Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
la Franc Maçonnerie au Coeur

la Franc Maçonnerie au Coeur

Un blog d'information, de conversations sur le thème de la Franc Maçonnerie, des textes en rapport avec la Franc Maçonnerie, comptes rendus et conseils de lectures.

Publié le par jean françois
Rubens Décadence

Rubens Décadence

DE CORPS ET D’ESPRIT

 

 

C’est factuel, nous sommes de corps et d’esprit, une lapalissade me direz-vous ! Allons plus loin, la dixième satire de Juvénal parle de mens sana in corpore sano (Un esprit sain dans un corps sain). Cette dixième satire fait partie d’un corpus de seize satires (voir à la fin de texte la traduction de la première satire).

 

Juvénal a sans doute été inspiré par la spiritualité antique, constatant la dégradation du monde qui l’entourait, il s’est fait moraliste. Son affirmation a été relayée par Pierre de Coubertin, créateur de l’esprit olympique moderne, lui-même inspiré par les valeurs, les vertus du miracle Grec. Il y a dans cette formule une volonté d’harmonie, de liberté du corps et de l’esprit. Une inspiration à la fois pour le sport de haut niveau, et pourquoi pas pour une élévation d’esprit.

 

Montaigne dans le livre I de ses Essais au chapitre 55- Sur les Odeurs. Démontre son intérêt pour la santé du corps. François Rabelais médecin du corps à l’esprit truculent ne dédaigne pas non plus la formule. Il parle de tête bien pleine, alors que Montaigne parle de tête bien faite. Mieux encore Rabelais incite au développement physique, mais aussi moral spirituel quand il dit-il faut apprendre : la Chevalerie et les armes. On peut penser qu’il visait dans la Chevalerie sa spiritualité, ou au moins ses vertus.

 

Après la Renaissance, les Lumières ont proclamé le Sapere Aude (Pensez par vous-mêmes d’Horace) repris par Emmanuel Kant qui en fit la devise des Lumières.

Les satires de Juvénal sont une critique acerbe, sans pitié de son époque. Esprit libre, poil à gratter, nous dirions aujourd’hui lanceur d’alertes. Kant retient de ses satires leur caractère moralisateur. Ce fut sans doute un poète qui disait la vérité, il a été condamné puis exilé en Égypte.

Nouvelle Méditation informatique

Les préoccupations de Juvénal sont encore d’actualité, il nous faut, nous préoccuper de notre corps et de notre esprit de leur intégrité, de leur défense.

 

L’état de confinement dans lequel nous sommes, est propice me semble-t-il à cette réflexion. Sommes-nous toujours libres de corps et d’esprit ? Parvenons-nous à réaliser l’harmonie entre les deux ? Ou sommes-nous déposséder à la fois de notre corps et de notre esprit ?

 

J’aurais tendance à dire partiellement, comme dans une sorte de copropriété non choisie, et gérer par un syndic non élu dont le nom s’appelle GAFAM. Nous avons renoncé à une partie de nous-mêmes, par faiblesse et confort.

 

Force est de constater que nous sommes de plus en plus connectés à des objets électroniques qui sous prétexte de nous libérer des tâches quotidiennes dévalorisantes, interviennent dans notre vie, et rendent obsolètes les interventions de notre corps.

 

Alexis Jenni parle dans un article récent de décorporisation, celle-ci étant bien sûr amplifiée par le confinement, période où nous ne pouvons même plus nous serrer la main. Il écrit :

 

« Avouons-le, on est mieux en confinement avec cette quincaillerie que sans, parce que sans téléphone et sans internet ce serait bien pire qu’avec ce serait un isolement radical, monacal, carcéral, et on n’est pas tous faits pour ça. »

 

Pourtant il y a, je dirais un côté angoissant, presque terrifiant, puis-je vivre sans mes applications ? Et je sais par ailleurs qu’elles sont pilotées par des serveurs pas toujours sympathiques, mais plutôt très informatiques, des Starts up souvent éphémères revendues à d’autres Starts up, qui sont elles des stars dans leur domaine et souvent impérialistes. Elles sont situées à l’autre bout du monde, on s’émeut facilement de la délocalisation d’une usine textile, et en même temps l’on se précipite pour se vendre à ces GAFAM.

