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la Franc Maçonnerie au Coeur

la Franc Maçonnerie au Coeur

Un blog d'information, de conversations sur le thème de la Franc Maçonnerie, des textes en rapport avec la Franc Maçonnerie, comptes rendus et conseils de lectures.

Publié le par Thierry Didier
INTELLIGENCE ET ESPRIT
Photo de cuadpaul sur Unsplash
Thierry Didier nous propose une réflexion sur l'intelligence. Maçonner rechercher la lumière, la fine Lumière, éveiller son esprit. L'intelligence est la lumière de l'esprit jeté sur les choses de la vie. Osez savoir !
Jean-François Guerry.

INTELLIGENCE  ET   ESPRIT

 

Étymologiquement, le mot « intelligence » nous renvoie à différentes interprétations. Ce mot est un emprunt ancien (vers 1175) au latin classique intelligentia, « entendement », puis en latin chrétien, où il signifie « bonne entente, commun accord », pour finalement, vers 1300, désigner aussi un « être spirituel, un ange ». Trois déclinaisons, trois mondes dérivant de ces trois racines se surajoutent donc. Le 1er, l’« entendement », est celui qui nous vient spontanément à l’idée, il comporte l’idée d’un accueil, d’un réceptacle, il épouse quelque part la « forme » de l’information. Si l’on se réfère à l’arbre de vie kabbalistique, la 3ème Séphiroth Binah illustre parfaitement ce concept. De même que selon l’adage, « l’âme est la forme du corps », Binah est la forme de la Connaissance, c’est-à-dire l’entendement ; elle exprime la notion de forme et d’intelligence, intelligence qui est la reconnaissance de la forme. Binah épouse idéalement la 2ème Séphiroth Hochmah, symbole de « vision en miroir » et donc immanente de Kether, la 1ère Séphiroth, symbolisant, elle, le principe transcendant gouvernant toute chose. Hochmah représente donc la sagesse, entendue dans son sens d’« aménagement du savoir », de parfait équilibre dans la dualité, et donc celle qui, par un «  commun accord », sera la somme des perspectives de cette vision en miroir avec Kether. Hochmah symbolise aussi la « bonne entente », entendue comme le lien éternel entre les entités du monde, qu’il soit matériel ou spirituel. L’appréhension par l’homme de cette triade matérialise la Connaissance, dans ces aspects inductifs (Kether), reproductifs (Hochmah) et formatifs (Binah), et l’intelligence va irriguer ce processus vertueux. Le 3ème sens étymologique d’ « intelligence », évoqué au début, a une finalité teintée de spiritualité, car l’intelligence signe là un être spirituel, distinct de la matière intermédiaire, l’ange, et sa qualité d’intercesseur entre monde tangible et monde divin.

Ce 3ème sens est symbolisé plus spécifiquement par Kether, qui matérialise l’intercession entre l’En Sof, sorte de « Nec Plus Ultra » kabbalistique, et le reste du monde manifesté, celui des 10 autres séphiroth, qui représentent toutes un aspect particulier du divin. Cet arbre à la vertu de nous permettre de décomposer la chute adamique, d’approfondir les étapes subtiles qui jalonnent la chaine de compréhension dont a nécessairement besoin la pensée humaine, assemblages de stations plus ou moins compliquées à aborder, en se projetant progressivement, depuis Kether, jusqu’à atteindre la séphiroth la plus tangible, Malkuth, le « Royaume », celle des « choses de la vie ». On reste toujours sur une définition dynamique de l’intelligence, mais en en multipliant les jalons potentiels, à la façon d’un fractal, dont la forme reste identique quel que soit le degré d’approfondissement. Et si l’intelligence est un flux, celui-ci demeurera constant quelque que soit le substrat et l’environnement considérés. Le rapport fractal à l’intelligence permet de se jamais se contenter de ce qu’on a déjà obtenu, et de suivre une progression sans limites , porteuse néanmoins d’un fil rouge se manifestant par la répétition à une échelle toujours plus petite de cette universelle dynamique : «  Je ne sais ni lire , ni écrire , je ne sais qu’épeler » , cette phrase du rituel a priori banale met de côté les « choses de la vie « constitués, en l’occurrence ici les mots et leur finitude stérile, pour y substituer l’épellation, expression fractale, symboliquement plus prometteuse car jamais arrêtée sur une forme définitive : lire et écrire sont une forme de retrait , là où l’épellation apparait comme une attitude engagée, impliquante et jamais définitive . L’épellation peut, comme l’intelligence, être assimilée à une onde : l’onde, issue du latin unda, désignant l'eau mobile, courante, constitutive de l'humain mais également sujette à un mouvement permanent, qui donc la transforme par l'intérieur, de manière intermittente et sinueuse, car attachée au plus profond à la nature binaire de l'être humain. L'onde contourne les obstacles en les épousant : c'est ce que l’on appelle la reconnaissance de la forme, présupposé indispensable à l’articulation entre diverses formes, c’est-à-dire l’intelligence : garder du mouvement et donc de la liberté, tout en posant une réflexion précise et je l'espère profonde sur cette intrication complexe qui se mène en permanence entre Nature et Individu, car l' « onde-intelligence » est aussi une manifestation qui renvoie à une source, puissante mais bien souvent ineffable. C'est cet ineffable qu'il faut effleurer, au-delà des jalons subtils que nous dispensent rituel et instruction maçonniques, ineffable que nous incite à révéler cette petite phrase : « L’intelligence est la lumière de l’esprit jeté sur les choses de la vie ».Cette phrase tirée d’un rituel maçonnique résume à elle seule toute l’essence de ce concept si abstrait qu’est l’intelligence, qui apparaît ici comme une sorte de flux subtil qui, en se mêlant aux choses, en les éclairant, est capable de faire résonner lesdites choses pour leur faire restituer le meilleur d’elles-mêmes, à savoir leur spiritualité, entendue ici comme la capacité à faire surgir de la matière un élan, un essor qui en transcendera la valeur et le principe. Plus la lumière sera fine et délicate, plus l’éclairage sur les choses de la vie sera discernant, délimitant. Pour prendre une métaphore scientifique, en physique, les photons unifiés d’un laser obligent la matière visée à s’exprimer par le biais d’une émission énergétique, et donc l’oblige par là même à communiquer avec son entourage.

