Bonjour Hiram Be a fait paraître un nouvel article compte tenu du déroulement de l'enquête sur la pseudo agression de Richard Sautour le Directeur du Resto du Coeur ! Il semble qu'il y est affabulation de sa part. JFG
Un blog d'information, de conversations sur le thème de la Franc Maçonnerie, des textes en rapport avec la Franc Maçonnerie, comptes rendus et conseils de lectures.
Bonjour Hiram Be a fait paraître un nouvel article compte tenu du déroulement de l'enquête sur la pseudo agression de Richard Sautour le Directeur du Resto du Coeur ! Il semble qu'il y est affabulation de sa part. JFG
Par Géplu dans Anti-maçonnerie
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Le Samedi 01 octobre 2016 se déroulera le Salon Lyonnais du Livre Maçonnique 2016 au Centre culturel et de la vie associative (CCVA), 234 cours Émile Zola à Villeurbanne
Rencontres littéraires maçonniques : conférences, table ronde, échanges avec les auteurs…
Voir le programme ci-dessous :
Site internet : www.salonlyonnaisdulivremaconnique.org
Il verra le retour de la Grande Loge de France, ainsi la Franc-Maçonnerie démontre sa capacité à être un centre d'Union Fraternelle.
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LA MAISON DES SOURCES, OZEGAN, Elisabeth et Jean-Claude Cappelli
En juillet vos promenades découvertes en Forêt de Brocéliande, ouvrir votre cœur et votre esprit, imaginer, voir, écouter, sentir.
Musique traditionnelle irlandaise par le duo AMALA Jeudi 7 juillet 20:30
La Maison des Sources
13, rue de Brocéliande 56430 TREHORENTEUC
La Semaine du Conte Du 15 au 21 juillet
La Maison des Sources
13, rue de Brocéliande 56430 TREHORENTEUC
La Semaine du Conte "Contes de la création du Monde" veillée avec Ozégan
Samedi 16 juillet 18:30
La Maison des Sources
13, rue de Brocéliande 56430 Tréhorenteuc
La Semaine du Conte - récital de Myrdhin
La Maison des Sources
13, rue de Brocéliande 56430 TREHORENTEUC
Stage, causerie & soirée avec l’Atelier Skald
Mercredi 20 juillet
La Maison des Sources
13, rue de Brocéliande 56430 TREHORENTEUC
A la découverte des plantes qui nous entourent - Elisabeth Cappelli "l’Eté du bord des chemins"
Dimanche 24 juillet 14:30
La Maison des Sources
13, rue de Brocéliande 56430 TREHORENTEUC
Entretien avec un Druide - Jean-Claude Cappelli "Nos ancêtres les Gaulois"
Dimanche 24 juillet 15:00
La Maison des Sources
13, rue de Brocéliande 56430 TREHORENTEUC
Lecture symbolique de l’Eglise du Graal par Elisabeth Cappelli "la légende du Graal" Samedi 30 juillet 14:30
La Maison des Sources
13, rue de Brocéliande 56430 TREHORENTEUC
JFG. lafrancmaconnerieaucoeur.com
Dominique Durand
La méditation est devenue un sujet qui occupe le devant de l'actualité, offrant à chacun la promesse d'un
soulagement du mal dont il souffre, au même titre que le robot-marie pouvait prétendre soulager la
ménagère des années 50.
Cela engage certains à faire usage de la méditation comme ils le feraient d'un outil ou de n'importe quel
moyen. Or, la méditation n'est ni un moyen ni un outil. On ne médite pas comme on prend un médicament.
Nous devons aborder cette pratique selon un autre point de vue.
La méditation ne fait pas disparaître le stress, les émotions fortes, la tension artérielle, elle ne prévient les
maladies graves. Elle est une autre manière de considérer le trouble et de l'expérimenter.
Lorsque nous sommes possédés par un état émotionnel envahissant, dévastateur, deux options s'offrent à
nous : celle de renoncer à s'assoir (à quoi bon pratiquer dans un tel état) ou celle de s'assoir en imaginant
que la méditation viendra à bout du problème. Si tel n'est pas le cas, cela donnera lieu à un ensemble de
commentaires qui auront pour objet de dévaloriser soit la pratique, soit la personne elle-même.
