancestor apparut il y environ 3,5 Milliards d'années.
Notre arbre évolutif ou phylogénétique n'a donc pas du tout la forme d'un arbre mais plutôt la forme d'une sphère, ou d'un buisson, avec en son centre LUCA .
En un mot il s'est écoulé autant de temps, 3,5 milliards d'années, entre LUCA et une bactérie actuelle qu'entre LUCA et l'Homme actuel. Dans l'actuel il n' y a donc pas d'espèces évoluées et d'autres non évoluées mais des espèces différentes, chacune adaptées à leurs milieux.
Sigmund Freud considérera que la science avait infligé de grandes blessures narcissique à l'humanité :
-la première est la blessure copernicienne, la terre n'est pas le centre de l'univers,
-la deuxième est la blessure darwinienne, l'Homme n'est pas le résultat d'une Création en six jours, mais il n'est qu'une espèce ayant évolué parmi d'autres.
Ceci étant dit vous comprenez que pour moi le Grand Architecte De L'Univers n'est pas ce dieu créateur.
Par contre j’ai toujours appris et enseigné que l'on ne pouvait pas définir un concept par une négation. Alors comment définir le Grand Architecte De L'Univers ?
Le Grand Architecte De L'Univers est l'affaire de chacun, un point de référence personnel et jamais comme un dogme à vocation universelle car la recherche de la vérité ne peut être soumise à aucune limite ce qui implique le droit et le devoir d’interpréter le concept du Grand Architecte De L'Univers et les symboles selon sa conscience.
En fait, le concept de Grand Architecte de l'Univers n'est pas d'origine maçonnique. Il relève de la philosophie et de la théologie.
L'idée d'un Être Suprême dont l'intelligence ordonnerait l'univers, comme pourrait le faire un « grand architecte » ou un « grand horloger », est déjà présente chez Cicéron (106-43 av JC) » Le Grand Architecte De L'Univers est l'affaire de chacun, un point de référence personnel et jamais comme un dogme à vocation universelle car la recherche de la vérité ne peut être soumise à aucune limite ce qui implique le droit et le devoir d’interpréter le concept du Grand Architecte De L'Univers et les symboles selon sa conscience. Ce Grand Architecte est ici conçu comme l'intelligence, le principe de ce qui est, et en particulier du bel ordonnancement de l'univers Cette idée est reprise au 18 ème siècle dans le concept de religion naturelle en opposition aux religions révélés (judaïsme, christianisme et islam).
Dans notre imaginaire, l'architecte est celui qui conçoit et trace les plans ce qui induit dans notre esprit un déterminisme. Le Grand Architecte de l'Univers détermine l'Univers, détermine le vivant, et donc détermine notre propre vie. En trois mots comme en un « tout est écrit C'est justement cette notion de déterminisme liée au Grand Architecte de l'Univers et donc opposée à mon libre arbitre qui depuis mon entrée en Franc Maçonnerie me pose question.
J'ai peut- être trouvé un élément de réponse à propos d'un événement qui s'est produit avant le covid, en avril 2019, un temps qui nous semble déjà infini... lors de l'incendie de Notre Dame de Paris.
A cette occasion l'histoire de sa construction a été rappelée . C'est Maurice de Sully Évêque de Paris qui prit la décision de construire la cathédrale et qui traça les plans initiaux. Au cours des siècles, des ajouts et des modifications n'ont pas cessé d’apparaître comme le transept, la somptueuse rosace de la façade nord ou la fameuse flèche qui s'est effondrée. Le résultat final, tel que nous le connaissons actuellement, est donc très différent de l'idée de départ de Maurice de Sully. Pendant des siècles la notion d'architecte n'impliquait pas obligatoirement un déterminisme mais laissait au contraire une grande liberté de création aux successeurs. En fait les plans de l'architecte, comme la vie, évoluent.
Rien n'est figé, si j'ose dire, dans la pierre.
La question n'est pas de savoir si pour tel ou tel d'entre nous le symbole du Grand Architecte De L'Univers peut se confondre avec le dieu de leur foi, mais bien de maintenir
en tout état de cause l'autonomie du symbole et par là même de garantir à chacun sa pleine liberté de conscience et la singularité de sa recherche spirituelle » écrivait Jean Verdun, un passé Grand Maître de la Grande Loge de France, en 1982.
Cette remarque rejoint le NOMA, No Overlapping Magisteria ou non recouvrement des magistère énoncé par Stephen Jay Gould ( Paléontologue américain spécialiste de l’évolution 1941-2002)
Le NOMA prône le respect mutuel sans empiétement quant aux matières traitées entre deux composantes de la sagesse dans une vie de plénitude comprise, répond au pourquoi. :
La première est notre pulsion à comprendre le caractère factuel de la Nature , c'est le magistère de la science. La seconde est une base morale pour notre action et notre besoin de trouver un sens à notre existence, c'est le magistère de la religion ou celui au sens plus large de la spiritualité. Je me suis toujours appliqué ce principe de non recouvrement des magistères en disant que la science répond au comment, alors que la spiritualité ou la religion si elle est bien Ce principe de non recouvrement rejoint la position de Theilhard de Chardin dont les travaux, sur l'Esprit et sur l’Évolution ont longtemps été taxés d'hétérodoxie par les autorités vaticanes. Ses œuvres, publiées post-mortem, se sont trouvées condamnées par le Saint Office, successeur de l'inquisition.
Pourtant, de nos jours les idées de Theilhard de Chardin sont citées en référence dans des publications des papes Benoît XVI et François. Theilhard de Chardin définit l'Hominisation, le passage de l'animal à l'Homme, par l’apparition de l'Esprit.
Dans mon for intérieur c'est ce principe créateur, celui de l'apparition de l'Esprit qui est le mystère » ultime, c'est Grand Architecte De L'Univers.
C'est l'Esprit qui nous fait Homme.De même que Theilhard de Chardin, je pense qu'un jour nous connaîtrons le comment de cette Hominisation mais je ne pense pas que l'on puisse connaître le pourquoi, si tant est qu'il existe.
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comme vous le voyez je n'ai pas de réponse toute faite à vous apporter, et c'est tant mieux. J'ai frappé à la porte du temple pour quitter la rive qui m'est connue et rassurante du comment pour me diriger vers la rive que je sens instable et fragile du pourquoi .Cette démarche je la fais sans illusion car pour moi, celle du mystère de l' Esprit. Je pense que ces questions valent d’être posées mais je sais aussi qu'elles n'ont pas de réponse. Je sais que même l'initié le plus abouti se heurtera toujours à la question de la nature du Grand Architecte De L'Univers, et donc L’homme est savant tant qu’il cherche à savoir. C’est quand il croit savoir qu’il est ignorant. Poser la question ADN vs GADLU prend pour moi tout son sens, car cela m'aura permis au moins de concilier ce qui me paraissait être des contraires et ainsi de rendre mon pavé mosaïque un peu plus uniforme. C'est donc en pleine conscience et en gardant mon libre arbitre que maintenant je vis dans « l'acceptation heureuse de mon ignorance.
Avec l'aimable et gracieuse autorisation de Bernard. B...
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