La lumière jetée par l’esprit est du même tonneau, elle a cette puissance qui lui permet d’ordonner la matière suivant un schéma différent, qui devient dès lors progressif. Autre illustration scientifique, celle qui nous explique qu’à partir d’un certain degré de miniaturisation de la matière, la lumière blanche et la rétine ne suffisent plus : il faudra, en amont, un flux de particules plus petites (microscope à électrons ou à photons) pour faire résonner et vibrer dans ses rouages les plus intimes l’objet étudié, et en aval une interprétation numérique pour reconstituer une image synthétique lisible ainsi par l’œil humain. Ce que je veux dire par là est que l’intelligence demande deux occurrences, celui de l’élaboration de la forme la plus précise possible, c’est le détail, par exemple, celui du Pavé Mosaïque -notre vision étant apte à considérer les cases de façon isolée et unitaire -  et celui de la dynamique, de la vitesse de diffusion et d’articulation entre lesdits détails, c’est l’extension, la continuation à l’infini dudit Pavé qui, dans l’idéal, devrait couvrir la totalité du sol de la loge, c’est-à-dire l’infini. On retrouve parfaitement dans la loge et sur le tableau de loge ces symboles dont le contenu intrinsèque réclame une instruction particulière, avant d’être possiblement rattachés à d’autres symboles, réclamant alors un apprentissage de la dynamique, du mouvement et de la relation, Ce mouvement est autant fédérateur que possiblement discernant, un choix nécessaire entre 2 attitudes, valeurs ou postures se révélant parfois indispensable à la bonne continuation, En effet, intelligence est aussi dérivé de « intellegere », proprement « choisir entre », se rapportant au discernement par une lecture critique . Et donc, transposé à la loge, l’intelligence nous aide à percevoir le Pavé Mosaïque comme nous offrant de merveilleuses possibilités combinatoires : à cet égard, ce Pavé est le support archétypal de l’intelligence. La définition même de temple évolue en fonction du caractère plus ou moins avancé du mot intelligence, pour évoquer d’abord un lieu physique de la Shékinah, c’est-à-dire de la présence divine, pour aboutir au temple de l’Esprit, qu’on pourrait définir comme l’ensemble des relations qu’est apte à tisser un initié avec son environnement. Cette définition correspond bien à celle de la Synagogue, nommément « assemblée », qui peut de manière éphémère mais répétée, rassembler ponctuellement des croyants, mais on pourra aussi parler de « synagogues spirituelles » chez un maçon ayant acquis le statut de commandeur, c’est-à-dire ayant la capacité de cueillir, collecter et cumuler toutes informations produites et identifiées par l’intelligence, sorte de réseau de perception et d’acquisition. Sur le plan symbolique, l’intelligence prend en considération les 2 volets de l’existence, à savoir l’essence, c’est-à-dire l’Esprit, et la substance, en l’occurrence ici les « choses de la vie ». « L’intelligence est la lumière de l’esprit jeté sur les choses de la vie » : chaque mot, dans cette phrase, est important, y compris le verbe jeter, de nature centrifuge, qualifiant la préséance supposée de l’esprit sur la matière. En fait, cette préséance n’existe que sur le plan exotérique. Sur le plan ésotérique, il n’y a pas de prédominance d’un terme sur l’autre, l’esprit ayant besoin de la matière, ne serait-ce que pour s’en distinguer.