Dans la pratique du zen, l'importance donnée à la tenue (la tenue n'étant pas assimilable à une posture,
mais à une manière d'être plus en accord avec les lois de la vie, c'est-à-dire un juste rapport tension/détente),
bouleverse la dichotomie habituelle qui s'installe entre cette apparente tranquillité que traduit l'immobilité
et le désordre émotionnel qui peut être vécu intérieurement.
S'assoir dans une tourmente extrême (que ce soit de la colère, de la peur, de l'abattement) n'a pas pour but
de voir se dissoudre le vécu émotionnel comme par miracle. Il s'agit de laisser le corps (et quand on parle
du corps, ce n'est pas le corps que l'on a, mais cette présence mystérieuse qui se révèle à travers la tenue
tout à la fois souple et exigeante) s'ériger dans une sorte d'arrière-plan qui se place en témoin de ce qui se
passe, non pour voir disparaître ce qui est éprouvé, mais pour le vivre autrement dans un espace plus vaste,
plus détendu ; il se pourrait que cela ressemble à une forme de compassion. On ne chasse pas, on ne dénie
pas, on s'associe à cette vie tumultueuse sur un autre mode. La tenue est là, elle épouse le tumulte, jusqu'à
ce que ce dernier, las de lancer ses attaques, s'épuise et consente à une autre forme.
La juste tenue permet de faire alliance avec cette part agitée et de réaliser que le tumulte de l'ego ne
s'oppose en rien à cet arrière-plan.
C'est peut-être ce que veut dire Dürckheim lorsqu'il tient ce propos : « Le zen n'abandonne pas la
conscience mentale, mais l'entraîne dans son évolution ». L'expérience psychique se fond dans ce que luimême
nomme un « arrière-plan ».
Les soucis quotidiens et les préoccupations dérapent sur la juste tenue et à force de déraper, prennent une
autre forme.
Il est regrettable que nous prenions la méditation comme un moment pour prendre le contrepied d'une
humeur ou d'une situation. Il ne s'agit pas de rentrer dans l'opposition du silence au bruit, du détachement
au désir, il importe d'être dans cet au-delà des contraires, et c'est la tenue qui y contribue.
La méditation ne rompt pas avec la vie, c'est un retour à la vraie vie, là où tout est présent, là où le calme
et le chaos ne s'opposent pas. Ce n'est pas une fonction en vue d'un devenir, c'est une présence qui inclut
tout. S'assoir chaque jour, c'est ne pas laisser l'empreinte des soucis quotidiens et des préoccupations
s'installer dans la tenue. Le fait de tout simplement élargir l'espace entre le bassin et les dernières côtes, de
rentrer légèrement le menton pour libérer la nuque, ouvre un espace qui immédiatement éclaire le vécu
d'une autre manière. Curieusement, la tenue en vient à s'étonner d'elle-même et à se nourrir d'elle-même, si
bien qu'elle finit par se réaliser naturellement sans effort.
Notre principale difficulté avec la méditation, est d'en attendre quelque chose. L'aborder ainsi, c'est la
vivre alors sous le registre de la frustration et donner lieu à des appréciations égocentrées : le zen ne me
convient pas... C'est trop difficile pour moi...
Il faut surtout éviter de vouloir en finir avec l'ego. C'est de la tenue que le méditant apprend la souplesse
nécessaire pour accueillir le tumulte, c'est de cet « arrière-plan » que nous vient cette autre manière
d'expérimenter le monde et nous-mêmes. Réaliser chaque jour que cet arrière-plan est la racine de chacune
de nos actions, de chacun de nos états psychiques et qu'il n'y a pas lieu de les opposer.
C'est cela que nous apprend zazen, et cette qualité de « soin » dépasse largement tout ce qui peut être
imaginé sur les qualités curatives de la méditation, puisque le zen s'intéresse à la totalité de l'être humain.
Alors, optons plutôt pour une « pratique désintéressée ».
NE CHERCHEZ PAS DE BONNES RAISONS POUR MÉDITER !
