COMMUNIQUÉ IMPORTANT !
Hier soir j’étais en tenue de circonstance, un sujet important a été traité : « Pourquoi la chair quitte les os ? ». Je l’avoue je n’étais pas dans mon assiette. Ce matin en consultant mes notes de piano, j’ai retrouvé la réponse dans le numéro 1 du Journal (paru le Vendredi 13 mai 1938) de mon directeur de conscience Pierre Dasque qui répondit à la question : « Pourquoi l’Os à moelle » il répondit « Pourquoi pas ! ». Il réaffirma sa réponse dans un courrier Osficiel dans le numéro 3 (paru le Vendredi 27 mai 1938) : Monsieur Hochmuch, rue des Tournelles Paris- Me demande pourquoi j’ai appelé mon journal L’Os à Moelle, plutôt que « le Merlan frit » ou la « La Rhubarbe au yaourt » ? Tandis que l’Os à Moelle, ça, alors, c’est du cousu main.
Avec mes excuses chers amis pour mon manque de clairvoyance hier soir, voilà qui est réparer, faites ce que vous voulez de cet Os à ronger. Voilà c’est dit.
Mes remerciements à notre Frère Pierre Dac.
Jean-François Guerry.
Je reviendrai sur cette parution d'autant qu'un contributeur du Blog Rémy Le Tallec a participé à la rédaction de cet ouvrage oeuvre d'un collectif de spécialistes du Rite Français et de ses Grades de Sagesse. Un outil mis à disposition des Frères soucieux de la compréhension de l'Ordre de l'Élu Secret.
Disponible chez Numerilivre: www.numerilivre.fr
Parution d'un nouvel ouvrage de Jean-Claude Mondet.
Une somme qui va devenir incontournable pour les Soeurs et les Frères en général et plus particulièrement les pratiquants du Rite Écossais Ancien et Accepté. C'est du moins ma première impression à la lecture des premières pages. Bientôt je serais à même d'approfondir ce premier contact avec ces 450 pages !
À bientôt pour une recension complète.
Disponible chez Numérilivre: www.numerilivre.fr
Chères lectrices et chers lecteurs,
Dans différents ouvrages, j'ai tenté de dresser la cartographie d’une Bretagne qui ne se réduisait pas à une zone touristique, et proposé une autre lecture d’un patrimoine qui n’était pas uniquement architectural. Depuis la période néolithique, il existe un continuum que le folklore et les superstitions ne permettent pas d’interpréter. La floraison des lieux sacrés suppose une permanence et une tradition que le philosophe Henry Corbin a identifié comme correspondant à la théorie des quatre sens : historique, allégorique, moral et anagogique.
Ces éléments patrimoniaux du néolithique, des âges du bronze et du fer, du Moyen Age et de la Renaissance s’inscrivent dans un vaste ensemble, lequel doit être étudié par le prisme de l’histoire de l’art, mais également éclairé par l’histoire des religions, l’ethnologie, la mythologie, l’anthropologie, la philosophie et la sociologie ainsi que la géographie, l’astronomie et la géobiologie. C’est une approche critique et pluridisciplinaire que je propose dans « Les portes du sacré » sur les modèles magistraux que Claude Gaignebet et Gilbert Durand ont développé chacun dans leurs travaux. Il s’agit d’identifier les thèmes, les périodes et les lieux afin de les raccorder pour en étudier la symbolique, identifier une cohérence et une pratique religieuse.
Le chemin intérieur succède au chemin extérieur. Il est l’aboutissement d’une inflexion de la pensée, d’un retour vers le centre. L’intuition n’exclut pas la raison. Nous avons autour de nous un extraordinaire maillage de sanctuaires qui méritent tous d’être, non pas visités à des fins touristiques, mais utilisés pour ce qu’ils étaient initialement : des lieux saints, des lieux de communion de l’homme avec le divin.
J’ai dit dans une publication récente que ce livre était une gageure, un acte de foi. C’est en effet un anachronisme. Parler d’architecture sacrée dans une société profane, dans un temps où nul candidat à une élection n’ose parler de spiritualité, où de prétendus sacerdotes appellent leurs ouailles à approuver le transhumanisme... Oui, publier ce livre en ces temps troubles est d’autant plus vital que nous sommes confrontés à une grande confusion.
En tant qu’individu, je ne peux m’extraire totalement du monde où je vis, être indifférent aux turbulences de mon environnement, aux malheurs des hommes, à leurs angoisses, à leurs détresses, à leurs colères. Nous sommes confrontés aujourd’hui non seulement à la pollution des esprits mais plus encore à la négation de l’Esprit.
En toute période de crise, nous avons toujours le choix de la voie à suivre : la peur ou la confiance, le supermarché ou le sanctuaire. Certes les nourritures terrestres ne sont pas incompatibles aux nourritures célestes, dès lors que les premières ne priment pas sur les autres.
Aujourd’hui, je vous recommande de vous approvisionner dans le domaine spirituel pour éclairer les heures sombres qui s’annoncent.
Je demeure cependant optimiste. Nous possédons une porte de sortie à l’insupportable société de production/consommation/
Portez-vous bien !
Bernard Rio
La souscription a ce jour dépassé la moitié de l'objectif :