Intelligence et Esprit forment en fait les 2 tenants circonscrivant les « choses de la vie », l’intelligence, placée en amont, inductrice et génératrice, et l’Esprit placé en aval, exaltateur et émancipateur. L’intelligence « agite » les choses, elle les excite, les met en tension, les remue afin d’en retirer leur substantifique moelle, en l’occurrence ce que l’on nomme spiritualité. On me rétorquera peut-être qu’on ne peut pas mettre sur un même plan l’intelligence, qui semble relever d’une certaine forme de raison, avec l’Esprit, qui semble refléter une forme d’immatérialité, d’incorporalité, d’éther. En fait, ces qualificatifs distinguant esprit et intelligence n’ont pas de raison d’être, car intelligence et esprit, même s’ils sont tous deux « au bord » de la matière, voient cette même matière qu’elles sollicitent servir de sas, de tremplin, de carrefour. Cette dualité qu’on accroche alors à la matière et aux « choses de la vie » définira alors deux occurrences fondamentales de cette dernière : d’abord la quantité et l’étendue, ce qui fait de la matière un mur, une porte, un objet, un patient ; et ensuite la qualité et l’influence qui fait de cette matière un terreau, un socle, un sujet, un agent. L’intelligence est la dynamique de la matière, là où la spiritualité est la dynamique de l’esprit. Á bien y réfléchir, l’intelligence est aussi peu palpable que l’esprit : nous possédons, soit, des neurones comme substrat plastique à cette intelligence, mais nous pourrions en dire tout autant de l’esprit, dont la connotation « immatérielle » référée à l’ « Esprit Saint » de la religion chrétienne, est profondément ancrée dans notre inconscient collectif .  

J’ajouterais que le terme de « choses de la vie » est bien plus étendu que sa simple considération matérielle : on devrait plutôt parler à son égard de « conjonctures », car les « choses de la vie » reflètent en fait toute agrégation transitoire, toute formalisation ponctuelle de ce faisceau de traces et d’évènements que sont les circonstances variées de l’existence. Ces choses sont ce que Lévi-Strauss appelait, à propos d’autres évènements des « effets de structure », dont le tangible trahit la concrétion, indispensable à tout acte initiatique, qui, rappelons-le, a pour substrat le monde sensible. Ce qui veut dire que le mot, cette « chose de la vie » est à la fois le produit de l’intelligence qui l’a conformé, et de la spiritualité qu’il induit par sa seule énonciation : le mot a un pouvoir « magique », entendu dans son sens initiatique de connexion avec son environnement, menant à un pouvoir sur ledit environnement : l’Ancien Testament l’a bien compris, qui crée en nommant avec son cortège de recensements, de lignages et de filiations généalogiques. Imaginons intelligence et spiritualité comme 2 flux, perpétuels, dynamiques, insaisissables, induisant à leur confluence une « concrétion » produit transitoire mais bien réel de l’existence, qu’on appellerait alors « les choses de la vie ». Ces « choses de la vie » vont au-delà du palpable, incluant également les pensées, sentiments, sensations ou intuitions, qui définissent tout un chacun. Ce simple distinguo rend obsolète toute tentative d’appréhension particulière de l’intelligence par rapport à la spiritualité, car ces deux valeurs ne subordonnent en aucun cas l’une à l’autre, elles génèrent un « théâtre d’expression » qui est le milieu incontournable dans lequel nous  évoluons : sans ce préalable, rien n’existe, car nous ne sommes pas faits de vent et d’espérance : l’initiatique viendra justement situer son action à ce moment précis où les choses qui nous entourent sont bien réelles, palpables . C’est tout l’esprit des cérémonies d’initiation, qui nous donnent à voir l’indicible, le spirituel et le symbolique à partir de circonstances bien réelles qui en sont l’expression dans le monde manifesté , tels les épreuves et les voyages.

Je le répète, la « lumière jetée » est une conception qui vise à faire vibrer, que ce soit philosophiquement ou physiquement, les particules de vie, et la spiritualité est le résultat de cet élan. De cet élan ressort alors une méthode, une discipline, une capacité, un potentiel que l’on pourra alors « plaquer » sur n’importe quel support philosophique, valeur ou principe défini, et c’est cela qu’on qualifie dans l’initiatique de progressivité, d’évolutivité et d’exemplarité. Pour certains, l’intelligence recoupe peu ou prou ce que l’on appelle la cognition, processus par lequel un organisme acquiert la conscience des évènements et objets de son environnement. La cognition est l'ensemble des processus mentaux qui se rapportent à la fonction de connaissance et mettent en jeu la mémoire, le langage, le raisonnement, l'apprentissage, la résolution de problèmes, la prise de décision, la perception ou l’attention. Cette intelligence doit ici être entendue sous le sens qu’elle a dans l’expression « en bon intelligence », justifiant d’une liaison de l’initié avec le reste de l’Univers, contribuant à sa bonne structuration. On pourrait illustrer l’intelligence comme le reliquat, la reproduction mémorielle à l’échelle de la créature humaine de cette « impulsion-création » que fut le Big Bang, équilibre subtil entre station et expansion, entre création et diffusion.