Intelligence Animale

Nous avons après la décorporisation de notre corps, procédé à sa délocalisation. C’est une « face de bouc » qui dirige notre vie quotidienne, et une Amazone avec sa monture UPS qui nous apporte à notre domicile notre viatique. Restez chez vous, dormez, connectez-vous, on s’occupe de tout, on s’occupe de vous. Nous  sommes devenus addicts au Botox de la silicone valley, et nous serons bientôt transformés, par l’intelligence artificielle, le rêve !

 

Alexis Jenni cite Marc Zuckerberg un des jeunes empereurs de la planète qui dit et en plus semble le croire, ce qui est encore plus grave :

 

« Se connecter c’est bien, quand nous serons tous connectés, le mal disparaîtra. »

 

Le Dieu Marc décide pour nous ce qui est bien et ce qui est mal. De tels propos placés dans la bouche d’un religieux lui vaudrait au minimum une fiche S. Une surveillance rapprochée pour qu’il ne tombe pas dans l’intégrisme et le terrorisme.

Vos oreilles et vos paroles

Bonne nouvelle, non pas pour le peuple, mais pour la foule qui cherche la Lumière et la Vérité elle est à portée de Smartphone, à portée de clic. Nous avons même retrouvé la Parole Perdue, le Dieu Marc et ses apôtres l’on mise en vente libre dans leurs enceintes connectées.

 

Le nouveau monde est arrivé, la Jérusalem informatique est descendue sur terre, les GAFAM ont pris possession de notre corps et de notre esprit, plus besoin de se sentir, de se voir, ni même de se serrer la main.

 

J’ai quand un petit doute sommes-nous encore sains de corps et d’esprit ? Pouvons-nous encore Sapere Aude (Penser par nous-mêmes), au fait qu’en pensez-vous ?

 

Jean-François Guerry. 

L'Acacia méconnu

L'Acacia méconnu

SATIRE I- DE JUVENAL. Pourquoi Juvenal compose t’il ses satires Traduction de Jean Dusaulx 1770

 

Écouterai-je toujours, et ne répliquerai-je jamais, tourmenté tant de fois par la Théséide de Codrus, qui s'enroue à la déclamer ? C'est donc impunément que l'un m'aura récité ses comédies, l'autre ses élégies ? Impunément j'aurai perdu tout un jour à entendre l'éternel Télèphe, ou cet Oreste qui couvre tant de pages, et leurs marges et leurs revers, quoiqu'il ne soit pas encore achevé ?

Non, personne ne connaît mieux sa propre maison que je ne connais, moi, le bois consacré à Mars, et l'antre de Vulcain voisin des roches Eoliennes. Je n'entends plus chanter que les tempêtes enfantées par les vents, les supplices infligés par Eaque aux ombres criminelles, les exploits de celui qui ravit la toison d'or, et les combats du centaure Monychus, lançant contre les Lapithes des arbres entiers : les jardins de Fronton, les statues, les colonnes, tout en retentit, tout en est ébranlé ; et il faut essuyer ces lieux communs du plus grand comme du moindre des poètes.

Et nous aussi, nous avons tremblé sous la férule ; et nous aussi, apprentis orateurs, nous avons conseillé à Sylla de goûter, en citoyen privé, les douceurs du sommeil. Lorsque les poètes fourmillent ici de toutes parts, ce serait pousser la discrétion jusqu'à la sottise, qued'épargner un papier qu'ils vont salir.

Mais pourquoi choisir de préférence la carrière déjà parcourue par le célèbre nourrisson du pays des Aurunces ? - Avez-vous un instant de loisir ? puis-je compter sur une oreille impartiale ? Écoutez.