Jacques Castermane
Je suis à l’unisson avec les propos de Dominique.
Lorsque en 1967, je demande à Graf Dürckheim « Y-a-t-il une bonne raison pour méditer ? » il me
répond : « Oui, parce que c’est l’heure ! ».
Insatisfaisant, n’est-ce pas ? C’est bien entendu ce que j’ai ressenti. Mais aujourd’hui, cinquante ans plus
tard, je suis convaincu qu’il n’est pas de meilleure réponse pour se rappeler que la méditation de pleine
attention ne se justifie pas mentalement. Ne cherchez pas de bonnes raisons pour méditer. Méditez ! La
réponse à la question « Pourquoi méditer ? » va sourdre du plus profond de vous-même parce que vous
pratiquez.
Par contre, la question « Comment méditer ? » doit être réitérée chaque jour. Non pas dans le but de faire
autre chose ou autrement que la veille, mais pour apprendre ce que la méditation m’apprend et que je
n’avais jusque-là pas encore perçu.
Comment méditer ? Voici la réponse donnée à cette question par Siddhartha Gautama, le Bouddha, il y a
plus de vingt-cinq siècles : « Un méditant va dans la forêt, ou dans un endroit solitaire, s'assied, les jambes
croisées et le corps droit, —attentif— il inspire et expire. »
Il y a 2500 ans … ? Cette interrogation apparaît dans des ouvrages récents qui ont pour thème la
méditation. Quelques auteurs évoquent, avec une certaine condescendance, ce qu’ils qualifient comme
étant la méditation ancestrale. Méditation ancestrale à laquelle ils opposent une méditation moderne.
Moderne, parce que validée par des travaux et expérimentations scientifiques récents et parce que garantie
par des mesures quantitatives !
Après un moment d’étonnement, cette présomption m’encourage et m’invite à exprimer clairement que la
méditation que j’ai apprise, que j’apprends chaque jour encore et que j’enseigne est la méditation
ancestrale !
Il est clair que, aujourd’hui, le principe quantitatif ne cesse de jouer un rôle de plus en plus important dans
le domaine des sciences humaines, de la médecine expérimentale et les sciences cognitives. Cependant
nous pouvons nous demander si des données quantitatives sont à même de révéler ce qui concerne en
propre la personne individuelle, son vécu intime ?
Pour ce qui est du domaine de la vie intérieure de l’être humain, compte - bien plus que les chiffres, les
représentations graphiques et l’exploration cérébrale au moyen d’électrodes - le « ressenti » qui reste la
fonction témoin de la perception.
Perception ! Ce qui est en jeu dans la méditation est l’expérience de notre vraie nature, de notre être propre,
voilé par un ego soucieux, inquiet, méfiant, stressé. Cette expérience se révèle dans un vécu intérieur qui a
un effet libérateur. Libération du silence intérieur, du calme intérieur, d’une confiance inconditionnelle ;
ces qualités d’être qui sont les symptômes de l’état de santé fondamental de l’être humain.
Il y a très certainement des causes modernes au stress, au burn-out, à la dépression. Mais y a-t’il une santé
moderne qui pourrait remplacer cet état de santé fondamental et ancestral : la paix intérieure ?
L’ataraxie ! « Le plus grand bien auquel l’homme puisse accéder au cours de sa vie », écrit Epictète au
premier siècle de notre ère et il ajoute, - ce qui donne sens à la pratique de la méditation ancestrale -, que
« Afin d’accéder à ce plus grand bien, l’homme doit s’exercer ! ».
www. centre-durckheim.com contact@centre-durckheim.com
MÉDITATION
FREUD ET JUNG
Curieuse époque |
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Ce texte est ancien mes excuses pour la qualité de transcription. C'est un lecteur du Blog CB qui me l'a transmis, je voulais néanmoins vous en faire profiter.
Joséphine Drai : "Psychanalyse."
La chronique de Joséphine Draï dans l'émission "On va tous y passer" du 17 février 2014. L'invitée était Mireille Dumas.
JFG.
LE JARDIN
LE GRAND ORDINATEUR......
JFG