Mais cette analyse est trop rationnelle pour être complète, en cela, elle n’ouvre pas aisément à un approfondissement supplémentaire : c’est comme-ci l’analyse de ces relations mettait une limite à ce qu’on pouvait en retirer. Le grand challenge de l’intelligence est donc d’être capable de communiquer de la vitesse à un ensemble fatalement plus statique. Les outils du maçon, par exemple, ne sont que des « choses de la vie » auxquelles on imprime un certain mouvement afin qu’ils modifient en retour la structure qui lui est subordonnée. C’est ce qu’on veut dire lorsqu’on affirme que les outils sont des supplétifs de la main de l’homme : inertes par nature, ils peuvent devenir des outils, des armes ou des instruments, suivant le but recherché. Certains soutiennent qu’il n’y a pas une intelligence, mais des intelligences : c’est à la fois vrai et faux, car si l’on considère que l’intelligence se mesure en vitesse de connections, elle devient un facteur universel applicable à tous les domaines. Par contre, il y a beaucoup de domaines dans lesquels ce flux magique peut s’exercer : c’est dans cette mesure là que l’on parle des intelligences.

 

Le rituel des cérémonies d’initiation nous invite, de façon plus ou moins directe, à une compréhension plus globale, à une vision plus générale de ce cheminement initiatique particulier qu'est la franc-maçonnerie. Ce sont ces dynamiques, ces tiroirs à double fond, ces passages secrets, ces bascules subtiles qui font le cœur sémantique, et donc l’intelligence des mots de toute cérémonie d'initiation. Ainsi chaque degré maçonnique s’accroche-t-il avec le précédent : ce lien de continuité s’établit entre 2 éléments considérés comme complémentaires, à la façon des maillons d’une chaîne, d'un tenon et d'une mortaise : ce lien particulier, qui est l’expression unitaire de l’intelligence, définit ce qu’on appelle la symbolique. L’image commune utilisée ici est souvent celle du symbole et du symbolum, 2 morceaux dissemblables accolables en un seul, qui devient pour le coup homogène. L’image de ces 2 fragments permet de mettre l’accent sur la liaison elle-même, sans exclusive pour les spécificités de chaque morceau. La somme de ces liaisons établit l’intelligence comme moyen et fin.

Nous le voyons lors de la cérémonie d’initiation au 1er degré, où les 4 éléments, dissociés en termes de perception et d'épreuves viendront s’épouser avec ce qui fait toute la substance d’un profane, à savoir un mix en proportions variables de ces mêmes éléments, véritables pierres de fondation symbolique et philosophique de l’existence. L’intelligence nous permet là de mettre en relation et continuité les objets et les situations qui nous sont présentés : ce sont à la fois les outils et les objectifs de l'initié au degré considéré. Si la relation d'un frère à son initiation est proprement originale, par contre les éléments qui vont lui permettre de passer d'un grade à l'autre sont universels, car chaque degré a un contenu propre et certains éléments de ce contenu viennent témoigner par le biais de liens transversaux, d'une vision pas seulement sériée et linéaire de la franc-maçonnerie, mais aussi, comme dans la pensée chinoise, d'informations puisées çà et là sans lien apparent de cause à effet.

Pour terminer, l’intelligence est donc finalement une force libératrice, si bien portée par cette sentence d’Horace : « Sapere aude » Ose savoir !!  (Épîtres, I,2,40). Oser est un acte des plus émancipateurs, il propose d’appliquer au savoir une ligne forcément originale, une attitude fatalement décalée. Le savoir des « choses de la vie » s’offrira à l’audace et donc à l’intelligence de l’initié réel, libre de parole et de conscience. D’une façon générale, l’intelligence met en musique les faits de la vie, elle tend à les sublimer. A l’image de la sublimation chimique, qui fait passer un solide directement à l’état de gaz, du sacrifice religieux de l’holocauste biblique, qui fait passer par le feu le corps de l’animal à la fumée sacrée, l’intelligence met en tension le mot ou la chose pour leur communiquer une énergie salvatrice, un mouvement qui l’affranchit de la pesanteur de l’ineptie ordinaire.

 

DIDIER Thierry , le 7 novembre 2023

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