Quand un eunuque ose se marier ; quand Mévia, le javelot en main et le sein découvert, attaque un sanglier farouche ; quand ce barbier, qui me rasait dans ma jeunesse, le dispute, lui seul, en richesses à tous nos patriciens ; quand un homme de la plus vile populace d'Égypte, un Crispinus, autrefois esclave dans Canope, rejette nonchalamment sur ses épaules la pourpre tyrienne, et, les doigts en sueur, agite ses bagues d'été, trop délicat pour supporter des anneaux plus pesants, il est bien difficile de se refuser à la satire. Serait-il, en effet, dans cette ville corrompue, un mortel assez patient, assez insensible, pour se contenir à la rencontre de l'avocat Mathon, remplissant de sa rotondité une litière qu'il ne possède que d'aujourd'hui ? à la rencontre de ce délateur d'un illustre patron, prêt à ravir aux nobles qu'il ruina les débris de leur fortune ? Massa le craint, Carus tâche de l'adoucir par des présents, et le tremblant Latinus lui livre son épouse Thymèle. Peut-on se taire quand on se voit légitime héritier, supplanté par ceux qui ne doivent leur place dans les testaments qu'à leur honteux service de nuit, et qui, des bras d'une vieille opulente, car c'est aujourd'hui le chemin de la fortune, s'élèvent jusqu'au faîte des honneurs ? Proculéius n'obtient qu'une part de la succession, Gillon reçoit les onze autres : chacun hérite à proportion de sa virilité. Qu'ils trafiquent de leur sang, et puissent-ils devenir aussi pâles que celui dont le pied nu a imprudemment foulé un serpent, ou qu'un rhéteur prêt à monter à la tribune de Lyon !

Dirai-je quelle indignation m'enflamme et me dévore, quand je vois ce ravisseur des biens d'un pupille réduit au dernier opprobre embarrasser les rues de son nombreux cortège ? Quand je vois cet autre vainement condamné (pourvu que l'argent reste, qu'importe l'infamie ?), ce Marius, qui, dans son exil, commence à boire dès la huitième heure, et jouit de la colère des dieux, tandis que toi, province victorieuse, tu pleures tes pertes non réparées ? Et je ne rallumerais pas la lampe du poète de Vénusie ! Et je ne flétrirais pas de tels excès ! Irai-je retracer les fables d'Hercule ou de Diomède, le labyrinthe retentissant des cris du Minotaure, Dédale franchissant les airs d'un vol audacieux, et le jeune Icare tombant au sein des flots, lorsqu'un infâme, feignant de compter les solives et de ronfler sur les verres, obtient dans le testament des galants de sa femme la place qu'elle ne peut elle-même accepter ? Lorsque cet autre prétend commander nos cohortes, pour avoir consumé le bien de ses ancêtres à nourrir des chevaux, pour avoir fait voler un char sur la voie Flaminie ? Car, nouvel Automédon, il guidait celui dans lequel Néron caressait sa bizarre maîtresse. Je ne remplirais pas mes tablettes en plein carrefour, lorsqu'un faussaire, qu'un sceau contrefait, qu'un testament supposé, comblèrent d'honneurs et de richesses, affecte dans sa litière, ouverte des deux côtés et portée par six esclaves, les airs d'un Mécène dédaigneux ? Voici cette noble matrone, qui, pour apaiser la soif de son époux, lui présente un vin dont la douceur perfide recèle le venin d'un reptile, et qui, plus consommée que Locuste, enseigne à ses parentes novices l'art d'envoyer au bûcher, à travers les rumeurs du peuple, les cadavres livides de leurs maris empoisonnés.

Voulez-vous parvenir ; osez quelque forfait digne de Gyare et des cachots : on vante la probité, et elle se morfond. C'est le crime qui donne ces jardins, ces palais, ces tables précieuses, ces chefs-d'oeuvre antiques, et ces coupes, dont un chevreau en relief décore le contour. Un père qui corrompt la femme avare de son fils, des épouses infâmes et des adolescents déjà souillés par l'adultère, tout cela permet-il qu'on se livre au sommeil ? Non ; et si la nature a refusé le génie, l'indignation du moins dicte des vers, quels qu'ils soient, des vers tels que nous en faisons, Cluviénus et moi.

Depuis que la barque de Deucalion fut soulevée par les eaux du déluge jusqu'au sommet du Parnasse ; depuis que ce fils de Prométhée consulta l'oracle de Thémis ; que des cailloux amollis reçurent par degrés la chaleur du sentiment ; que Pyrrha fit éclore des filles nues, aux yeux des hommes surpris, toutes les actions des mortels, tous leurs sentiments, désir, crainte, colère, volupté, joies, intrigues, seront la matière de mon livre. Quand le torrent du vice fut-il plus rapide, le gouffre de l'avarice plus profond, la manie des jeux de hasard plus effrénée ? Non content de venir aujourd'hui avec sa bourse, le joueur fait apporter son coffre-fort. C'est là, dès que les instruments du jeu sont distribués, que vous verriez naître les plus funestes débats ! Perdre cent mille sesterces, et ne pas vêtir un esclave transi de froid, n'est-ce que de la fureur ?

Autrefois nos ancêtres bâtissaient-ils tant de maisons de plaisance ? leurs soupers clandestins étaient-ils à sept services ? Une mince sportule attend maintenant la foule des avides clients à l'entrée du vestibule. Encore a-t-on soin d'examiner vos traits, de crainte que, sous un nom supposé, vous n'usurpiez la portion d'un autre : vous ne recevrez rien avant d'avoir été bien reconnu. Alors, le magnifique patron fait appeler, par un crieur, tous ces fiers descendants d'Enée (car les plus nobles personnages, confondus dans la foule, assiègent aussi sa maison) : «Donnez d'abord au préteur, dit le maître ; donnez ensuite au tribun. Mais cet affranchi est arrivé le premier. - Oui, je suis le premier, et je ne craindrai point de défendre mon rang : je suis né sur les bords de l'Euphrate, et mes oreilles percées déposeraient contre moi, si je voulais le nier. Mais les cinq boutiques me produisent quatre cent mille sesterces de revenu. La pourpre des sénateurs a-t-elle rien de préférable. Lorsqu'on voit Corvinus réduit à garder un troupeau étranger dans les champs Laurentins ? Je suis plus riche, moi, que Pallas et Licinus : les tribuns attendront». Que les richesses l'emportent ; que celui qui naguère arriva dans Rome avec les pieds marqués de craie ne cède point la préséance aux premiers magistrats, puisque ton culte parmi nous, funeste argent, est le plus auguste et le plus sacré, quoique nous ne t'ayons point encore érigé de temples ni d'autels, ainsi qu'à la Paix, la Victoire, la Bonne Foi, la Vertu, la Concorde, dont le sanctuaire retentit des cris de la cigogne, quand elle salue son nid au retour du printemps.

S'il est vrai que les premiers de l'Etat supputent à la fin de chaque année les produits de la sportule, et de combien elle accroît leurs revenus, que feront les malheureux clients, qui n'ont que cette ressource pour se vêtir, se chauffer, se nourrir et s'éclairer ? Voyez-vous cette foule de litières voler à la rétribution ? L'époux y traîne sa femme enceinte ou languissante. Un d'entre eux (son stratagème est maintenant connu), montrant une litière fermée, demande la sportule pour son épouse absente. «C'est ma Galla, dit-il ; expédiez-nous promptement : que tardez-vous ?... Galla, mets la tête à la portière... Elle repose, ne la tourmentez pas».

Examinons les dignes soins qui partagent le reste de la journée. Après la sportule, on escorte le patron au Forum, où l'on voit et la statue d'Apollon, si connue des plaideurs, et les statues triomphales de plusieurs généraux, parmi lesquelles je ne sais quel Égyptien, quel chef d'Arabes, osa faire ériger la sienne, décorée de superbes inscriptions, monument, il est vrai, que chacun peut souiller à son gré. Excédés de fatigue, les plus anciens clients se retirent enfin, et renoncent à un repas si longtemps désiré. Trompé dans son espoir, chacun court acheter des légumes, et du bois pour les cuire. Cependant le monarque de cette troupe famélique, assis au milieu de ses lits sans convives, dévore ce que les forêts et les mers fournissent de plus exquis : de cent tables qu'il possède, belles, spacieuses, antiques, une seule lui suffit pour épuiser un patrimoine immense. - Tant mieux ! Nous n'aurons plus de parasites ! - Mais ce luxe sordide en sera-t-il moins insupportable ? Conçoit-on la voracité d'un homme qui se fait servir, pour lui seul, un sanglier tout entier, qui semblait destiné aux nombreux convives d'un somptueux festin ? Au reste, le châtiment suit de près ton intempérance, lorsque, gonflé d'aliments, et l'estomac surchargé d'un paon mal digéré, tu cours, au sortir de la table, déposer tes vêtements et te plonger dans le bain. De là tant de morts subites, tant de vieillards intestats. La nouvelle récente d'un tel événement égaye nos soupers : les amis du défunt, furieux d'avoir été frustrés, le conduisent sans regrets au bûcher.

La postérité n'ajoutera rien à la dépravation de nos moeurs : je défie nos neveux de surpasser leurs pères. Le vice est au comble : déployons toutes nos voiles. - Un moment, direz-vous : es-tu doué d'un génie égal à ta matière ? Tel que tes devanciers, te sens-tu capable de céder franchement à toutes les impulsions de ton âme enflammée ? - Qui donc craindrai-je de nommer ? Que m'importe la haine de Mucius, ou son indifférence ? - Soit : mais nomme Tigellinus... que quelqu'un s'en avise : son cadavre empalé servira de fanal, et, traîné sur l'arène, il y tracera un large sillon. - Quoi ! Cet empoisonneur qui fit périr trois de ses oncles sera, dans sa litière, mollement assis sur le duvet, d'où le monstre laissera tomber sur moi ses regards méprisants ? - S'il vient à ta rencontre, presse du doigt tes lèvres impatientes : le délateur n'attend, pour t'accuser, que ces seules paroles : Le voilà. Tu peux, avec sécurité, mettre Turnus aux prises avec Enée : la mort d'Achille ne choquera personne, ni celle du jeune Hylas cherché vainement après qu'il eut suivi son urne dans les flots. Lorsque l'ardent Lucilius, au contraire, frémissant d'une généreuse indignation, s'arme de sa plume, comme d'un glaive menaçant, le criminel rougit et sent son coeur se glacer ; la sueur des remords se répand dans son sein : de là cette rage et ces pleurs, avant-coureurs de la vengeance. Réfléchis donc, tandis que la trompette n'a pas encore donné le signal : le casque en tête, il n'est plus temps de reculer. - Eh bien ! Voyons ce que l'on permet contre ceux dont les cendres reposent le long de la voie Latine et de la voie Flaminie.

Commenter cet article
C
L'insidieux coronavirus nous mène par le bout du nez, il y entre, ce qui nous fait éternuer, puis agressif, il fait appel à ses Frères, afin qu'ils envahissent notre appareil respiratoire et provoquent ainsi une mort certaine, ce qu'il oublie le coronavirus et ses sbires, c'est qu'ils vont eux aussi rejoindre l'orient éternel, noyés dans un corps sans vie qu'ils ont voulu dominer.<br /> Miracle, des chercheurs à l'esprit inventif vont trouver une arme nouvelle pour terrasser ce Dictateur de la mort, il nous faut les encourager, le savoir scientifique et ses applications médicales, se doivent de nous faire comprendre qu'il est primordial à notre fragile survie.Le confinement mondial fait la démonstration de la vulnérabilité de l'entassement dans les villes de cette prolifération incontrôlée des humains, réfléchissons à ces chiffres: en 1700 ,le monde comptait 700 millions d'habitants,en 1800, nous étions 950 millions, en 1900,le chiffre avait presque doublé, pour atteindre 1,6 Milliard, En 2000, il a quadruplé pour atteindre 6 milliards et pratiquement 7 actuellement. <br /> La règle économique qui nous propulse vers une fuite en avant, est cette nouvelle éthique qui promet le paradis, à condition que les riches restent cupides et passent leur temps à se faire du fric ,et que les masses lâchent la bride à leurs envies et à leurs passions, et achètent de plus en plus. C'est la nouvelle Religion du toujours plus!!!!<br /> Claudius
Répondre